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Articles récents

Variable d'ajustement d'administration

3 Mars 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et il faut boire
Et il faut manger
Et il faut s'habiller
Et il faut se loger
Et il faut dormir
Et il faut uriner
Et il faut déféquer
Et il faut ceci
Et il faut cela
Quel boulot !
Ma pauvre fille, mon pauvre gars
Naître n'est pas un souhait
Mais cela se fait
Sinon
De quoi s'avorter
De quoi re réformer
De quoi s'invalider
Nous sommes comme une cargaison
Conteneurs des armateurs en crime de pollution
Armateurs pas des amateurs en cette chanson
Il y a, de plus, de la perte en route
Chaussures, brosses à dents, divers, en déroute
Et même des conteneurs entiers, et puis, pour couler
Dans la mer violée, et les plages salopées
De toute une organisation de la pusillanimité
De nos cargos poubelles aux pavillons mutants
Salmigondis des cimetières marins
Semant fioul lourd, au tout crétin
Dioxyde de soufre et son entregent
Nous glissons dans le gouffre, impavidement !
La chasse
Voilà bien aussi une vilenie
Le ski
Voilà bien aussi une vilenie
Faux naturel et vrai artificiel
Tout s'y acquitte
Des vaches et des termites
Bien pire, donc, que les vaches
Avec rots et pets, en rejet qui nous pépie
Vingt-cinq fois, environ, plus de termites
De l'insecte d'une autre planète, qui s'invite
PHASE IV ( film 1974 ) en version PHASE TERMINALE
Et dans l'empire du pire
Il y aurait, stop, il y a, stop, il y avait, stop, il y eut, stop
Il y a toujours pire
Il est le média
Comme il fut un temps
Les juifs de Roumanie, de l'excrément
Fascisme puis stalinisme, au tout exterminant
Des centaines de milliers de juives et de juifs
Gourdins, marteaux, poings, divers, gens brûlés vifs
Puis échangés en monnaie de troc
Contre des tracteurs, du bétail, des devises, toc-toc
Où tout s'y moque
D'un fascisme l'autre
D'un nazisme l'autre
D'un stalinisme l'autre
D'une horreur l'autre
D'une terreur l'autre
D'une, surtout, l'erreur l'autre
Veuillez cocher la case
Quand tout y est naze
Les microbilles se ramassent à la pelle
Toutes les pollutions font leurs selles
Et pas dans le pot
Mais dans notre ciboulot
Tout est trafic d'êtres vivants
La catastrophe, nous sommes dedans !
Si non savions, vraiment
Si nous pensions, vraiment
Toutes les guerres et toutes les exterminations
Et toujours en perpétuelle continuation
Nous en perdrions la raison !
Et pour nous préserver
Et pour nous sauver
Tout, nous occultons, nous l'ignorons
Comme le cri du hérisson
En réflecteur d'une perdition
Et même l'audionaturaliste
Et même l'éco-acousticien
Entendant à peine le crépitement du Genêt
Du lac gelé qui bruisse
Des sidérantes mousses qui nous tissent
La photosynthèse qui nous y glisse
Toute une symphonie qui nous crie l'abysse
Tous nos pieds dans l'abîme
Quand de la nature, on la grime
1956
Naissance du voyage commercial par conteneur
Pétrichor, du commerce, armateurs, souteneurs
Cargos tueurs pour l'écologie, du gros malheur
Variable d'ajustement et d'administration
Comme l'ordinateur, rien de plus con
Numérique, quantique, informatique
" Il faut détruire la machine", disait le savant
Au village du fameux numéro 6, six, six, six
Summum de la séparation, et tout s'y fabrique
L'aliénation a su se moderniser avec le numérisé
Papier d'immatérialité devenant le vrai pain quotidien
Comme jadis, le pain du pauvre, l'arbre à pain, le châtaignier !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de l'identitarisation usurpée

1 Mars 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout un chacun
Toute une chacune
Ce qu'il souhaiterait
Ce qu'elle souhaiterait
Du boire, du manger, du loisir, du sexer
Pas facile dans le difficile
Pas facile de pouvoir trouver
D'une préférence l'autre, ce qui va à nos pieds
Faisant de la personnalité épanouie, une rareté
Avec toujours du décalage, avec, il faut bidouiller
Donc, il faut toujours s'en contenter
Tout, ainsi, la chronique d'un désastre
Tout le monde s'y fait battre
Vous aimez la sexualité
Mais pas l'autre, et c'est raté
Vous aimez bien manger
Mais pas l'autre, et c'est manqué
Vous aimez boire ou fumer
Mais pas l'autre, l'essai encore loupé
Vous aimez ceci ou vous aimez cela
Mais pas l'autre, encore du recalé
De l'échec, du refoulé, il faut se contenter
Finalement, de tout, nous sommes privés
Tu as ceci mais pas cela
Tu as cela mais pas ceci
L'un dans l'autre, selon goûts et envies
Selon les probabilités de toutes les vies
Déterminants et automatisants qui sont nos scies
Moi, toujours en manque de sexualité
Ce dont j'étais le plus obsédé
Comme beaucoup, sans jamais en parler
De ce côté, pas toujours si bien tombé
Il faut être au moins deux pour forniquer !
Et ainsi, c'est si évident
Tout individu naît seul
Tout individu meurt seul
Avec parfois de la compensation
Quelques mois, quelques années, comme une pension
L'affectivité dédominant la guerre
Dédominants et dédominantes pour dédominer ce faire
Quand le viol est assumé en arme de guerre
Le monde marchand s'embrasant trop souvent
Comme un film de nitrate de cellulose
Et comme l'on peut, y prenant sa pause
Mais que fait la police ?
Mais que fait l'armée ?
Qui sont là, justement, pour protéger
Un système inéluctable pour les engendrer
Et pas étonnant, si tant et tant
Qu'ainsi pour tout supporter, tant de médicaments
Et nous n'avons plus du Coluche
Génie comique, et plus, en fétiche de vie ou peluche
Donc, une gestion du désastre comme seul savoir-faire
Aussi fatal que l'émissions de gaz à l'effet de serre
Et toute personne, de près, de loin, la sert
Selon sa puissance ou nuisance, du pécuniaire
1) Qatar ( 30,3 tonnes ) par personne
2) Koweït ( 23 tonnes ) par personne
3) Emirats arabes unis ( 20,91 tonnes ) par personne
4) Arabie saoudite ( 16,61 tonnes ) par personne
Etats-Unis ( 14,61 tonnes ) par personne
Chine ( 6,68 tonnes ) par personne
Pays les plus pollueurs en 2021
Le continent africain
Dix-sept pour cent de la population mondiale
Trois pour cent des émissions de gaz à l'effet de serre !
Donc, de l'économie plus que, et même, de la surpopulation
Surtout, du faux partage, de la très mauvaise répartition
Et puis, la petite ou la grande pauvreté
Droite, extrême droite, pour voter
Alors que les bourgeoisies éclairées
Et qui sont souvent mieux informées
Gauche, extrême gauche, pour voter
Quoique, du sophisme, quand tout a été droitisé
Toujours le capital et ses contrefaçons
Toujours plus à droite, de toutes façons
Avec précision dans les diverses digressions
Avec le coup de pied au cul
Jamais, il n'était échu
La gauche, la Commune de Paris, ce fut
Ou l'Espagne anarchiste de juillet 1936 à Barcelone
Mais le capital international fit échouer cette mue
Contre son vrai péril, toujours, il canonne
Et contre cela, jamais, il ne déconne
Il y eut Covid
Mais là, plus Goliath que David
Pour l'instant, environ vingt millions de décès, du monde
Et encore, sa succession arcane, nous inonde
Comme
L'évolution des bifurcations
Les  bifurcations de l'Evolution
Maintenant de la fausse intellectualité
S'emparant de tout, ces dernières années
Et même ces dernières décennies
Hélas, il n'y a plus de Henri Laborit
Pour nous faire réfléchir
Hélas, plus de Coluche pour nous faire rire
Car pour la vraie intellectualité
De même, pour tout, et donc pour la généralité
Il y aurait tant à dire
Il y aurait tant à écrire
Sur tout et sur rien
Qu'il y aura toujours à dire
Qu'il y aura toujours à écrire
Sur tout, sur rien, et ce sans fin !
Et ce qui semble exact aujourd'hui
Pouvant sembler faux le lendemain
C'est du permanent incertain
Tout étant forcément rémanent
Dans tout ce qui produit le capital
Dans tout ce que produit le capital
Copier/coller, le capital de la reproduction
Chacun,chacune, y étant en représentation
Comme aux Antilles françaises
Des cancers, des toux, maladies, à l'aise
Martinique, en record du monde
Chlordécone dans les corps, ô bananes
Perturbateurs endocriniens comme une manne
Neuf personnes sur dix y étant impactées
D'une tragédie l'autre aux Antilles françaises
Avec une pollution pour 50 ou 500 ans
Riches, pauvres, personne ne pouvant y échapper
Tout homme est le désemparé de la société
Toute femme est la désemparée de la société
Moins la richesse, certes, que la pauvreté
Monde chambre à gaz, nous uppercutant
Valises psychologiques si lourdes à porter
Tout un phubbing pour s'en désintéresser
Plus obsédant que le tétage téting
Cette obsession du tétage des nichons
Aucun mandat d'arrêt ne pouvant y être d'efficacité
De ce qui peut en tout, nous perturber
Tout y étant comme de l'entériné
Ainsi du numérique, par an
Six pour cent d'effet de gaz à l'effet de serre
Bientôt, déjà, autant que l'aviation
Avec, se greffant sur tout, en distraction
L'organisation du marché des fausses identités
Au tout avalisé, certifié, devenant les identités du marché !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Algolagnie en matrice fusionnelle

23 Février 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

684 avant notre ère
Apparition du pugilat
Ancêtre du sport de combat
Puis, dès 1681, Londres
Suite logique, la boxe à poings nus
James Figg ( 1695 - 1734 ) au crâne rasé, bon cru
Qui fut donc boxeur mais aussi escrimeur
Les combats de boxe pouvaient durer des heures
Annonçant les futurs gants de boxe
Les cestes sans aucune intox
1891
Apparition des gants de boxe en combat
L'un des marquis de Queensberry, en via
Du neuvième du nom, et voilà
Rien d'esbaudissant à tout cela
Quant tout d'un seul tenant
Quand tout d'un seul apprenant
Avec tout un assemblage du faux sachant
Quand tout est compétition ou émulation
Quand tout est rivalité et comparaison
Quand tout est fausse opposition et fausse contestation
Jamais, ainsi, il ne peut y avoir l'union
Tous les nationalismes et régionalismes, jamais en abolition
Tant qu'il y aura des idéologies
Tant qu'il y aura des religions
Quand tout a été, est, sera, morcelé en idéation
Qu'il y aura des conclusions et non des questions
Tant qu'il y aura des croyances
Tant qu'il y aura des espérances
Tout ce qui fait séparation
Tout ce qui fait réification !
Ainsi des manifestations
Pas des convergences, donc, une ceinture de contention
Non plus même pour avoir du plus
Mais seulement pour éviter d'avoir encore moins
Le plus du moins
Le moins du plus
Manifestez, manifestez, manifestez
De toutes façons, par la tyrannie, les lois sont votées
Au mieux
Trois coups de matraque, vous aurez
Au lieu de cinq coups de trique, il faut suer
Certes, 1947, Marseille
Grève et le statut des dockers qui veille
Avec un film, pendant trente ans, en prison
" Le rendez-vous des quais " exactitude sans concession
De Paul Carpita ( 1922 - 2009 ) le marseillais
Sur la grève de 1949 des dockers, l'on y est
Et si tout était en régression, en fait ?
Même, surtout, si la technologie nous refait et nous défait
Donc, en remontant au pléistocène moyen
Rien que sur le sol européen
France
Homo heidelbergensis, Terra Amata, 380.000 ans
Italie
Homo heidelbergensis, Roccamonfina, 345.000 ans
France
Homo neanderthalensis, Biache-Saint-Vaast, 236.000 ans
Grèce
Homo neanderthalensis, Theopetra, 130.000 ans
Bien avant les grottes ornées
Quoique, tout soit, encore à valider
Sortie de la terre, sortie de la mère, la mythologie comparée !
Et puis, forcément, de toute évidence
Plasticité cérébrale, opportuniste dans la variance
Avec toute une imitation engrammée de l'invariance
L'on ne prêche qu'à des personnes convaincues
Sinon, c'est comme si nous parlions à leurs culs
Codage social et nerveux, même phénomène qui perpétue
Car, ce que l'on accepte de lire
L'on aurait pu l'écrire
Car ce qui est dit
L'on aurait pu le dire
Car ce qui a été fait
L'on aurait pu le faire
Le conditionnement des déterminants
Les déterminants de tout conditionnement
De chaque époque avec son questionnement
1961/1962, piraterie de l'air
159 détournements d'avions, en rébellionnaire
Quand tout est devenu du trompété retardataire
De la Chine au trumpété, au tout totalitaire
La révolte n'a plus le punch ou mv2 tiret dessous deux
Avec le tyrannosaurus rex pour faire plus que deux
3,3 milliards de neurones, 40 à 50 ans, en durée de vie
Toute révolution vraie aurait de l'appui
Pas plus bête, donc, qu'un babouin
Mais avec beaucoup plus de moyens
Le diplodocus, lui, avait environ 150 millions de neurones
Lui, serait un frein
Ou, une attraction de cirque, en clone
Tout sous-jace
Quand plus rien n'est jouasse !
La domination de la reproduction
La reproduction de la domination
Qui va de plus en plus en manifestation
Dès le berceau, dès l'école maternelle
Le crétinisme s'améliorant de génération en génération
L'éducation dressage avec sa tarification
Algolagnie, sadomasochisme, de la matrice fusionnelle
Se faire du mal et faire du mal
Toute une coopération adaptation au fascisme libéral
Se cooptant en seule authenticité du capital !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Les gènes de l'environnement

20 Février 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Trouduculisme : narcissisme identitaire consistant à croire que tout gravite autour de sa turbine à chocolat. Ceci n'est pas un trou noir. "
 
( Expression de Jacques P, un copain anar de Nantes )
 
1942
Conrad Had Waddington ( 1905 - 1975 )
Avec déjà les bases de l'épigénétique
Environnement filial et social, supplantant la génétique
Avec encore un peu de lamarckisme
Et donc encore confondant génotype et phénotype, faux truisme
Car
L'expression des gènes de l'environnement
L'environnement de l'expression des gènes
Des apprentissages et de la socioculture
Du cerveau et de sa permaculture
Passé, présent, futur
L'apprentissage des gènes
Avant les gènes de l'apprentissage
Et donc tout un bazar pour la télomérase
Longévité et télomères plus longs, comme base
Sans cause directe des mères et pères, ou selon
Certes, une réaction organique à l'agression
De la mère à l'enfant à naître, probable transmission
Mais pour jouer du piano ou autre action
Il s'agit là d'un autre niveau d'organisation
Aucun vrai lamarckisme, car, tout s'apprend
Le bien, le mal, le gentil, le méchant
Les arts, la science, la vie, tout le temps
Nos corps, de tout cela, en expression
France, de l'air et de la pollution
48000 décès par an, environ
Monde chambre à gaz
Tout se catastrophant de phase en phase
La contrefaçon s'y mettant en diverses phrases
2023, France en prévision
9,9 tonnes de CO2 par personne
Il faudrait deux tonnes , pas plus, en mode nonne
Sinon, largement plus de 1,5 degrés en 2050 !
Et tous les autres nations qui y dansent
Sans compter toujours en France
Ni liberté, ni égalité, ni fraternité
Pays où l'on mange cinq grammes de microplastiques
Par semaine, par personne, du capital à l'étrange éthique
Bon appétit, et aux poubelles, les vraies critiques
Mais
Il faut bien que la société s'empapille
Tout s'y fait, surtout, tout s'y défait, jeu de quilles
Avec des remparts contre une vraie révolution
Il s'agit bien des dieux et des religions, du capital
Ou des idéologies, pour poursuivre la déraison, du capital
Avec cependant, dans le jaïnisme, la particularité
De tout le vivant, d'au moins, le respecter
Et d'éventuelles rivalités avec d'autres procédés
Quand tout ne peut qu'y participer
Ainsi de la fachosphère/connosphère si bien nommée
Avec des professions bien associées
Mais ouvertement moins affichées, c'est plus dissimulé
La pharmacie, la dermatologie
La médecine, la dentisterie
Le commerce, les affaires,
L'administration, la fonctionnarisation
La politique, l'économie, les buralistes, les notaires
Pour les plus notoires, bref, du manger et du boire
Et souvent vous regardant de travers
Tout ce qui ose sortir de l'ordinaire
Et le regardant mal
Et le traitant mal
N'étant ni optimiste, ni pessimiste, réaliste du fascisme libéral
Certes
Toute généralisation est erreur qui ne mérite
Avec quelques exceptions, parfois, dans l'émérite
Mais elle a tant de boucliers, notre société !
D'une nation l'autre
D'un asservissement l'autre
Religions, croyances, idéologies, tout s'y vautre
L'exemple de la France où je vis
Même si de tous les continents, je suis
Donc, agents hommes/femmes du renseignement
De la caserne au fort militaire
Ou du fort ordinaire, DGSE, tout pour lui plaire
Quatre mille agents secrets en caserne
Deux mille agents spéciaux du service action
Au tout militarisé, le secret défense en baderne
Avec quinze agents d'entretien comme en rétention
Il faut y ajouter les polices et les armées
Ainsi, la moutonnerie du capital est bien gardée
Chaque pays étant de même organisé
Et toujours prêt à défourailler
Et forcément, l'on peut y lister
Pour être aussi apte à génocider
Indiens, Arméniens, Kurdes, Gitans
Juifs, Ouïghours, Tibétains, Ukrainiens
Anarchistes, Tutsis, Cambodgiens, Assyriens
Bosniaques, Grecs Pontiques, communistes antistaliniens
Darfour, Bangladesh, Héréros et Namas de Namibie
Et génocides coloniaux ou de clans rivaux
Sans compter les génocides oubliés ou non recensés
Autour de la cheminée, puis de la télévision, de la radio
Et du numérique, pour en parler
Avec une bipédie acquise depuis au moins sept millions d'années
Et toujours du pire en pire, au fil des années
Avec ainsi, comme seul enviable sort
Du roman de feu ( 1902 - 1985 ) Francis Didelot
Quand tout, ou presque, est de la guerre ou de l'idiot
1939 " La machine à prédire la mort "
Lot de consolation
Quand partout tout est désolation
Et autant pour les faibles que pour les forts
Femmes, enfants, hommes, de douleur, tout s'y tord
Avec la naissance comme irréparable tort !
 
Patrice Faubert ( 2023) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Fake news, deepfakes, du cellulaire steak

11 Février 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

De ce qui existe présentement
Un jour, il n'y aura plus rien
Et en cela c'est déjà demain
Et pour cela, tout semblant vain
Rien que pour cela
Nous devrions vivre à cent à l'heure
Au lieu de vivre à zéro à l'heure
Plus aucun édifice, plus aucun humain
Tous nos dits
Tous nos écrits
Tous nos faits
Tout s'y faisant
Tout s'y défaisant
Mais, tout étant organisé en empire de la douleur
Pas étonnant si du poison de l'OxyContin/Percocet, tant de pleurs
Où sans cesse
Même si tout est tenu en laisse
Tout se dit et se redit
Tout se fait et se refait
Sur quelques années
Sur des décennies accumulées
Sur des milliers d'années
Sur des millions d'années
Sur des milliards d'années
Des particules aux organismes entiers
Certes, la seule raison d'être
D'un être, c'est d'être
Et pour tout le vivant
C'est de rester du vivant
Toutes les absurdités s'oubliant
Toutes les inutilités se sublimant
Ou alors, Camus, et le paraphrasant
Car commencer de penser
C'est commencer de se miner
Car, à la ténèbre infinie, tout est voué
Ou avec d'autres variabilités
Que nous ne pourrons jamais vraiment imaginer !
De naître sur une autre planète
De mourir sur une autre planète
Ou ne jamais ( re ) naître, ou ne jamais ( re ) mourir
Intrication quantique pour tout désobéir
Du bifurqué de la variabilité du conditionné
Et d'autres façons de vivre en fonction de l'engrammé
Ni même, ni autre, débraillé du direct différé
Molécules prébiotiques
Dioxyde de carbone : CO2
Monoxyde de carbone : CO
Gaz hydrogène : H2
Serpentine : formaldéhyde ( HCHO )
Du catalyseur pour faire régir le tout
Doxa permanenticienne, cartomancienne, surtout
Asepsie torrentueuse en fake news et deepfakes
Pas très bon à manger, tous ces cakes
Pouvant rendre tout fade
Comme jadis en Europe, la femme, des rebuffades
Soumise, exploitée, infantilisée, utilisée, sexualisée
Tout juste bonne au bordel ou à enfanter
Avec la genèse, fixation au sol, propriété, sédentarité
Zetta, yotta, ronna, quetta
Des grandeurs en l'économie des besoins
Pour le sort des femmes, l'améliorer
Hélas, c'est surtout les guerres qui prouvèrent son égalité
Entrant dans les carrières, prouvant son indispensabilité
De la conjonction des relations diverses, voilà
Avec au minimum, 8,7 millions d'espèces
Animales et végétales confondues
Le maximum x étant inconnu
Avec dame évolution toujours en discrète mue !
Toutes les analogies, d'une ébauche l'autre, sont fractales
Du manichéen non avenu et sans banal
Simplement la constatation du mal-être du capital
Comme en France, la surpopulation carcérale
Novembre 2022, cent dix-huit pour cent
Avec des troubles mentaux, au minimum, pour trente pour cent
Rien de surprenant quand tout est dément
Pour survivre dans une société de débilité
Il y faut une ceinture de chasteté
Il y faut une ceinture de conformité
Il y faut une ceinture de sécurité
Pour ne pas y dérailler ou sombrer
Tout, de toutes façons, ayant existé
Réalité de fiction, fiction de réalité
Tout, donc, avant même d'y être nommé
Autrement, forcément, cela a pu s'appeler
1881
Naissance officielle du pogrom en Russie
1937
France, suppression des bagnes civils et militaires
Mais aussi anarchistes espagnols contre staliniens contre-révolutionnaires
Mais pour tout défaire et refaire, la domination sait y faire
D'autres étiquettes pour une même répression
Avec aussi la technologie de toutes les pollutions
En une nouvelle arme de dissuasion et de destruction
Data centers, en figure spatiale énergivore
80 pour cent des débits sur internet, de l'omnivore
Cent millions de tonnes de CO2 dans l'atmosphère par an
Du transport numérique qui tout dévore
Des lieux différents pour, par exemple, un même visionnage
La société du carnage en ravage
Comme toute nouvelle construction
Car, il faudrait le déjà construit, en réhabilitation
Avec du zéro artificialisation, et la parité en répartition !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Cooptation des aberrations

3 Février 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

TTX, tétrodotoxine, 1909, du fugu, des poissons tétraodons
99,99 pour cent, à Haïti, le processus de zombification
Congo, zombi fantôme de l'enfant mort
Finalement, sorcellerie psychique du capital, en mauvais sort
De la vie précarisée en mondialisation zombification
Avec les irruptions de diverses illusions de compensation
Croyances, idéologies, faux espoirs, religions
Maintenant, plus encore qu'hier
Le capital virant au plus réactionnaire
Il faudrait avoir un ordinateur
Il faudrait avoir une imprimante
Pour aspirer à l'obtention des diverses allocations
Fausse compassion, piètre charité, et par numérisation
Et vous n'aurez plus rien, sinon
Et il faut encore payer pour tout faire installer
Il faut déjà être assez riche
Pour avoir accès aux petits secours des pauvres
La personne pauvre n'ayant pas le matériel
C'est le moins pauvre qui s'en fait la part belle
Le pauvre n'aura plus accès à de numériques droits
De toutes façons, seule la richesse a des droits
Logique de la sélection par le pire
Ainsi, dans tout gouvernement, les plus salauds, les plus crétins
Les pires salaudes, les pires méprisantes, au tout souverain
Gestionnaires du désastre, mafias, crétins et crétines
Après moi le déluge, comme devise mutine
Leurs gueules sont horribles et répugnantes
Une envie de les vomir, partout, prégnante
Pas suffisamment de sexe au lit
Cela fait du refoulé en monstruosité, de la mort, sans vie
Pas étonnant
Si tant et tant de gens laissent tout tomber
Et n'ont plus aucune aide, tout devenant trop compliqué
Par des technocrates sans âme, tout est bien étudié
Toute une crapulerie affichée, mais encore, hélas, respectée
Il y a encore quelques décennies
Des gens auraient voulu prendre des fusils
Faire feu, sur ordures, fumiers, toute une j'enfoutrerie
De toute une cooptation télévisuelle et médiatique
Avec aussi, des politiques, des artistes, des scientifiques
Népotisme familial, oligarchie ploutocratique !
Tout un accaparement  incestueux, en monopole
D'une fonction l'autre, et en changeant de rôle
Du spectaculaire intégré en saga de famille
Le père, la mère, le cousin, la cousine, garçons et filles
Tout cela commanditaire de toute une organisation
Comme de l'héritage sans dispense, reproduction en succession
De chaque pays avec sa propre légifération en imitation
Avec donc
Le riche se croyant privé de rien
En fait, du néant et du vain
Car, comme le chantait, et si bien
Feu ( 1916 - 1993 ) l'immense Léo Ferré " Il n'y a plus rien "
Déjà en son temps, et ce rien
On vous le laisse !
Il fut en poésie chantée, ce que fut en guerrier
Feu ( vers 1330 - 1359 ) Ferret ou le Grand Ferré
Et puis, les gens ne se révoltent plus vraiment
De défaite en défaite, tout y devenant lassant
Sauf, quand, il n'y a plus rien à bouffer
Souvent, l'Histoire est là, pour le prouver
Même si l'on ne sait vraiment rien reconstituer
Avec un savoir-faire oublié ou trop daté
Combats, armes, rituels, et le quotidien, comme de l'inexpliqué
Mais, le peu ou le beaucoup, que l'on a
Ce que l'on s'imagine, l'on y tient trop, voilà
Ainsi, de la sexualité redevenue taboue
Pour la pauvreté, tout s'y échoue
Le sexe de la femme est cadenassé
Avec entre ses cuisses, oh hisse, un cadenas
L'argent, le prestige, le baratin, pouvant l'ouvrir, voilà
Parfois la jeunesse, et encore, tout étant codifié ainsi, pouah
Généralisation au cas par cas
Comme pour ordinateurs et imprimantes
Qui sont conçus par des cérébralités démentes
Tout étant dans l'explication chancelante
De A à Z et d'un même tenant
L'on ne peut s'étonner, ainsi, tout se confondant
Chaque code renvoyant à un autre code
Chaque service renvoyant à un autre service
Avec tout un fonctionnement de l'aberré et du vice
Et en suite
Sans hélas, l'éloge de la fuite
En France, paradis des chasseurs, les droites en rite
Cinq cent mille renards sont tués
Et ce chaque année
Le renard vivant vingt ans en captivité
Et cinq ans en liberté très surveillée
1824
Une année qui devrait nous interloquer
Première théorisation de l'effet de serre
Annonçant tout un illimitisme de l'incompétence
De toute une technologie qui nous y danse
Et puis les mots pour dénoncer les absurdités
Par des hiérarchies et des pouvoirs sont capturés et confisqués
Donc, repris, réutilisés, réadaptés, aux usages de la société
Pour que toutes les inhumanités puissent coïter
Le capital sait y faire son marché
Les opinions devenant le marché
Les idées devenant le marché
Les identités devenant le marché
Tout y est chiné et surtout récupéré
Le marché de la contestation
Celui qui passe en divertissement à la télévision
Du capital munificent en son hégémonie
Le conditionnement de la fausse diversité, il est cloné, en suprématie
Le clonage psychologique des conditions en pugnacité
Et si la Terre doit peser
Six ronnagrammes
Vingt sept zéros derrière en gamme
La bêtise humaine l'alourdit d'autant plus
Ma bêtise, ta bêtise, sa bêtise, synecdoque du surplus
585
Concile de Mâcon
L'église et sa tradition
Le couple en même lit, ô fornication
Dormir ensemble en obligation
Mais, là, sans plaisir et pour la procréation
Tout s'assemblant, finalement,  avec ou sans dérivation !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique gaslighting précariat prolétarisé

1 Février 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Mon cousin GLK ( Gilles Le Kvern )  me téléphone car il a lu le livre de Jacques Thorens sur le cinéma le Brady et que cela correspond à ce que je lui en avais dit. En effet, je fus un passager du Brady. Le spectacle était aussi dans la salle. Avec tout un folklore, toute une idiosyncrasie, c'était le cinéma de ( 1929 -2019 ) Jean -Pierre Mocky. "
 
Jacques Thorens ( né en 1973 à Sofia ) " Le Brady, cinéma des damnés " Editions Verticales.
 
S'onanismiser dans Bryophyta
Y faire son pipi, son caca
Mangeant tout, s'adaptant à tout, vigie
La bryologie mieux que toute orgie
Et encore plus érotique qu'une rousse
S'allonger en nudité dans la mousse
Avec mon pénis bryologue
Testicules impulsant mon géologue
La mousse si étonnante et si reviviscente
1500 ans après, encore toute défiante
Je la sperme, me vautrant dedans
De la nature et de ses éléments
Confort oublié dans le caressant
Avec une couleuvre sous le dos pour les caresses
Une entrée en onde pour faire déesse
Tout pourrait être utilisé autrement
La pluie, l'eau, les vents, les sols, l'urine, les excréments
Et à partir de là, les menstrues et le sang
Pour un peu, du début timidement
Tout au refaisant
Tout au reconstruisant
Matériaux naturels au cent pour cent
L'ordre de l'anarchie
L'anarchie de l'ordre
Pour ainsi évoquer
Un anarchiste oublié
Feu ( 1813 - 1869 ) Anselme Bellegarrigue
De paradoxer l'anarchie, il fut le premier, recensé
Même avant P.J. Proudhon et son ambiguïté !
Comme des molécules sans politique
En biologie des molécules prébiotiques
Dioxyde de carbone : CO2
Monoxyde de carbone : CO
Gaz hydrogène : H2
Ammoniaque : NH3
Du catalyseur pour régir le tout
Serpentine pour formaldéhyde : HCHO
Et au fond
L'humanité présente est en dépression
Un syndrome de ( 1880 ) Cotard, dépassant le mur du son
De l'hypocondrie  et des négations
Des organes, des fonctions, sans vraie réalisation
L'espèce humaine
Au et en niveau de l'écocide
Au et en niveau des génocides
Tout étant plus ignoré ou nié
Que vraiment ressenti, comme une irréalité
La vie comme un service militaire
Et en avant, y empaqueter toutes ses affaires
Le paradis des fascistes et des réactionnaires
Un monde fait pour elles et eux
Un monde fait par elles et eux
Plus aucun ou presque, foyer de convivialité
Surtout, les gueules d'inhumanité, de la télé
Des hiérarchies dans la cruauté
Les pires s'imposant dans l'aberré !
Une sotte société
Avec des sots métiers très associés
Au mieux tout y est superficialité
Au pire tout y est cruauté
Toute une toxicité bien organisée
Personne, l'on ne peut y rencontrer
Pas seulement gaslighting
Pas seulement padding
De nouveaux faux mots
D'une ancienne pratique en porte-à-faux
Comme le prolétariat du précariat
Tout un précariat du prolétariat
Rien de nouveau, voilà
De ce qui était, déjà, là
Ou du nouveau très très ancien
Ou de l'ancien faussement très très nouveau
De l'exploitation
De la répression
De l'aliénation
De l'oppression
Et à toute autorité, de la soumission
Toute une colère en frustration
Toute une frustration de la colère
De toute une accumulation
Quand il faudrait tout défaire
Manger du chocolat, c'est déforester
Monoculture, broyage, il faut torréfier
Surtout le noir, trente pour cent en France, le flop
Trois pour cent en Europe, plus au top !
Quoi que nous fassions ou consommions
Nous déforestons et nous polluons
Du numérique au textile
De l'avion à l'automobile
Avec tout ce qui peut y contribuer
Toutes les activités ou travaux salariés
Et à quoi bon, 1961, Gagarine, dans l'espace, expédié
Fondeur de formation, 1m59, homme du labouré
Bac-4, pilote d'essai, aurait été sacrifié
108 minutes dans l'espace, il en fut l'historisé
54 pour cent de mourir en vol, de la probabilité
Vostok 1, 12 avril 1961, nouvelle guerre commencée
Avec derrière, le savant secret, Korolev, bien caché
En exemple type, d'un faux évolué
Depuis le plus vieux cerveau fossilisé
Cardiodictyon catenulum , 525 millions d'années
Du Cambrien inférieur, il fut la nouveauté
Pas pas comme le postmodernisme, intellectualité en vrai merdisme
Quand en 2022, un million d'espèces furent menacées
Soixante-quinze pour cent des écosystèmes dégradés
La biomasse
Organique, végétale, bactérienne, animale
Tout est à la casse
Du capital et de sa masse
Des faunes et des flores, de l'extinction
Et TOUT pour la mort
Ou alors, une holiste réorganisation, l'anarchie en mentalisation !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Matérialité de l'immatérialité

22 Janvier 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Nous sommes captifs et captives
D'une aporie implacable et très vive
Des hommes convaincus
Des femmes convaincues
Avec un discours logique derrière
Difficile de s'y soustraire
Difficile de s'en défaire
La société y fait ses besoins
Il lui faut se vider les intestins
Des marchandises dans la chaudière
Il lui faut faire ses petites ou grandes affaires
Avec des interdits et des régulations
De l'instinct sexuel, dès la naissance, en castration
L'on arrêterait plus de forniquer, sinon
Avec la loi d'exécution, du pognon
Plus l'on est riche, plus l'on sexe, sans la procréation
Plus l'on est pauvre, moins l'on sexe, et avec la procréation
Avec les viols comme l'indicateur de la misère sexuelle
Il faudrait des centres de l'énergie sexuelle
Gratuits, pour femmes et hommes, en recherche sexuelle
Avec un dépistage des maladies inhérentes
Pour éviter toute insalubrité navrante
Gens sains avec pénis sains
Personnes saines avec vagins sains
Des centres qui feraient le plein
Car, avec consentement, qui ne veut un câlin ?
Et de même dans tant d'autres domaines
De tout un nouveau règne
Se défaisant de toute comparaison, de toute compétition
Se défaisant, surtout, de toute tradition
Et donc, du sport, des arts
Et donc des métiers
Et qui ne sont que des métiers
De tout un horrible blizzard !
Le monde marchand est une rumeur
Prenant tous les aspects d'une tumeur
Misère de la rumeur
Rumeur de la misère
Ressourçant le fascisme et la réaction
Par et pour des cerveaux en grande désolation
Du peuple ROM, ainsi
Préjugés tenaces contre ce peuple honni
Comptant pour moins que des pommes
Gens du voyage en mal de considération
Comme une classe dangereuse, de toutes façons
Depuis 1912, de cette fausse certification
Mais en réalité
Classes laborieuses, classes dangereuses
Surtout pour elles-mêmes
Et contre elles-mêmes
Sans pouvoir l'être contre les diverses bourgeoisies
Quand s'en protéger n'est plus un défi
Quand tout s'y subvertit
Ainsi, il y a plusieurs siècles, aux Etats-Unis
Esclaves noirs, serviteurs blancs sous contrat
Et considérés, ces blancs, ces noirs, comme rien
Par des colons propriétaires et esclavagistes terriens
Qui feront la prétendue révolution américaine
Une Constitution de l'attrape-nigaud à l'américaine
De la supercherie de base, contrefaçon pas vaine
Une sorte d'émergence virale
De l'organisation immorale du capital
Toujours la sujétion et selon les possessions
L'économie d'un racisme en affabulation
Car
Un blanc pauvre
Est traité comme un noir
Un noir riche
Est traité comme un blanc !
Pas les races, qui n'existent pas, mais les classes
Ainsi, de l'argent qui blanchit la peau
Ainsi, de la pauvreté qui noircit la peau
Certes, toutes les couleurs des multiples peaux, sont belles
Toutes aimant les caresses, icelles
Mais pour les émissions des gaz à l'effet de serre
Aucune autre comparaison, tout ou rien ne le sert
Quoique, tout s'y laissant faire
Qatar, très pollueur, population faible
2,5 millions de personnes, environ
Nigeria, faible pollueur, population forte
220 millions de personnes, environ
Ethiopie, faible pollution, population forte
111 millions de personnes, environ
Et de tous les autres cas
Où, l'on peut, là, généraliser, voilà
Certes, de la surpopulation
Mais surtout, pas de partage des richesses, mauvaise répartition
Et un paradoxe, sinon
Il faut arrêter de procréer au Qatar
Pour financer le salafisme terroriste, pas de retard
Et continuer de procréer  en Afrique, jamais marre
Un tout probable du grand malheur
Pouvant craindre que l'humanité en chaleur
Qu'ils, qu'elles, frayassent avec tout l'oppresseur
Nous autres, donc, quand tout l'immatériel
En replay, en streaming, plus polluant que le matériel
En plus, en moins, du nous autres, en cérémoniel
Surtout, multinationales, usines, lobbies, de tout l'industriel
Il y aurait tant à dire
Qu'il n'y a plus rien à dire
Il y aurait tant à écrire
Qu'il n'y a plus rien à écrire
Sur tout et sur rien
Qu'il y aura toujours à écrire
Qu'il y aura toujours à dire
Redire et réécrire  sans fin
Sur tout et sur rien !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Orgasmie déboutée, fascisme relooké

20 Janvier 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

L'industrie de la pâte à papier
Première consommatrice d'eau
Et pour bien la seconder
L'industrie minière sans porte-à-faux
Avec tant d'autres artéfacts périphériques
Pas de quoi nous rendre euphoriques
Et comme tout, plus ou moins, procède de l'industrie
Au tout délétère, mortifère, en rançon de cette pluie
Tout l'inceste de la technologie en industrie
Au niveau de l'inceste humain, une victime sur deux
A moins de neuf ans, c'est odieux
Quatre-vingt-dix-huit pour cent, des hommes
Avec derrière, toute une éducation, en somme
La plupart des viols étant commis par des hommes
C'est comme un couteau suisse numérique
Des apprentissages et non du trop facile génétique
Comme le non-épanouissement de la pauvreté
Tant de vies gâchées et violentées
Pour dans les bras de l'hydre fasciste, les pousser
Ne s'en prenant qu'à elle-même la précarité
Les pauvres ne votant pas ou très peu
De l'exclusion des richesses, sont envieux
Et souvent l'extrême droite s'en accaparant
En récupérant parmi les éléments les plus violents
Aucune vraie culture, que du dégueulant
Toute une hypocrite stratégie du méprisant
Les bourgeoisies éclairées, elles, votant plus à gauche
En vérité, tout est de droite, dans cette débauche !
De toute une guerre civile mondiale
Mais, hélas, beaucoup plus que sociale
Ainsi, toujours bétonnant, blindant, le capital
Tous contre tous, toutes contre toutes
D'une continuité jamais en déroute
De cette joute en toutes les soutes
Comme le quadrillion, en système Terre, des fourmis
Difficile à conceptualiser comme de l'astronomie
Il en va aussi de toutes nos consommations
Tout participant de la Kommandantur pollution
Et, je, tu, il, elle, vous, nous, y participons
Certes, en plus ou en moins
Presque toute activité, ouvrier, employé, ingénieur, savant, technicien
De l'enfant, de la femme, de l'homme, personne n'y contrevient
De gré, surtout de force, nous nous y coltinons
Quand pour dépolluer, il faut polluer
De l'émission de NOx, pour incinérer
Oxyde d'azote de l'incinérateur retourné
Notre monde est comme l'orphelinat de l'ïle de Jersey
D'un extérieur au tout paraissant séduisant
D'un intérieur où tout est répugnant
Violences sexuelles, pédophilie, des maltraitances
Pendant longtemps, de l'impunité, aucune redevance
Et en même temps
Du procédé de tous les tyrans
Paradis fiscal pour des milliardaires
Cela fut fermé en 1986, trop puant devint son air
Avec des victimes qui furent, droguées, alcoolisées, suicidées
Et tant d'autres horreurs, passées et oubliées
Autres établissements du monde entier
Et plus tard ou un jour, tout effacé, tout sémillant
Une nouvelle fausse beauté, shopping tout suant
De tout un passé, de tout un présent
Tout un corrélat du dégoût permanent !
Quand la dissimulation d'un travail nécessaire
Dans la production d'un bien, sans obsolescence de faire
Comme une ferveur séminale de l'inconscience du repère
Du déficit informationnel que l'on ne peut éluder
Transformant, de toutes façons, le surinformé en sous-informé
L'écrivain italien qu'il me faut ici paraphraser
Feu ( 1931 - 2022 ) Piergiogio Bellocchio
Forcément moins connu que la marionnette Pinocchio

" La vérité est le trou
L'énorme vide de nos existences
Nous sommes des zéros satisfaits "

Faux amours, fausses amitiés, en évidence
Lorsque tout le monde est en concurrence
Nous y errons, telles des folles, tels des fous
Refaits et défaits mais l'on s'en repaît
Quand tout autre que soi, la  guerre, il faut faire avec
Du pitoyable concours, entre les nanas, entre les mecs
Le monde est facho, il est pas beau
Après son manger, après son boire, le rot
Il en remplit tous les syndicats, tous les partis
Tout un foutre irrigant des organisations et des idéologies
Ne s'éliminant que peu, mais agressant les autres
N'étant jamais éradiqué mais éradiquant les autres
Toute une majorité passant pour une minorité
Sachant faire passer une minorité pour la majorité
Psychologie de masse du fascisme, fonction de l'orgasme
Retour à ( 1509 ) " L'éloge de la folie " Rotterdam et son Erasme
Retour à W. Reich, et son origine du marasme
Tout échouage de bien-être
Trou noir du mal-être !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Marketing packaging en démotique

12 Janvier 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tous, toutes, à la trappe
Tout étant de la farce et attrapes
Forcément
Dans l'injustice, les compétitions, hiérarchies, guerres
Et dès qu'il y a du gagnant, gagnante, perdante, perdant, peuchère
Mais cependant, parfois, ce fut la vie belle, sur notre Terre
De l'organisation à l'Iroquoise ou du matrilinéaire
Tous les savants fascisants ou réactionnaires, cela les exaspère
Il est vrai, qu'à la préhistoire, ce sont des faussaires
La vraie diversité est dans le partage égalitaire
Quand ne surgit que l'affinitaire
Cela a existé bien souvent
Mais cela est scotomisé souvent
Loin, du mon, ton, son
Ma, ta, sa, du ça
Selon donc, les temps de notre monde
Selon donc, les régions du monde
Tout n'y fut pas guerre
Tout ne fut pas guerre
Avant toute conception
Avant toute une théorisation
Sociétés fraternitaires, peu genrées, libertaires
Pas forcément marginales dans cet air
Il faudrait rire au nez de tout tyran
Faire un bon sort à son épanouissement
Qu'il ne devienne pas ainsi un tyran
Aucune espèce de nausée dans l'infini
Quand tout aurait pu être du ravi
Sans que cela soit pastiche d'uchronie
Décideurs, décideuses, rien ne décidant
Les lois du marché, toujours, en imposant
Toute une blablalogie de logogramme, nonobstant
Tout un sinistre associé, décidément !
Notre monde marchand est à feu et à sang
De la reproduction des dominantes et des dominants
Du secteur politique, artistique, économique, de l'impactant
Ainsi de cet exemple type, ignoble, outrageant
En France, notamment
Probabilités d'intégrer des établissements huppés
En fait, des lieux d'inhumanité, une élémentaire vérité
Surtout si le père y a déjà été recruté
Ou si il y a déjà été le diplômé
Sciences Po, ENA, ESSEC, ESSEP
Ainsi, par 83 les probabilités sont multipliées
Pour l'école normale supérieure de la rue d'Ulm
Classe sociale déterminante, on le hume
Un fils a 266 fois plus de probabilités
D'y accéder
Que si le père a suivi une autre voie
Si papa est polytechnicien
296 fois de plus, pour entrer à polytechnique
Si papa est énarque
330 fois de plus d'entrer à l'ENA
De la formation de la crétinerie assermentée
De l'engrammation de l'inhumanité décomplexée
Et le statisticien le remarque
Akabi, Akaba, et voilà, affreuses claques
De même, faut le dire, pour la charcuterie
De même, faut le dire, pour la boulangerie
Métiers, croyances, religions, idéologies
Pour l'usine, le laboratoire, le cinéma, la paysannerie
Pour la littérature, la science, la technologie, l'art, l'industrie
Avec toutes les vraies ou fausses acceptations de ce bazar
Dans les déterminants en déni, et là, aucun lézard !
Inutile de nous agonir en somme
Contenu du porte-monnaie capital en Madone
Il ne peut en être autrement dans cette hideuse donne
Crimes, vols, délits, escroqueries, conflits, guerres
Injustices, nourrissant le système des propriétaires
Propriété de la misère, la misère de la propriété
Le système se reproduisant du tout pervers
Ne pouvant s'affirmer sans cela, c'est son affaire
Tout y est donc taré, faussé, mensonger
Comme une fausse rumeur contre les Roms, ô débilité
Comme la moyenne des nobélisés
Entre 60 et 69 ans, surtout des hommes
Dans le système patriarcal, tu m'étonnes
Au presque tout masochisme
Au presque tout sadisme
Passant, se faisant passer, pour de l'altruisme
Ne bougez pas de chez vous
Les cinglés des gouvernements s'occupent de tout
Avec le déficit informationnel, sésame en passe-partout
Marketing, du packaging, autre démotique
Être des frères Champollion, du copte comme un déclic
Mais ici pour contrer le capital hiéroglyphique
Sans finir, 1821, au musée du Louvre, égyptologique
Les frères Podalydès, eux, c'est pour l'humoristique
Toujours ma propension à cherrer
Mais en paraphysique tout peut s'avouer
Avec un illimitisme des agapes en mutation
Habitats, contacts humains, biodiversité, en destruction
Tout étant devenu du convenu décalé
Mais là, pas comme le cinéma de feu ( 1939 - 2003 )
Joào César Monteiro, inimitable, déclassé
Du subtilement érotisé et insensé
Que GLK mon cousin me fit visionner !
Mais nous nous imaginons
Plus malins, malignes, que les autres
Moins malins, malignes, que les autres
Plus intelligents, intelligentes, que les autres
Moins intelligents, intelligentes, que les autres
Plus heureux, heureuses, que les autres
Plus malheureux, malheureuses, que les autres
Ou chanceux ou chanceuses, malchanceux, malchanceuses
Plus de mémoire, moins de mémoire
Du plus ceci ou du plus cela
Du moins ceci ou du moins cela
Que les autres, mais on l'oublie, c'est nous, les autres, ha-ha
Et tout se tenant, belle erreur, que voilà !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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