Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
patrice.faubert.over-blog.com
Articles récents

Programmatisme étudiant l'exonymie

2 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

La loi des grands nombres
Est comme de la matière sombre
Quelque chose de difficile à se représenter
Il en va ainsi, aussi, pour les probabilités
France
3,6 millions de vaches laitières
Soit 30 millions de tonnes, en équivalent CO2
Vaches usines nourries sur pattes
Soja, maïs, de l'exportation, et ça rate
10.000 litres de lait par an et par vache
Vaches nourries à l'herbe et au foin
Et là, exclusivement
5000 litres de lait par an et par vache
Chaque temps de produit humain
Pour un profit, n'est jamais vain
Tout s'y concentre
Tout s'y diffuse
Tout s'y extermine
Tout s'y exploite
Les gens qui se regardent de travers
Ou de bulles d'indifférence
L'argent y devenant la seule romance
Le virus de la haine
De tous les virus, c'est lui qui malmène
De toutes les têtes contrefaçonnées
Qui ainsi, le faux, ne peuvent qu'interpréter
Il faut être aux normes du capital
Sinon, pan ! de la  fusillade et son râle !
Moi, qui me ventile à l'hémistiche
Je n'y ai cependant le verre du pastiche
Car si parfois, je semble pétitionner
Jamais, je ne songe, un instant, à prétéritionner
Ainsi, tout le vivant, est fortement impacté
460 millions de tonnes par an
Du plastique en 2023, véritable ouragan
Et tout cela, en 2060, ira, en triplant
Déjà, cinq grammes
Par semaine, chaque personne en mangeant
Et comme cela est souvent dit
C'est comme une carte de crédit, bon appétit !
Et pour le nucléaire, aussi
Besoin, 1030 tonnes d'uranium enrichi
Et par an, rien que pour la France
En 2022, 62,7 pour cent de son électricité
Mais la Russie et à un prix cassé
En fabriquant 66 pour cent
Pour le monde entier, de tout son utilisant
Et encore, l'Ukraine, de la Russie, l'envahissant
Pas le moindre embargo, pour sûr
Sur l'uranium, et aussi, d'évidence, franco-russe
Tout est finalement gelé
Pouvant, tôt ou tard, se remanifester, car pas réglé
Tout devenant de la dépendance économique
Tout devenant de la dépendance politique
Tout devenant de la dépendance psychologique
Tout devenant de la dépendance affective
Technologique, informatique, industrielle
Avec des interactions plus ou moins formelles
Dans le :
Toutes contre tous
Tous contre toutes
Toutes contres toutes
Tous contre tous
Et pour tout le monde, de la banqueroute
Mais
Tout ayant déjà été dit, pensé, écrit, fait, imaginé
Par des inconnus à jamais oubliés
Et spoliés par des gens connus
Comme si, ainsi, cela était une nouveauté
Hélas, souvent appauvrie plus qu'améliorée
Et c'est ce vol cérébral qui fait toute célébrité
Ainsi, toute citation
Ne peut véritablement appartenir qu'à qui la comprend
Et pouvant même la détourner en l'améliorant
Tout comme tout commerce se dispersant
Et tous les pays, obligatoirement, s'y internationalisant
De même, du port des vêtements, France, Europe
Toute une importation de Chine ou idem
Et au minimum à soixante dix pour cent, c'est au top
Comme il y a plusieurs siècles sur la planète
Main-d'œuvre à peine payée ou sous-payée
Mauvaise qualité, du produit tout pollué
De l'exploitation du pauvre d'Asie
Pour vêtir des pauvres, d'ailleurs, d'ici
Avec tout ce qui s'ensuit de l'accidentologie
Accidents mortels au travail
Des tas de mutilations ou des maladies, du travail
Hier, aujourd'hui, demain, elle continue l'ignominie
Et ce, mais si bien scotomisée, dans tous les pays
Tout un programmatisme étudiant l'exonymie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

Lire la suite

Paraphysique du technosolutionnisme

1 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout a été dit
Tout a été écrit
Tout a été fait
Est et sera, avant nous, après nous
Mais nous ne le savons pas, c'est tout
Mais nous l'ignorerons toujours, c'est tout
Aussi
S'approprier quoi que ce soit
Sans au moins l'améliorer
Il y a vraiment de quoi se marrer
C'est comme
Pour les savants, les ingénieurs, les techniciens
D'excellentes mémoires mais pouvant être crétins
Sachant, certes, tout bien mémoriser
Pour dans des hiérarchies, s'élever
Mais gens
Indispensables pour faire fonctionner
La société de tout un empire technologisé
Avec donc des femmes et des hommes du système
Et donc, d'autant mieux rémunérés
De la hiérarchie des indispensabilités
C'est comme
Pour l'industrie du divertissement
De la science, de la technologie, son pendant
Artistes, écrivains, acteurs et actrices, comiques, du tout distrayant
Sportifs professionnalisés et donc dopés
Ainsi, du cyclisme en exemplarité
Avec dix mille euros, par mois, pour un simple équipier
Dix à 25 fois plus pour le chef premier
Avec donc trop d'argent en jeu, pour tout révéler !
Toutes les mafias diverses
Le monde entier en fait des averses
Dans tous les sports
Dans tous les arts
Dans toute science
Dans toute technologie
De toute une cooptation
De toute une copulation
Et se partageant le magot
Transports accélérés mondiaux
Fausses algarades, faux idiots
Ils et elles, sont aux télés, sont aux radios
Dans les journaux
Et pour la populace, il ne reste que les mégots
Mais là, pour les applaudir
Et non hélas pour les vomir
La polulace jamais lasse, en redemande
Du populo facho en quémande
Les mafias politiques
Et qui édictent, ainsi, l'économique
Partis, organisations, associations, clubs, syndicats
Il y est rare, le pas caca
Tout s'organisant par et pour les richesses
Et pour la grande majorité, le spectacle de cette ivresse
C'est aussi cela
Le secret de la fabrication pauvre
Bouffe de merde ou même pas
Sexualité de merde ou même pas
Seulement ce qui peut fortifier
Le système, est très fortement récompensé
Luxe, beauté, santé, et toutes les propriétés
Et tout ce qui en général, peut gratifier !
Nonobstant que
Tout soit devenu totalement TERRIFIQUE
Pire que le plus casse-cou des téléphériques
Toute action et surtout des riches
Devenant maudite et maléfique
Des bourgeoisies bouffies ou plus faméliques
Ainsi
De la batterie des voitures électriques
15 kg de lithium
60 kg de nickel
40 kg de cuivre
30 kg de cobalt
Et pour l'éolien aussi critique
D'un mégawatt installé
Six tonnes de cuivre en terre
Neuf tonnes de cuivre en mer
Du câblage peu écologique
Et ces dix dernières années
En cette ère de totale monstruosité
46 pour cent d'oiseaux comme les martinets, en moins
Mais les technosolutionnistes
Crèveront aussi, dans le faux abolitionniste
Rien que les algues
L'algue avec flotteur
Stipe, thalle, crampon, tout un bonheur
Laminaires, grandes algues brunes
Les fucales de trois sortes, fucus denté
Du vésiculeux et du spiralé
Toute une laisse de mer
Qui peut pourrait en dire long sur notre monde amère !
Toutes les nourritures que l'on pourrait faire avec
Et le tout comme du bonbec
D'un monde obsédé de l'identitaire
Et pétitionnaire du tout compétitionnaire
Transidentité, transsexualité, transitude
Société demanderesse et bougresse, des attitudes
Quand tout fabrique du malheur
Dans une permanente et spectacularisée terreur
Toute une psychiatrisation
Toute une pathologisation
Tout en dépersonnalisation
Alors, qu'aucune forme normale de sexualité
Ne peut exister, et c'est donc, selon chaque individu
Ce qui est préféré, point barre, cela ne devrait, même pas, se discuter !
Mais la réacosphère est partout aux manettes
Elle peut ainsi sortir toutes les sornettes
Ayant bien su pénétrer dans toutes les têtes
Et la raison
La queue entre les jambes, en pleine défaite
Et pour la nourriture
Donc, peut-être qu'un jour, dans le futur
Algues comme de la salade de mer
Milliers et milliers, peut-être des millions d'espèces
Et contre l'industrie de l'agrochimie
Ayant déjà tout empoisonné
L'algue, le plastique, ne pourra tout dégrader
Et le charlatanisme dénonçant le charlatanisme
Comme le fascisme osant dénoncer le fascisme
Et comme l'on ne prêche qu'à des personnes déjà convaincues
Ma tête est malade parle à mon cul
Non pas ce qui est
Mais ce que l'on veut qui soit
Avec des groupes de gens, comme il se doit
De A à Z, de ce qui seul, est ainsi, l'existant
De A à Z, de ce qui seul, est ainsi, signifiant !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

L'irradiation de perversion narcissique ( PN )

22 Août 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Pendant les années 1920, quelques vingt-cinq mille travailleurs trouvaient chaque année  la mort sur leurs lieux de travail et cent mille autres restaient handicapés à vie. Et à New York deux millions de personnes vivaient dans des logements considérés comme de véritables pièges en cas d'incendie. "
 
Une histoire populaire des Etats-Unis. Howard Zinn, historien ( 1922 - 2010 )
 
Le monde est PN
Tout ou presque y est perversion narcissique
Le monde est ( E 951 ) aspartame
Du cancer qui y fait son tam-tam
Présent dans six-mille produits
Précellence qui jamais ne se dédie
De l'édulcorant de nos bons appétits
Le capital nous montre son cul
Et tout, est, pour lui
Bélîtres, marauds, malotrus
Galvaudeux, elles, lui, eux
Tout y est de la morveuse, du morveux
Et dans ce merdier tout fric
Et dans ce fumier tout fric
Le fric est le premier flic
Ce sont les riches qui s'en sortent le mieux
Détenant tous les pouvoirs
Détenant tous les savoirs
Toute une morbide perversion narcissique
Manipulant, débauchant, toute sincérité ludique
Et de constater la disparition
De gens simplement sympathiques
Dans l'organisant pervers narcissique
Et tout ou presque y est devenu antipathique
Aussi, le fascisme y a le vent en poupe
L'on s'y précipite pour prendre place en chaloupe
Beaucoup voulant en brandir la coupe
Refusant son terme, néanmoins, l'on s'y dispute une place
Du faux nouveau look, pour ce très ancien faux palace !
Et si le capital est un mal incurable
Tout y est toujours ou souvent minable
De toutes les poubelles et du tout jetable
Mais l'espèce humaine s'y drogue
Peut-être, justement, pour nier toute cette morgue
France
Consommation d'alcool, par an
48000 décès, tout un répercutant
118 milliards d'euros et le tout à l'avenant
Avec aussi tout son débordant, tout son criant
Mais là, la misère du choix
N'est pas le choix de la misère
Et puis, et puis
Qualité pour la richesse
Merde pour la pauvreté
Et comme pour tout le reste
L'on ne peut y faire la sieste
L'on en prend plein la gueule
Mais plus férocement pour les pauvres
Mais plus rapidement pour les pauvres
Et la pauvreté, en spectatrice
Regarde la richesse, en actrice
Dans les films, à la télévision
Dans les magazines, et après, à la niche
Les belles voitures, les belles femmes
La richesse y étalant toute sa came
Tout y étant déjà placardé
De tout un élevage, pour la domination, réservé
Dès la naissance, le chemin est tout tracé
Tout s'y cooptant, richesse ou pauvreté !
Mais, l'on ne peut échapper à tout
De ce monde de folles et de fous
La folie de la domination
La folie de la soumission
La folie de l'acceptation
Surtout, la folie de la résignation
 
" En juillet 1916, le général anglais Douglas Haig ordonna que onze divisions de soldats britanniques sortent de leurs tranchées pour monter à l'assaut des lignes allemandes. Les six divisions allemandes ouvrirent immédiatement le feu. Sur les cent dix mille hommes qui attaquèrent ce jour-là, vingt mille furent tués et quarante mille autres blessés. Tous les corps jonchaient le no man's land, ce territoire fantomatique qui s'étendait entre deux tranchées. Le premier janvier 1917, Haig fut promu maréchal. "
 
Une histoire populaire des Etats-Unis. Howard Zinn, historien ( 1922 -2010 )
 
Ainsi, des sols, et à l'hectare
Une tonne et demie d'animaux, c'est pas avare
Et sont connus, des microbes, un pour cent
C'est comme si c'était plus que notre sang
Et les plantes sont les mères des sols
Mais soixante pour cent sont pollués, pas de bol
Les pesticides au tout du carambole
Quand sous un mètre carré de sol
Dizaines, centaines, de milliers de vers de terre
Dizaines de milliers de collemboles
Centaines de millions de bactéries, tout y raffole
Pour y réseauter, pain bénit, roboratif
Mais en pollution, tout s'y anéantit, itératif
Comme pour les différentes classes sociales
Du déterminisme social implacable et fatal
Hiver 1860, Lawrence, Massachusetts
L'usine Pemberton s'effondrant
Neuf-cents personnes y travaillant
Surtout des femmes, 88 y perdirent la vie
Et, d'une variante l'autre
Passé de l'aujourd'hui, l'aujourd'hui du passé
Rien n'y étant jamais, hélas, vraiment autre
Donc, il n'y eut aucune poursuite, contre le vrai coupable
Comme donc, aussi, aujourd'hui, hier, demain
Le capital et son irrévocable destin
De tous les esclavages et de tous les profits
 
" Des mutineries  commençaient  à éclater dans l'armée française. Comme une traînée de poudre, la révolte toucha soixante-huit des cent douze divisions françaises. Six cent vingt-neuf soldats furent jugés et condamnés et cinquante d'entre eux furent exécutés. On attendait avec impatience les troupes américaines. "
 
Une histoire populaire des Etats-Unis. Howard Zinn, historien ( 1922 - 2010 )
 
Ne se souciant d'aucune vie
Le pouvoir de l'argent comme seul défi
Toute une infection émotionnelle, dans tous les pays
Cela se fait, se fera, se fit
Toutes les horreurs, et avec ou sans dorure, tout vilain !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Les absurdités dépressives

15 Août 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

L'impression de ne rien savoir
Quand je crois savoir
L'impression de ne pas lire
Quand je lis
L'impression de ne pas étudier
Quand j'étudie
L'impression de ne pas réfléchir
Quand je réfléchis
L'impression de ne pas écrire
Quand j'écris
L'impression de ne pas penser
Quand je pense
L'impression de ne pas dire
Quand je dis
L'impression de ne rien faire
Quand je fais
L'impression de ne pas vivre
Quand je vis
L'impression de ne pas mourir
Quand je meurs
L'impression que la réalité
N'est que de l'irréalité
L'impression que l'irréalité
N'est que la réalité
L'impression de ne pas bouger ou voyager
Lorsque je bouge ou voyage
L'impression de bouger ou voyager
Lorsque je ne bouge pas ou ne voyage pas
Et avec ou sans bagages
L'impression de tout oublier
L'impression de tout effacer
L'absurdité devenant absurde
L'absurde devenant absurdité
Et façonnant finalement toute personnalité
Réalité de l'irréalité, irréalité de la réalité !
Ainsi, du taux d'élucidation
Mais que fait la police ? Sauf, pour la répression
Vols avec violence contre les personnes
Huit pour cent après un an d'enquête
Mais de la conviction, il faudrait qu'elle s'y mette
Et là, aucune logique n'y raisonne
Mais cambriolages de logements, vols de véhicules
La misère n'y est jamais ridicule
La lutte des classes jamais n'y recule
Et pour les escroqueries et vols avec violence
Le taux élucidé est de 17 pour cent
La France ne sort pas de son rang
Répression, réaction, avant tout, et pas de mauvais sang
Pourtant, de moins en moins de crimes de sang
Ce qui augmente beaucoup, c'est du petit délinquant
Surtout
Dans une société de l'apparence
De belles montres, de belles voitures
De beaux vêtements, de belles maisons
Tout déguisé dans de fausses évidences
Des usines de la misère, une infernale cadence
De la maternelle à l'université
Du bureau, du laboratoire, de l'usine, de la ferme, à l'armée
Et dans son métier ou dans son activité
Et chacune, chacun, à sa place
Et chacun, chacune, dans sa classe
Tout y est déterminé, de la rue au palace !
Comme du possible
Mais, surtout, là, pour de l'impossible
De tout un historique de l'impossible
Certes
Tout ce qui peut arriver
Tout ce qui est possible d'arriver
Est arrivé, arrive, arrivera
A déjà été vécu
Est déjà vécu
Sera vécu
Ici ou ailleurs
Passé, présent, futur
Toujours ma marotte qui me trotte
Et toujours, je la hoquette, je la rote
De tout ce qui vit
De tout ce qui meurt
Du leurre à toutes les heures
Comme dans une boutique de souvenirs
Vrais et faux souvenirs dans leurs soupirs
Et tout ce que nous disons
D'autres l'ont dit, le disent, le diront
Et tout ce que nous pensons
D'autres l'ont pensé, le pensent, le penseront
Et tout ce que nous faisons
D'autres l'ont fait, le font, le feront
Et tout ce que nous écrivons
D'autres l'ont écrit, l'écrivent, l'écriront
Et tout ce que nous imaginons
D'autres l'ont imaginé, l'imaginent, l'imagineront
Ce à travers les âges et les temps
Les époques, pays, planètes, gens
Bref
Tout ce qui peut être ou peut se faire
Pas seulement dans les faits-divers
Sport, économie, politique, les guerres
Jeux, divertissements, science, et divers
A été, est, sera
Avec variantes du tutti quanti, forcément
Ou d'ailleurs pas forcément
Du rien ou du tout, du fervent ou du dément
Du différé ou du direct
Direct dans le différé du direct
Tout étant si semblable dans le différent
Tout étant si différent dans le semblable !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Cartellisation glyphosatée du monde

9 Août 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout étant affidé, avec ou sans
Tout étant irradié, avec ou sans
Pour ou contre, contre ou pour, transports accélérés mondiaux
Une voiture, 10 kg de CO2, aux cent kilomètres, relâchés
Du Bayer Monsanto, soja OGM, tout glyphosaté
80 à 90 pour cent, volailles, cochons, en hors-sol
Toute l'Europe en infection, et de la négation molle
Tout se déversant ensuite, mers, rivières
Fleuves, mares, étangs, et reste du monde qui le prospère
TOUT comme dépassé par les évènements
Même le salement s'y fait ou peu s'y faire proprement
Hausse des prix alimentaires, 2023, France
13,7 pour cent, glissement annuel en licence
Hakan Fidan, ex-chef des services secrets turcs
MIT, terroriste d'Etat, il y a comme un truc
Être reçu par l'Etat français, mieux qu'un duc
Tout gouvernement est complice de toutes les atrocités
Nombreuses et variées, ce dans le monde entier
De l'économie partout interconnectée
Chaque pays, d'une procédure l'autre, à un autre pays, soudé
De chaque nation, et de l'interdiction, en spécificité
21 mars 1941, France, le football est officiellement interdit
Aux femmes, suite du baron Pierre de Coubertin
Pétain, reviens, tu as oublié tes chiens
Le monde est totalement devenu banque
Tout y est devenu branque, tout y est devenu tank
Corruption qui écrabouille tout
Cartels et mafias, les militaires et les flics ripoux
Feu sur tout ce qui dérange comme au Mexique
Des cartels pour la drogue, le sport, les jeux
Des cartels et mafias pour les armes, tout y fait feu
Politiciens et politiciennes sont à et pour eux
Tout est sans vie sous leurs tutelles
Monde des cartels et des mafias, très actuel
Vie de la mort, mort de la vie, toute vie pas belle !
Dans un monde où tout
Sent et produit de la mort
Tout y étant une vie de la mort
La mort de la vie de port en port
Rien ou si peu d'éthique dans le tout crétin !
France
165000 salariés au service de l'armement
Secret défense
Usines, laboratoires, entrepôts
Des armes à qui pourra les acheter
Des armes prêtes à tuer
Et peu importe, à qui, si cela peut rapporter
Secret défense
Que l'on se fiche de la tronche des gens
Acceptant tout, par et pour le besoin d'argent
Secret défense
Que les riches ont tout
Que les pauvres n'ont rien
Secret défense
De la fabrique des divers consentements
Des gens dominés et des gens dominants
Secret défense
Et donc toujours de la crapulerie
Et donc toujours de l'ordure, de la vilenie
La défense du secret
Que tout le monde connaît
Que tout le monde sait
Secret défense
Tout y est niais !
Avec les mémoires artificielles
De la sous-intelligence en boîte, superficielle
Tout pouvant y générer du faux
Factures, trafics, business, guerres, élections
Et pour y retrouver du vrai, chapeau !
Quand tout est noyé
Quand tout est submergé
Internet, les radios, les télés
Journaux, le spectacle des infos
Il y en a tant et tant
Le présent y est, comme jadis, cinéma permanent
L'on ne peut plus, ou à grande peine, les classer
L'on ne peut plus, ou à grande peine, les trier
De quoi devenir du dingue
Quand tout nous y tringle
Du au secours
De chaque lobotomisation au jour le jour
Et rare bouée possible dans cette basse-cour
Mais le faux veut et ne voudra que le faux
Toute une addiction des sottes et des sots
Faux du vrai, vrai du faux
Mais, ouf, il y a toujours des faits
Chiffrés ou établis, et qui font encore de l'effet
Ainsi, en 2023, et au premier juillet
74513 personnes en France, sont en prison
2500 doivent dormir à même le sol
Parfois 2 à 3 personnes par cellule, pas de bol
De toutes nos têtes molles
Et que plus rien, vraiment, n'affole, dans le raffole !
Cependant qu'existe encore de l'honnêteté
De toute une praxis d'ancienneté
Réparateurs de l'internet, divers métiers, journalistes
Femmes et hommes, toute une liste
Et selon les pays, ignorés, marginalisés, bâillonnés, assassinés
Devenant code d'honneur inusité et bien moins rémunéré !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Psychose de masse induite

3 Août 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Un loup
Peut parcourir
Deux cents kilomètres en vingt-quatre heures
Comme pour les animaux humains, des meilleurs marcheurs
Mais, là, il s'agit de la marche sportive
Largement, au-delà, des meilleurs randonneurs
De l'addiction à la dopamine
L'on est sa donneuse, son donneur
L'addiction au sport, fort l'honneur
L'addiction
Ax appareils technologiques, ô grand malheur
Toujours la recherche de dopamine
Et l'on y a la mauvaise mine
Endorphines avec mobilité
Endorphines avec immobilité
Avec des récompenses de grande variabilité
Usage et durée
Le temps de l'écran
Ne faisant qu'augmenter
Et même en rapport à la télé
Tout ceci comme une substitution à la tétée
Pour une perception du temps modifié ou annulé
De toutes les applis qui nous plient
Du renforcement intermittent des si
Du comportement inconscient déclenché
Habitudes automatisées du situationnel
De l'environnement inusité ou habituel !
Z
Comme Poutine, Prigojine, Outkine
Du Wagner dans le trio infernal
Kleptocrates animant le bal
Qui sera le plus glouton rapine
Mafieux, de faux vrais traîtres, bien curieux
Z
Pour différencier les chars russes
Des chars ukrainiens, ne pas mélanger les gus
En symbole du nationalisme guerrier russe
Mais l'armée française
Avec son colonialisme toujours à l'aise
L'avait, à sa façon, déjà fait
Mai 1945
Dans le Constantinois algérien
Afin de mater toute velléité indépendante
17 à 20.000 morts, c'est pas si loin
Nationalisme colonisé
Contre nationalisme colonisateur
Mais là, il s'agit d'une autre heure
Vice versa, versa vice
Quand en ce domaine, tout devient vice
Le contre du pour
Le pour du contre
Il ne faudrait aucun nationalisme
Mais les peuples du monde, en anationalisme
Et quoi qu'on en médise
Il vaut mieux avoir raison tout seul
Et l'on vous rengorgera d'y être comme veule
Qu'avoir tort avec tout le monde !
Laissant son mouchoir dans aucune ronde
Et l'on pourra toujours dire votre majesté
De toute domesticité, elle devra, nonobstant, le rester
Cependant, et avant tout, une majesté de domesticité
Les mentalités se sont SSisées et mercenarisées
Pas seulement Wagner et autres armées
Du syrien, massacré, tranché, décapité
Brûlé, à la pelle, au couteau, tout mercenarisé
Pas seulement, tant s'en faut, du poutinisme
Mais de l'économie en nationalisme
Ne pouvant taire, paradoxe, son internationalisme
Monde devenu poudrière assermentée
Tout à chaque instant, attention, DANGER
Pas comme les charmantes araignées
Petites ou grandes, si facile à tranquilliser
Quand sur leurs têtes, il suffit de souffler
Puis, 2 minutes à une heure de tranquillité
Voilà, elles sont alors comme paralysées
Mais nous avons besoin de toutes les illusions de l'ailleurs
Mais tous les ailleurs sont de l'illusion
Quand la désillusion
Est aussi, au départ, de l'illusion
Tout, dans l'illusion, s'étant organisé
Avec des comportements aliénés toujours répétés
Admis, normés, et donc légitimés
Et classes sociales pour les déterminer
De chaque temps historique en sa pugnacité
Toute armée, il faudrait la déserter
Donc, comme le syrien
Mohammed Taha Ismail Al-Abdullah, traité comme rien
31 ans, déserteur, juin 2017
Par Wagner, affreusement assassiné
Oui, seules les idées libertaires
Ne sont pas à déserter, au-delà, du nihilisme sans air !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Paraphysique des aberrations en syntonie

1 Août 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Les fonctions du langage
Reproduction des comportements
Classes sociales se maintenant
Et au tout, pouvant, se réactualisant, se généralisant
Moteurs des déterminants sociaux
De l'imitation et de l'idiot
Tout y est ruses diverses
De nombreux bagages
Aux courroies de diverses traverses
Du péjoratif
Du laudatif
De l'été, automne, printemps, hiver
Avec une propre histoire ontologique derrière
Petit et très simple exemple
Péjoratif
Faire bronzette au soleil
Laudatif
Se faire câliner par le soleil
Ce qui en dit déjà long
Sue ceux ou celles
Qui usent de ces formulations
Des mentalités, rien n'y est plus réel
Des symboles aux oboles
Des oboles aux symboles
Et du même panier, tant et tant d'autres exemples
Tout y étant très très ample
Mots, expressions, de mépris
Mots, expressions, de hiérarchie
Mots, expressions, de compétition
Mots, expressions, de comparaison
Ce qui fabrique des régions et des nations !
Quand, justement
Ne rien faire est strictement impossible
Cela n'existe pas l'impassible
Même après les molécules
Il y aura toujours les particules
Donc, cela n'existe pas la paresse
C'est de la méditation qui caresse
Dans chaque corps du vivant
Il y a toujours beaucoup, du mouvement
Avec toujours du chamboulement
Du travail à plein temps
Qui dès la naissance devrait être rétribué
Et ou par la Sécurité sociale, remboursé
Le métier de vivre
Il y faut y être comme toujours ivre
Donc
Mots et expressions
Qui sont là pour rabaisser
Qui sont là pour moquer ou humilier
De toutes les religions
De toutes les idéologies
Elles en ont dans leurs tiroirs
En font des tas et des tas d'histoires
Et selon, surtout, la droite, l'extrême droite
Mais aussi, selon, la gauche et l'extrême gauche
Et comme tout est devenu de droite
La porte de sortie y est plus qu'étroite
Le capital dans toute sa manifestation !
Mais à force d'utiliser
Mots, expressions, mal à propos
Tout ou presque ne vaut plus que zéro
Quand donc, mots, expressions, sont dévoyés
Ainsi
Plus rien ou peu s'en faut, vraiment, ne peut-être évalué
Et dans chaque tête, vraiment, représenté
Comme la propriété de plus grande cherté
Et ce dans le monde entier
En exemple aussi d'imparabilité
Du tortionnaire et sadique SS
Mohammed Ben Salmane, MBS
Yvelines, Louveciennes, France
Quand un horrible y fait sa danse
Château Louis le quatorzième
7000 mètres carrés, pour le même
275 millions d'euros
Il n'est pas un zozo
Partout, c'est son zoo
Reçu en très grande pompe
L'économie tocsinée  qui jamais ne rompe
Agitations cavalcadantes
Clignotantes, élucubrantes
Faussement, trébuchantes, ahanantes
Où tout, s'y chante et s'y déchante !
Tout y est sans-gêne
Comme l'avion, 99 pour cent au Kérosène
Août 1944, France
152 procès pour viols ou assassinats
Furent prononcés par l'armée d'occupation des USA
D'une occupation l'autre, en évidence
132 condamnés furent de la peau noire
Et cependant
De représentation, dix pour cent de l'armée des USA
Avec tout un racisme miliaire
Inutile de douter, les faits le font croire
Gradés sudistes, et tous racistes
KKK, et bien fascistes
Inutile de pousser des cris d'orfraie
L'Histoire, toujours, dérange, quand elle est vraie
Ainsi
Migrants et migrantes noyés
En mer Méditerranée, ces dix dernières années
20.000 personnes, tant de vies perdues ou gâchées
Ou d'autres horreurs, anomalies, liées ou pas liées
Ô paradoxe du tout lié dans le séparé
Etats-Unis
Et à un instant précis
Deux millions de personnes considérées comme fugitives
En exemple aléatoire, peur déclarative
De toute une agonie de socialité trahie
Par les religions et par les idéologies
De toutes les aberrations du monde en syntonie
Hélas, violences, guerres, conflits, tortures, meurtres, symphonie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Polluants automatisés des esprits

27 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Qui ose se dire philosophe
N'est pas un philosophe
Car, les autres, c'est quoi, alors ?
Des crétines et des crétins ?
Qui ose se dire savant
N'est pas un savant
Car les autres, c'est quoi, alors ?
Des crétines et des crétins ?
Tout ce qui prétend
Penser à la place des autres
Alors que tout a été déjà dit ou pensé
Et par beaucoup d'autres, déjà, présent du passé
Il est inutile de parler
Il est inutile de penser
Il est inutile de faire
Et ce à la place des autres
Si les autres parlent
Si les autres pensent
Si les autres font
De toutes façons
Tout a été parlé, pensé, fait
Tout a été dit, pensé, fait, avant moi
Tout a été dit, pensé, fait, avant toi
De toutes façons
Tout a été dit, pensé, fait
Avant, nous, vous, eux, elles, avec ou sans mais
Et tous les livres que nous ne lirons jamais
Et tous les documentaires, films, que nous ne verrons jamais
Il y faudrait plusieurs vies
Aussi personne n'y est vraiment, l'érudite ou l'érudit
De toutes façons
Et forcément, tout est de la contrefaçon !
Et je suis ton savant et je suis ton ignorant
Et tu es mon savant et tu es mon ignorant
Eux, elles, lui, hommes, femmes, enfants
Et en tout cela, le sachant, rien de vexant
Tout est manipulé
Par la manipulation qui manipule
Ce qui manipule lui-même le manipulé
Ce qui manipule lui-même le manipulateur
Perversion narcissique destructrice de toutes les heures
Comme
L'observé de l'observateur
L'observateur de l'observé
Prodrome des prodromes
Du tiercé gagnant à l'hippodrome
L'objectivité de la subjectivité
La subjectivité de l'objectivité manipulée
De l'inconscient qui sait tout y fausser
L'observation manipulée
Des classes sociales avec leurs préjugés
De l'observateur
Par l'observation, de sa propre histoire, manipulée
L'observateur est l'observé
L'observé est manipulé par l'observateur
Tout bavant d'une dette
De l'éducastration et de toute fausse fête
Tout ceci s'enfantant dans les défaites
La dette de la dette de la dette
Tout vit de la dette
Le capital s'en entête
Il ne peut être que de la dette
Contraint d'en être la véritable grosse tête
Les pauvres en crèvent
Les riches en font la grève
Dette, dette, et dix de dette
Du divorce, de la santé, des études
En tout, pour tout, rien ne l'élude
La dette
Est au capital son bureau d'étude
Cela n'est pas le réel
Que nous théorisons
C'est le réel qui nous théorise !
Nous théorisons le réel
Et c'est quoi, le réel ?
Le réel nous théorise
Nous pense, nous anime, et nous terrorise
Nous en faisons des diktats
Nous en faisons des vivats
Le réel, nous le créons
Le réel, nous le construisons
Avec tout l'argent, irréalité, qui tout, détruit
1) Armes
2) Drogues
3) Pétrole
Flics et gabelous
Militaires et autres marlous
Piliers fonctionnaires en défense du système
Toutes les dominations les aiment
Tous les intégrismes s'y promènent
Comme en pollution, mais là, des esprits
Faisant accepter toutes les autres, par dépit
Un Paris-Marseille en train, 80 fois moins polluant
Qu'un Paris-Marseille en avion
Et beaucoup moins aussi
Qu'un Paris-Marseille en voiture
Mais l'aérien n'étant pas taxé
Il est donc d'une bien moindre cherté
Mais, le rail, il faut le rénover
Et sur le prix du billet, c'est reporté
Comme dans les supermarchés sur ce qui est volé
Et là, c'est le voleur qui est volé
Au lieu de tant et tant de travaux inutiles
Petites ou grandes villes et à la file
C'est l'existant rail et tout le reste, qu'il faut/faudrait réhabiliter
Alors qu'au port d'Anvers
50 milliards d'euros s'y déversent
Et chaque année de nouvelles averses
Du trafic de drogue, et de cocaïne
Avec de la technologie maligne
Tout y étant crypté
Indéchiffrabilité, indétectabilité, des complicités
Diverses mafias, la belge, la marocaine, la colombienne
Assassinats, attentats, tortures pleines
De toute une inéluctable impunité
Sans cesse étatisée et toujours hydre de reproductibilité !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Casus belli, vrais et faux souvenirs

22 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et à travers les âges
L'on entendit, l'on entend, l'on entendra
Comme une sempiternelle dépression
N'ayant le goût à rien
D'attendre quelque chose, il n'y a rien
Toujours s'adaptant
Toujours se répétant
Toujours se répercutant
Selon lieux et temps
Selon son lieu, selon son temps
De ce qui circule ou pas dans son sang
L'organisant ou pas dans un signifiant
Sinon, cela est comme inexistant
Tout étant comme un palimpseste
Tout étant comme un inceste
Tout étant comme une claustration
Et là, pas de Latude en évasion
Avec du casus belli pour toute option
Contre la bêtise généralisée, aucune révulsion
Sans compter
Les faux souvenirs des vrais souvenirs
Les vrais souvenirs des faux souvenirs
Comme de toute enfance inventée
Car elle nous est surtout racontée
De l'écrivain de Tanger, Najib Arfaoui
Né en 1943, je crois me souvenir de son AJS-OCI
Comme d'un lieu-dit de sa vie
Souvenance d'un très jadis, se perdant dans son infini !
De tous les desiderata
En chattemite de toute déliquescence
De mon style de la négation
Sans négation du style en péroraison
Tout ne pouvant s'accoler
Tout pouvant se décoder
Ainsi, du Vatican
Drogue, pédophilie, homosexualité, hétérosexualité
Diverses protections, et totale impunité
Des contacts fréquents avec la mafia
Et donnant des leçons au monde, tout est là
Et à quoi bon les grimaces de l'évolution
Il y a 66 millions d'années, une autre grande extinction
Mais presque deux millions d'années plus tard
Et après l'impact, du futur cafard
Fougères, palmiers
Fruits à coque, légumineuses
De la coévolution avec les mammifères
Mais tortues et crocodiles en leurs affaires
Même l'astéroïde de 15 à 20 km, ne sut les défaire
Et nos ancêtres des ancêtres
Sans lesquels, il ne parut point, l'être
Purgatorius et autres bestioles
Qui furent nos têtes de gondoles
Du maniraptorien, et là, pour le vol !
Alors que vingt millions d'oiseaux
Disparaissent, et ce chaque année
Depuis, 1980, 800 millions éliminés
Du moineau domestique, moins soixante-quatre pour cent
Du martinet noir, moins quarante-six pour cent
Car, pesticides, l'éclairage, l'anfractuosité
Moins aussi, de haies, de prairies, et des chats pour les tuer
Comme si le capital et son organisation
Vouait tout au suicide et à la désolation
Moi qui suis tigre capricorne
Même si je ne crois pas à des cornes
Donc, comme le rare tigre de Sibérie
Pouvant, coûte que coûte, survivre aux intempéries
Quand il reste encore trente-huit espèces de félins
Dans un monde dévasté, notre contemporain
Dont le chat forestier d'altitude
Du Jura, le plus puissant, encore à l'étude
Avec des constats nous plombant dans l'hébétude
1830
Dix millions d'éléphants
2023
Quatre cent mille éléphants
Et aucun chatGPT du j'ai pété
Cela pue, et ne saurait, surtout, rien empêcher
Quand toute marchandise rare a son trafic
Sa mafia, femmes et hommes politiques
Du crime social, bois du rouge santal
Et donc du crime économique en fanal
Ce qui conduit au crime environnemental
Syndrome du crime politique, du Dubaï, en fatal
Accusé capital, levez-vous
Vous êtes la folle des folles, le fou des fous !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien 

Lire la suite

La production du tout ignoble

15 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tous et toutes
Se croisent
Tous et toutes se toisent
Comme sur un radeau en perdition
Qui nous méduse, le rideau baissé, en snobisation
Et nous tirons nos valises
Et nous exténuons nos balises
Quand il faut tout porter
Comme de lourds poids, tout soulever
Valises des autres
Valises qui sont nôtres
De toutes les particules enchevêtrées
Du monde du présent, du monde du passé
Des vies et des morts, au tout unifié
Et jusqu'à l'espace-temps qui va s'évaporer
Tout y est multitude
Tout y est solitude
Et à propos de solitude
Certes
Elle est diverse et donc variée
Ainsi, en Chine, loi du multiplié
240 millions de personnes
Vivent seules, rien n'y détonne
Et comme tout est logique, dans le ligoté
Production de 80 pour cent
D'objets sexuels dans le monde
Faisant à peine survivre, un million de salariés
Toute une queue leu-leu du sexophobé
Nonobstant, un chiffre d'affaires de sept milliards
Et tout cela, bien en milliards
Il y a tout un onanisme en marché !
Et puis, pour paraphraser feu Léo Ferré
" Libérez les sardines
Et y'aura plus de mareyeurs "
Tout est donc en orchestration du gâché
Et à cela, l'espèce humaine est bien dressée
Comme pour le tennis à Roland-Garros
750.000 à 1,5 million de litres d'eau utilisés
Et en plus de bonne potabilité
Dans cette compétition et sur sa durée
Toutes les passions sont de grande cherté
Les coulisses cachées de tout un écocidé
Plus ou moins, tout ne peut, ainsi, qu'y participer
Sport, culture, divertissement, économie, politique, aménagement
De toute une architecture de l'aberrant
France
Quatre millions de mal-logés
330 mille SDF, de quoi, vraiment, pavoiser
Les restos du coeur
Pour des estomacs vides, que du bonheur
2200 antennes, 70.000 bénévoles
5,5 millions de gens nourris, chaque année
Des denrées venant de supermarchés
Certes, leurs produits sont donnés
Mais
Ce sont des invendus, ou des invendables
Sans valeur marchande, du pas convenable
Et donc les pauvres, à table
Avec des allègements fiscaux, de ce fait
Rien de gratuit, aucune vraie philanthropie, non mais !
Ce monde est camarde
Même son prétendu mieux, nous y canarde
Quand justement, son mieux est un moins
Tout y est comme une vengeance posthume
Qui dans nos gueules
Nous y revient en sournoise enclume
Gens, évènements, lieux, temps, tout nous y hume
Comme aussi pour refroidir les data centers
Google a consommé
Quinze milliards de litres d'eau en 2022
Dont 90 pour cent d'eau potable
Tout s'y groupe comme en eau de mer
12390 magasins du groupe Casino
Acheter du poison en sortant du boulot
Car
La contamination chimique des aliments
De toutes les denrées alimentaires, au tout continuant
Pour cela ou pour ceci
Pour ceci ou pour cela
Comme une photographie du pétrole TOTAL
Tout y étant incendié en tragique fractal
Avec toutes les maladies inhérentes, ô fatal
D'un monde en guerre permanente
Du restreint et du généralisé, psychose démente
Tout y étant violé comme dans une tournante
Le capital se nourrissant de toute tourmente
Avec tout un faux détournement qui l'alimente
Pervers narcissique toxique y éructant sa fiente !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>