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Articles récents

De la matrilinéarité matriarcalisée

8 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Le patriarcat
C'est l'horreur
Le patriarcat
C'est la terreur
Le patriarcat
C'est la guerre
Le patriarcat
C'est la propriété
Tout cela s'accordant très bien
Tout cela rimant très bien
Depuis la fin de la matrilinéarité
Qui aurait, très jadis, règne de milliers d'années
Puis, hélas
Vint la transmission
Non plus de la mère à la fille
Mais du père au fils
Cela n'est enseigné pratiquement nulle part
Ou alors toujours trop tard
Donc
Tant que l'on ne connaissait que la mère
Aucune arme, aucune propriété privée, aucune guerre
Mais voilà bien qui dérange
Tous les manuels scolaires
Et même certains savants réactionnaires
Aussi, toutes les traces de matrilinéarité
Furent, et d'année en année, au tout gommé
Cependant
Quelques traces peuvent encore subsister
Mais que des hommes commencent de contester
D'autres aussi, pouvant très bien s'en accommoder
Ainsi des Khasis en Inde
Ainsi des Moso en Chine
Ainsi des Makua du Mozambique
Ainsi des Minangkabaus d'Indonésie !
Là, au moins, le vagin a un juste prix
Et tout pénis est au défi
Tout un holding à cor et à cri
Mais déjà le matriarcat
Est une déviation ancienne de la matrilinéarité
Aucune guerre, aucune arme, aucune rivalité
Et ni matriarcat
Et ni patriarcat
Et donc ni vaginocrates
Et donc ni phallocrates
La transmission du séparé
Le séparé de la transmission
Rarement, du vrai partage, de l'égalité, de la solidarité
Comme le lichen, une symbiose
Algues et champignons
Des dizaines d'espèces en communication
De même
Il faudrait une osmose
Entre femmes et hommes
Surtout avec l'unicité qui cause
Comme aussi de chaque flocon de neige
Tous semblables, tous différents
Analogie avec le genre humain, c'est marrant
Une symétrie à six points
Feu ( 1596 - 1650 ) René Descartes y voyait huit points
Vapeur d'eau, de la poussière
Du fractal de la mathématique au moléculaire
Tout un landerneau qui besogne et qui erre !
Tout cela moins nocif
Que l'amiante où rien n'est inoffensif
Avec le cancer de la plèvre en suite
Tant de divers matériaux amiantés en fuite
En France
Des personnes en meurent chaque jour
Et le mésothélium qui court
Avec là encore tout un lobbying industriel
Quand le désamiantage se fait la belle
Et pour toute grave maladie
En France
Pour la réanimation, c'est sept lits
Pour cent mille personnes
Toute une logistique qui déconne
Malgré du cénacle et de l'afféterie
Propre au capital et à ses habits
Et donc, c'est dix lits
Pour cent mille personnes
En Espagne et en Angleterre
Mais avec l'Allemagne, c'est 24 lits
Cela est toujours trop peu
Cela est toujours très peu
Mais seule une autre société pourrait faire mieux
Plus de fusées
Mais des hôpitaux et du personnel pour bien soigner
Car pour un anesthésiste réanimateur
Onze ans de formation, les pendules à l'heure
Toute marchandise a son sapiteur
Vendre, louer, acheter, échanger, comme seules valeurs
Ainsi, en France, ce sont les filets de pêcheurs
Qui emprisonnent et noient les dauphins
Accidents ou pas, c'est très vilain
Et pour 80 pour cent de ces cétacés
Cela suffit, c'est assez
De mourir dans la terreur angoissée, très forte probabilité
Toute une production
D'agnotologie en circulation
Le savoir de tout pouvoir, de la rétention, de l'étatisation !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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L'industrialisation d'acceptation obligation

3 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

NPS
Nouveaux produits de synthèse
Rien de naturel
Au tout synthétique et artificiel
C'est l'ère du chimique
Pire que des fredaines
Car ça, c'est de la mauvaise peine
Des euphorisants légaux
Aux nombreux dommages collatéraux
MDMA, crack, fée verte, laudanum
Cela n'est déjà plus le summum
Des cannabinoïdes de synthèse
Sels de bain, et autres nouvelles thèses
Avec des noms marrants, des emballages décorés
Mais avec une santé qui peut s'en détériorer
Spice et autres substances chimiques
En vente sur artilect internet, et en quelques clics
Il y eut bien, jadis, comme un secret militaire
La pervitine pour gagner la guerre
Méthamphétamine en fausse vitamine
La drogue chimique comme mauvaise mère
Même avec un agenda de la drogue
Que jamais vraiment le corps n'élimine
La seule drogue non toxique
De toute la pharmacopée, et donc des pharmacies
Le fameux GAMMA-OH, fut retiré
Mais les diverses saloperies chimiques, elles, sont autorisées
GHB, vrai euphorisant, qui fut donc interdit
Avec une ampoule à casser dans un verre de jus de fruit
Il est vrai qu'il fut trouvé par feu Henri Laborit !
Et certes
Tout est plus ou moins de la pharmacie
Tout est de la drogue ainsi
Cela peut ne pas nuire à la santé
Cela peut nuire à la santé
De l'artificiel ou du naturel, l'on ne peut comparer
Avec divers effets différenciés
Les personnes doivent devenir des toxicologues pour se doser
Et les tranquillisants ?
Et les anxiolytiques ?
Et les hypnotiques ?
Et les somnifères ?
Et les antidépresseurs ?
Et les ceci
Et les cela
C'est de la drogue aussi
Avec un permis ou sans aucun permis
Du légal
De l'illégal
Selon les époques et les pays
Toute une industrialisation
De toute une obligation d'acceptation
Toute une obligation d'acceptation
De toute une industrialisation
Un consensus fabriqué de soumission
Et forcément
Il vaut mieux de la drogue naturelle
Que de la drogue artificielle !
Le GAMMA-OH, c'était chouette
Il fut proscrit, c'est trop bête
Pendant vingt ans, j'en ai pris
D'une gracieuse ordonnance perpétuelle de feu Laborit
Cela produisait une douce et saine euphorie
Mais cette seule drogue non toxique
Fut calomniée, détournée, violée
De la rage, elle fut accusée
Pour ainsi pouvoir s'en débarrasser !
Par contre, le E171, dioxyde de titane
Put longtemps sévir sur le marché, le capital est un âne
Alors que l'amidon du riz
Aurait pu faire l'affaire, c'est ainsi
Et tout pourrait être comme cela
En apprenant autrement et ce depuis la naissance
Pour de tous les comportements, une renaissance
Car présentement
Du faux bio, du un peu plus bio
Ou du pas bio
De la bouffe dégueulasse
Des encres sur les paquets qui sont cancérogènes
Des équipementiers, des ingrédientistes, pour nous berner
Au tout standardisé, au tout ultra-transformé
Le fric est toujours sans aucune gêne
Avec l'environnement toujours plus fortiche que les gènes
Des auxiliaires technologiques
Carnivores, végans, végétarisme, un marché frénétique
Ou alors, du VRAC, ou alors en VRAC
Plus aucun emballage
Pour un autre plumage
Pour le système des lobbys des marchés
Les marchés du système des lobbys
Tout un patraque
Ou un jour, encore un nouveau mac ?
Les lobbys de l'équipement
Les lobbys de l'alimentation
Les lobbys de la construction
Les lobbys des médias
Les lobbys des loisirs
Les lobbys du divertissement
Les lobbys du travail salarié ou non salarié
Les lobbys sachant s'adapter subtilement !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du plasticène

1 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Pétain, reviens
Tu as oublié tes chiens
En France, on le voit bien
Avec les services secrets poutiniens
FSB/GRU, avec des infiltrés
Dans les services policiers
Dans les services de sécurité
Dans les services de l'armée
Toutes les sympathies
De l'extrême droite du capital
Sont évidemment
Toutes en empathie
C'est du très banal, c'est du très fatal
Et les agences civiles ou militaires
Sont toujours sur le pied de guerre
Avec tout un fascisme décomplexé
Caméléon, sachant se travestir, se déguiser
Il est d'ailleurs tout-à-fait mondialisé
D'un monde complètement falsifié et donc crétinisé
De la guerre économie cybernétique
De la guerre économie numérique
L'empire est maintenant informatique
Les portraits de charge s'adaptant
Selon les temps
De feu ( 1773 - 1850 ) Louis Philippe
Chiant toutes ses dépenses à faire la lippe
Et par exemple, Poutine ( né en 1952 ) ex-colonel des services secrets
Peint avec des douilles d'armes, faux bluffant, vrai effet !
Toute vérité devenue rogomme
Mais aussi, il y a partout des gommes
Et tout a un coût
Comme ce que nous mangeons, selon nos goûts
Il en va ainsi de nos saumons
Et en général de tout ce que nous produisons
De la ferme aquacole
De nos mentalités, une sorte d'école
Et pour un kilogramme de saumon
Entre 2,5 et 4 kilowattheures
Mais avec des tas de saumons, ô malheur
Et d'addition en addition
Et même en soustraction
Toute une consommation d'électricité
Une ville de 20.000 personnes par année
Hors chauffage, il ne faut rien exagérer
Du saumon, vous consommez
C'est de l'électricité, c'est du transformé
Nos cerveaux si conditionnés
Nos cerveaux si engrammés
Nos cerveaux si codés et si murés
Chypre, Grèce, Turquie
Du mur imaginaire, populations réparties
Du mur de pierre
Berlin, tout un savoir-faire
Quand plusieurs pays
Se disputent des régions du monde
S'amputant des régions du monde
Toutes les dictatures s'inondent !
1967
Dictature des colonels grecs
Avec derrière tout ce qui pue du bec
Nord/Sud de Chypre, du transit
Situation stratégique qui édite
Aucun gouvernement n'est altruiste
Tout gouvernement est opportuniste
C'est ainsi du confinement
Tout étant une question d'argent
Pour ou contre selon les intérêts
La télévision étant plus regardée
Si les gens sont confinés
La télévision est pour
Mais l'économie pouvant s'y noyer
Le gouvernement est contre
L'espèce humaine
N'est pas intéressante
L'espèce humaine
N'est pas intelligente
Elle aurait pu l'être
Avec l'apprentissage du avoir ou être
Et c'est le prêt-à-manger
Comme un prêt-à-porter
Du prêt-à-penser
Tout un prêt-à-crever
Toute une complicité de l'industrialisé
De tous les aliments plastifiés ou pollués
Dont nous ne pouvons plus nous passer
Polypropylène, polyéthylène, polystyrène
Tous les polymères ont la mauvaise haleine !
Tout cela
S'entend sourdre
Chlorure de vinyle
Dans l'eau reliant ce fil
CVM
Nous produisons du plastique
Nous mangeons du plastique
Nous pensons le plastique
Nous respirons du plastique
Les uns, les unes, les autres, nous nous plastiquons
Ce que nous semons, nous le récoltons
Vraie saynète non surannée
Avec des sols 23 fois plus contaminés
Que les océans dans le monde entier
Des nanoparticules
Des microparticules
Et là, sans jouissance uraniste, cela nous encule
Tout le monde devenant un forcené
Tout le monde devenant une forcenée
Tout autre, toute autre, une envie de tuer
Quand l'on ne sait plus vraiment
Qui a vraiment dit quoi ?
Qui a vraiment fait quoi ?
Qui l'a dit vraiment ?
Qui l'a fait vraiment ?
Et surtout, quand ?
Quand tout se plagie goulûment
Quand TOUT SE MENT !
Holocène, anthropocène
Capitalocène, plasticène
En mise en scène !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Schibboleth en salmigondis

19 Février 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

" Personne ne ressent de l'angoisse en contemplant l'éternité de sa non-existence, avant sa naissance, il est donc irrationnel de craindre l'éternité de la non-existence qu'est la mort. "
 
Lucrèce et Epicure
 
En fait, et de tous les temps
Comme tout, cela a été pensé par bien des gens
Et avec l'âge venant
En carnage, l'écoulement du temps
Des tombes autour de soi
Parents, famille, ami(e)s, tout fiche le camp
Forcément, j'ai soixante dix ans
Comme une physiologie de la loi
Même et surtout si l'on ne paraît pas
Son âge
Pratique de marche athlétique qui rajeunit la cage
Et même en faisant
Dix, vingt, trente ans, de moins
Que son âge
Plus de corps que de tête
Certes
Autour de soi, noyade temporelle, personne n'y nage
Chaque année en plus comme un outrage
Tout autour de soi
D'anciennes vies
Dont les souvenirs sont parfois ravis
Et voici
Feu Jacqueline Gautier Raab
Décédée à 88 ans, plus de rabe
Feu Francine Suzanne Marie Rabatel
Décédée à 82 ans à Saint-Brieuc
Et en 2020 toutes les deux !
En vérité et depuis longtemps
Perdues de ma vue dans leur temps
Et qui furent comme des mères érotiques
M'assistant en mon quotidien incertain et utopique
Alors que présentement
Du sexuellement correct
Du politiquement correct
Et ce même dans un prétendu incorrect
Et plus moyen
Des femmes
De leur téter les seins
De boire le jus des vagins
De plus en plus de rigides
De plus en plus de frigides
J'entends les commentaires
Féministes droitistes réactionnaires
Pour qui je suis un j'en foutre
Alors
Que la société capitalisée
De tout, ne cessa, ne cesse, ne cessera, de nous priver
En prenant justement les femmes pour des sacs à foutre
Des enfantements encouragés
Au lieu d'adoptions facilitées
Par toute tyrannie gouvernante, une surpopulation souhaitée
Partout des crimes de guerre
Tout Etat est policier et réactionnaire
Directement ou indirectement
Ainsi
Des 3/4 de l'électricité en France
Avec l'uranium alimentant les centrales nucléaires
C'est de l'extraction en sous-sol au Niger
L'un des pays les plus démunis du monde, c'est amer
Cherchez l'erreur
Cherchez l'horreur !
Ainsi, des Kennedy, des Johnson
Et qui furent honorés, elle est bien bonne
80 millions de litres de l'agent orange
Déversés au Viêt Nam, allez, mange
Premier écocide de l'Histoire
Voilà bien
Toute l'éthique de la politique
De tout gouvernement cynique et lysergique
Qui tintinnabule
Qui se congratule
Toute une magnification
De toutes les hideurs en consécration
Et cetera, et cetera, schibboleth
Du propre salmigondis au tout bête
Au presque tout pourri
Au presque de toute patrie et pays
Sur des crimes, du sang, tout un bâti
De nos imaginations anthropomorphisantes
Innovant de vastes farces accablantes
Sine die
Et la caravane du capital, passa, passe, passera, ainsi
Avec des animaux non humains en déni
Tout un élevage concentrationnaire
Futures pandémies des commanditaires
Animaux non humains en payant le prix
Des centaines de milliers de canards
Du Sud Ouest de la France, éliminés, exterminés
Virus H5N8, grippe aviaire, c'est l'alibi
En farines animales comestibles
En des fertilisants comestibles
Au tout transformé
Comme la malbouffe industrialisée
Soi-disant bio ou pas bio, tout est noué
Quand même la mort est recyclée
La production de l'élimination de masse
N'est pas l'élimination de la production de masse
Production, massification, industrialisation, technologisation, surpopulation !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Des Monte Verità, passé, présent, futur

16 Février 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Chaque
Nouvelle connaissance
Nous renvoyant
Forcément, à une nouvelle ignorance
Comme
Des vibrations d'une toile d'araignée
De la toile cosmique
Comme
Des filaments galactiques
Du sperme
Transformisme des ovules
Des ovules
Transformisme du sperme
Vibration des poussières
Création des univers
Toute une anthropométrie
De la connaissance
Toute une anthropométrie
De l'ignorance
Et aussi, hélas, l'anthropométrie policière
Empreintes digitales, du papillaire
Du Alphonse Bertillon, du Edmond Locard
De l'origine de la police scientifique
De la police technique
En début jusqu'au portrait-robot génétique
Jusqu'en parentèle, du tueur en série, énigmatique
Quadrillage de toute scène de crime
Mais aussi, toute liberté, on l'élimine
Voilà bien une vilaine rapine !
Tout gouvernement
Est une police de la pensée
Avec des merdias en publicité
Ce que l'on peut faire
Ce que l'on ne peut pas faire
Un permis pour cela
Un permis pour ceci
Et avec confinement
Et sans confinement
Et ainsi, la caravane du capital, passe, voilà
Tout ceci avec une certaine dextérité
Car il s'agit de tout faire digérer
Du génocide, de l'écocide, et toutes les atrocités
Et nous n'avons pas
N'est-ce pas ?
Comme notre obligé le moineau
Des oiseaux, pas le plus sot
Avec son gastrolithe
Nous, animaux humains, c'est le mensonge qui l'imite
Pour pouvoir, ainsi, tout avaler
Pour pouvoir tout vomir, tout expectorer
Une société entière
D'un monde totalitaire et réactionnaire
Du milieu fermé ou du milieu ouvert
Donc
Un monde dyslexique
Un monde dyscalculique
Un monde dysphasique
Donc
Des conflits, des guerres, de l'agressivité, du terrorisé
Chez l'enfant, cela peut se traiter
Chez l'enfant cela peut se corriger
Mais c'est plus difficultueux avec la société !
Tant de choses affreuses qui furent scotomisées
Encore plus que la pornographie sodomisée
Comme une terreur jamais assumée
De toute une Irlande arriérée
De jeunes filles mères
Exilées, humiliées, abusées, maltraitées, ignorées
De cette Irlande si catholique
Aux nonnes en cruauté frénétique
De certaines de ces nonnes
Si fascisantes et si connes
Et de très jeunes femmes
Aux seins gorgés de lait
Et à personne cela ne servait
J'imagine tout ce lait dans mon gosier
Ce à quoi je rêvais, idiotement gâché
Car même leurs nouveaux-nés
Leur étant arrachés, de ce lait, ils furent privés
Mais de part une éducation de débilité
La plupart des femmes ne savent même pas se masturber
La plupart des femmes n'aiment pas se masturber
Quand à boire les jus de cette propriété privée
L'on ne peut qu'en rêver
Mais plus sérieusement
La dégueulasserie humaine est à chier
Certes, ouf
Tout n'est pas plouf
L'espoir du passé
Monte Verità, fameuse communauté
Début du siècle dernier
Des anarchistes, des végétariennes et des végétariens
Enfants, femmes, hommes, la main dans la main
D'ailleurs, feu Bakounine
Dans cette région de Suisse, y vint, reprendre bonne mine
Et donc, d'autres gens, mais là, plus tard, à Monte Verità
Avec des bains de soleil
Avec des bains d'air au sans pareil
Du naturisme, du nudisme
Du primitif socialisme !
Avec du végétarisme, du sensualisme
Plus de propriété privée
Oui, vraiment
Et se conjuguant à tous les temps
Du système planétaire
Du système solaire
De la planète Terre
D'autres univers
Du parallèle ou du pas parallèle
Tout a déjà existé
Tout existe déjà
Tout existera
D'une façon l'autre, voilà
Voilà bien mon ratiocinement, mon dada !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Météorologie de la souffrance

11 Février 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Douze mètres de long
Et bien mon colon
Le cas pour le dire
Le cas pour l'écrire
Cela serait un dinosaure, mais non
Mais un tableau tout en long
De feu ( 1518 - 1594 ) le Tintoret
Oui le compte y est
Avec la démesure qui l'inspirait
De la météorologie picturale
Ainsi de feu les Bonnard
En peinture, en couple, jamais marre
Météorologie artistique
Météorologie scientifique
Météorologie historique
Météorologie spatiale
Du vent solaire
De la tempête solaire
Dérèglement des installations électriques
Particules aurorales du domaine polaire
Cent mètres par seconde
De l'induction comme sonde
Toute une imprédictibilité
Car l'on ne peut tout mesurer
Car l'on ne peut tout analyser
D'une technologie qui tout peut impacter
Baleines et dauphins, qui viennent s'échouer
Du multifactoriel dans le perturbé !
Des orages géomagnétiques
Comme des piqures de moustiques
Des orages technologiques
L'origine de tout est parti
Foramen magnum de la bipédie
Il y a environ sept millions d'années
Tout est si vite passé
Et en premier
Sans vouloir trop paradoxer
L'effondrement progressif va surtout concerner
Les pays industrialisés
Les pays technologisés
Mais l'Afrique si sèche et si chaude
Bien mieux que tout survivaliste, rôde
Et devant s'en sortir bien mieux
Car plus antique
Car plus écologique
Moins proche de la techno-industrie en feu
Comme l'âge des sédiments
Les sédiments de l'âge
Datation
Authentification
Avec ou sans des pôles, leur inversion
Tout un géomagnétisme des évolutions
Tout étant du domaine de l'interprétation
Ou comme pour la beauté ou pour la laideur
Une affaire de la proportion et de la géométrisation
Et surtout, selon la mentalisation des époques
Avec tout un brouet en stock !
Quand depuis assez longtemps
Tout se mute en spectacularisation
Ainsi, du sport, du commerce, du pognon
Le sport est mort avec la professionnalisation
Avec le 50 km marche en suppression
Dont ( né en 1978 ) Yohann Diniz en 3h 32mn 33s
Et depuis 2014, détenait le record du monde
Et tout empirera à moins d'une fronde !
Toute une suite logique
Pas seulement aux jeux olynfrics
Que l'on continue d'appeler les Jeux olympiques
En vérité
En temps de fausse paix
La continuation de la vraie guerre par ricochet
Il faut croire
Que le cortex cingulaire
Se nourrit surtout de divers engrammes réactionnaires
Pour en revenir au sport professionnel
Le plus titré en France s'est fait la belle
Car la mort est délivrance et sans fiel
Donc, le plus titré, et de loin
Tennis de table, feu ( 1949 - 2020 ) Jacques Secrétin
Soixante et une fois champion de France
Champion d'Europe en 1976
Champion du monde double mixte en 1977
Il fut de sa discipline le numéro 2 mondial
Et en tout
227 médailles, or, argent, bronze
Comme un général bureaucrate stalinien
Mais là, médailles militaires, c'est quand même moins bien
Mais militarisation spectacularisation du sport
Du sport en spectacularisation militarisation
Dopage étatisé et admis en généralisation
Certes
Il n'y a que des normes sociales
De cerveaux engrammés en situation sociale
Car il faut perpétuer les lois du capital
La souffrance du monde
Le monde de la souffrance
Et c'est pas de chance
Si plus rien ne fait sens
Si plus rien n'a de sens
Une convergence des incertitudes
Les incertitudes en convergence
Aucune chance, aucune malchance
Mais des probabilités en confluence
Le temps de la fin des certitudes
Les certitudes du temps de la fin !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Fidéicommis de perpétuation

3 Février 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Fidéicommis
Dont nous sommes
Femmes, enfants, hommes
Comme d'office, les commis
Et qu'elle qu'en soit la somme
Et qu'ainsi
S'amplifie et s'élargit
Ainsi
De feu ( 1947 - 2020 ) mon copain corse
Dont je me permets d'entrevoir l'écorce
Jean-Pierre Santoni qui à Bandol s'éteignit
Et qui fut un temps l'ami d'anarchie
Fidéicommis que je trace ainsi
De ce concept stirnérien
Et qui n'est pas né de rien
Même s'il ne bâtit sa cause sur rien
Car ce qui n'est pas nommé
Peut cependant tout à fait exister
Tout se contentant d'être
De toute une représentation du paraître
De nouvelles formulations
D'anciennes interprétations
De nouvelles interprétations
D'anciennes formulations
Psycho-écologie
Psychosociologie
Psychobiologie
De nouvelles formules en part belle
Mais
Rien de vraiment nouveau sous le soleil
Chaque être humain
En recherche de la dominance
Et ce, de l'être, en complète ignorance
Et ce, de l'être, en parfaite inconscience !
Dès l'école maternelle, ce verbe, il faudrait conjuguer
Je veux dominer, oui je
Tu veux dominer, oui tu
Il veut dominer, oui il
Elle veut dominer, oui elle
Nous voulons dominer, oui nous
Vous voulez dominer, oui vous
Ils et elles veulent dominer, oui ils et elles
Car nous voulons être aimés
Et pour cela, hélas, dans cette sotte société
Il faut dominer
Ou vouloir
Sans toujours le pouvoir
Dominer
Pour être ainsi un aimé
Pour être ainsi une aimée
Du clochard au richard
Du boucher au P.D.G
De l'altruiste à l'avare
Bref, tout le monde
Comme le fit savoir
Avec, de cette connaissance, véritable espoir
Feu le plus que savant et libertaire
Aux oubliettes des médias réactionnaires
Nonobstant
De beaucoup de chercheuses et de chercheurs, il fut le père
Donc, Henri Laborit ( 1914 -1995 ) si révolutionnaire
Comme unique authentique repère
Quand même la survie est devenue si sévère
D'un monde totalitaire, mortifère, délétère
Quand il faudrait, définitivement, tout fiche par terre !
Mais tout nous dénonce
Mais tout nous annonce
Sur l'artilect internet
Où tout n'y est pas très net
Et Google c'est dix puissance cent
De quoi se faire du mauvais sang
Ainsi
De mon inscription en 1982
Au registre du commerce
Mais je n'ai jamais, pourtant, pratiqué cette messe
Une femme fut à l'origine de cette erreur
Puis une autre femme supprima cette terreur
Des bijoux que je ne vendis jamais
De la pacotille, qu'en 1985, je rendis
En fait, tout cela fut donné à une femme amie
Comme quoi, même approximativement, sur internet, tout s'inscrit
Il en va ainsi aussi des peaux noircies
Peaux françaises mais peaux antillaises
Du rejet, des boulots mal payés, du déni
Toujours la France impériale et ses colonies
Quand la fiction des illusions
L'emportent sur une réalité économique
Et jamais vraiment métropolitains
Mais le plus souvent négropolitains
Avec des recrues pour l'administration
Des naïvetés pour l'exploitation
Quand même, plus encore hier, qu'aujourd'hui
Mais là, c'est simplement moins d'inconsistance dans la duperie
D'une façon l'autre, tout fonctionnant pareil
En économie, astronomie, sociologie, psychologie
Toujours sous le même soleil !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de l'anatomie sexualisée

1 Février 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Google
10 puissance 100
1938, gogol, terme trouvé par un enfant
Neveu de feu ( 1878 - 1955 ) Edward Kasner, tout en marchant
Un enfant de neuf ans
10 puissance 80
C'est le nombre estimé d'atomes dans notre univers
10 puissance 120
C'est pour le jeu d'échecs
10 puissance 170
C'est pour le jeu de go
10 puissance 51
Peut-être jusqu'à 10 puissance 100
C'est pour le jeu de dames à 64 cases
C'est pour le jeu de dames à cent cases
Pas étonnant
Si, avec Google, tout ou presque, est dedans
Tout un répertoire, d'après, d'avant
Ainsi
Une compagne de 1979 à 1982
La mère de Laurent du, Bérurier noir, en moins de deux
Au registre du commerce, m'inscrivit
Ne sachant pas dire non, je suivis
Et sans jamais avoir exercé, j'ai donc fui
Mais avec une patente, elle, sans oubli
Puis, de cette erreur, je fus radié
Puis, de cette erreur, je fus exonéré
Et avec une sympathique complicité
Par une amante amie
Ouf, ouf, en 1985, c'est ainsi !
Ipso facto, sur l'artilect ordinateur
Classique ou quantique, mais toujours à l'heure
Toute vie
Pouvant s'y inscrire ou s'y inscrit
Avec consentement
Sans consentement
Alors que dans un même temps
Cela n'est plus Dieu qui est mort
Mais c'est le futur qui est mort
Tout un gazouillis
De toute une pipolisation
Toute une mentalisation qui fit
Et qui fait, hier comme aujourd'hui
Au moins vingt mille femmes tondues à la libération
Au moins cent mille enfants nés et issus de la collaboration
Et d'une façon l'autre, tout a collaboré
L'on ne pouvait totalement l'éviter
Et donc avec une armée d'occupation
Aucune tergiversation pour l'infestation
Comme du rythmique en astrométrique
34970 communes de France
Avec toute une dissémination de cette ancienne outrance
De tant de corps mélangés
De tant d'idées permutées
Tout y est relié
Tout y est séparé
Le séparé du relié
Le relié du séparé !
Wikipétain
Cher à l'acteur ( né en 1964 ) Albert Dupontel que j'aime bien
Wikivilain, tant pour le mal que pour le bien
Et ce qui reste, finalement, bien scotomisé
C'est encore l'anatomie de la sexualité
La sexualité de l'anatomie
Surtout pour le magnifique clitoris
Toujours le tour de visse
En parler serait déjà du vice
Huit à dix mille terminaisons nerveuses
Pour le gland du pénis
Quatre à cinq mille terminaisons nerveuses
Pour le prépuce du pénis
Dix à vingt mille terminaisons nerveuses
Disons à la louche
Il est difficile d'y faire mouche
C'est du bouche à bouche
C'est du touche à touche
Qu'il faudrait au menu
Avec comme convenu
Des seins, avec ou sans lait, en bouche
De la vulve, du clitoris, en pleine bouche
Du prépuce, de l'anus, du pénis, en bouche
Selon les envies et selon les corps
Car attention, un tabou, jamais, ne dort
Donc
Toute mutilation sexuelle
Du prépuce, du clitoris
Voilà bien de l'abomination culturelle
Voilà bien de l'horreur cultuelle !
Il n'est donc pas étonnant
Si l'on produit en série du dément
Du précariat à l'anonymat
Et de la célébrité que voilà
Avec en France
Douze millions de personnes
Atteintes de divers troubles mentaux
Et oui, comme un coup de poing, cela sonne
Un monde entier malade mental
Et pas seulement Donald Trump, c'est fatal
Chacun, chacune, y allant de sa timbale
De plus en plus de folles
De plus en plus de fous
Tu es qui ?
Tu veux quoi ?
Nous sommes qui ?
Nous voulons quoi ?
Et selon quels critères
Qui décide qui est folle ou fou ?
Et selon quels critères
Qui valide qui est folle ou fou ?
Car avec une sexualité refoulée
Sublimée en un codage nerveux guerrier
Sublimée en un codage social mensonger
Comme jadis la Suisse et sa fausse neutralité
Qui de l'or volé
Aux nazis, put acheter
Avec du vrai argent qui fut ainsi hitlérisé
Ou alors avec des trains nazis
Qui en Suisse complice purent circuler
Pour les affaires, pour le profit
Et notre présent monde fonctionne encore ainsi !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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La projection des préjugés

20 Janvier 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

La société
Pour se faire pardonner
Tous les crimes
Tous les massacres
Toutes les injustices
De la guerre permanente suprême miss
Et pour se dédouaner
Et pour décarboner
Elle a donc l'alibi de divers prix
Du ne faîtes pas ce que je dis
Du
Vous pouvez toujours causer
Mais réellement vous ne pouvez rien changer
Car l'on ne peut pas
Amender le capital
L'on ne peut
Que l'éradiquer, que l'abolir
Sinon, il se régénère et ne peut finir
Car face à de fausses attaques
Car face à de fausses critiques
Le capital s'en nourrit, famélique
Ipso facto, tout ce qui n'est pas libertaire
Comme la fameuse Espagne communiste libertaire
Le capital en fait un allié réactionnaire
Ainsi, toute fausse contestation
Est nécessaire au système
Elle l'aime, il l'aime
Il ne peut y avoir même une frileuse démocratie
Sauf l'hypocrisie, dans notre monde si nazi
Avec des syndicats, des organisations, et des partis
Qui alimentent et qui nourrissent la tyrannie !
Le monde entier
Qui sut si bien se nazifier
Avec dans la plupart des têtes, des croix gammées
Il suffit de voir l'état des prisons
En France, la Gestapo des matonnes et des matons
De faux suicides, de vrais assassinats
Et ce au cas par cas
Et pour prendre la relève de toutes les saloperies
Le capitalisme vert, déjà prêt, guili-guili !
Toutes les bourgeoisies
Toutes les hypocrisies
Peuvent avoir des rivalités
Mais sont unifiées pour ne rien changer
En seule urgence climatique
La guerre civile mondiale contre cette clique
Le monde d'ailleurs est une guerre civile
De tout pouvoir étatisé rempli d'imbéciles
La plupart des gens
En sont les soumis
D'accepter tout ce mépris
Droite, droite, droite, droite
La gauche de la droite
L'extrême gauche de la droite
La droite de la droite
L'extrême droite de la droite
Tout est de droite dans nos vies
Car les nazis sont partis, mais le monde est resté nazi
Avec tout un foutage de gueule
Que tout média affine à la meule
Les gens
Ne méritent même plus d'être défendus
Trop mous, reptatifs, de vrais faux culs !
Plus qu'une erreur
L'espèce humaine est une terreur
Partout où elle passa
Le vivant trépassa
Partout où elle passe
Le vivant trépasse
Certes
Des exceptions
Mais si rares, comme une pâmoison
Hier, aujourd'hui, demain
Car rien n'est jamais vain
Ainsi, de ce peuple de l'Arctique
Pour définir la neige, si éclectique
Trois cent mots
Et pour définir la guerre
Aucun mot
Car la vraie paix ne peut imaginer la guerre
Donc, des ressources futures, pas de résilience
De la guerre commerciale
Avec les trois géants du capital
Chine, USA, Russie
Vrais pays prédateurs contre la vie
En rapport, les loups sont bien gentils
Plus que 500 ou 600 loups en France
Plus que 200.000 loups dans le monde
Et si le loup, n'est pas, lui, un loup
Pour le loup
L'être humain, est, lui
Un loup pour l'être humain
Du moins, du préjugé que nous en avons
Ce que aussi, chez tout autre, toute autre, nous percevons
Car ce sont nos préjugés, sur les autres, que nous projetons
Sans compter, nos lieux communs, nos jugements de valeur
Donc
Chez les autres
Nous transférons nos préjugés
Et ce sont eux que nous voyons
Et l'autre est comme un coffre-fort
Qu'il soit vivant ou qu'il soit mort
Ainsi
L'autre, est pour l'autre, un ou une autre
Nous sommes l'autre pour les autres
Un ou une incompréhensible
Un ou une inaccessible
Comme une mission impossible !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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De la chimère connectée

14 Janvier 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

" C'est des tombeaux, on écoute les conneries aux informations. Et à force d'écouter la télé, t'as l'impression que le virus, il va traverser ta télé ! C'est pas les matons qui vont te l'apporter, c'est la télé ! "
 
P; centrale de Lannemezan, le 25 avril 2020
 
" Ils sont l'ordre, nous serons le bordel. "
 
Olivier.( L'envolée, numéro 1, juin 2001 )
 
Maintenant
C'est le nazisme
En nouvelle version
Qui prétend
Lutter contre la nazisme
Maintenant
C'est le fascisme
En nouvelle version
Qui prétend
Lutter contre le fascisme
Maintenant
C'est le libéralisme
En nouvelle version
Qui prétend
Lutter contre le libéralisme
Corps domptés et esprits colonisés
Autant que les empires coloniaux du passé
Qui surent assujettir et exterminer
Avec des dictateurs locaux sur mesure, des stipendiés
Avec la France et autres pays, toute une complicité
Le capitalisme
Déjà et toujours
Tel l'escamoteur maîtrisant tous ses tours
Et à tous les postes décisionnels
Y ont la part belle
De tout trafic
De toute politique
De tout discours logique
Pour bien mener les populations à la trique
Et les tenir surtout au fric
Sachant même faire toc toc
Visage éculé du troc !
Il en va du mica
Comme pour tout, d'ailleurs, c'est bien cela
Toute une industrie de la saloperie
La saloperie de toute industrie
Des mines de mica
En Inde, ou souvent, dehors, l'on fait caca
Femmes payées un euro par jour
Enfants, l'interdiction n'y pèse pas lourd
Car
Le mica est nécessaire
Si on laisse faire
Pour la peinture des carrosseries
Pour les composants électroniques
Pour l'industrie du cosmétique
L'Oréal, Merck, berk
Le français ou l'allemand
L'Oréal
Qui fut si proche de l'extrême droite du capital
Jadis comme du fatal
Tout produisant du dégueulasse
Réduisant toute vie au schlass
Du luxe, du confort
Avec tant de mortes et de morts
Car nous produisons de la pollution
Car nous produisons de la soumission
Car nous consommons du carnage et de l'aberration
Tout acte, tout fait
Ne pouvant, le plus souvent, provenir que d'un méfait
Ne pouvant, le plus souvent, provenir que d'un forfait !
Tout préjugé
Ne générant que de la stupidité
Comme l'extermination des renards
En France, tant et tant de chasseurs, véritables connards
Cent mille renards
Ainsi tués chaque année
Et des campagnols qui vont pulluler
Avec ce qui va avec
La connerie a toujours le même bec
De la monoculture
Qui dévaste tout, pour sûr
Alors
Qu'il faudrait des ateliers coopérants
De nouveaux habitats, il faudrait générer
Du nouveau mentalisme, du nouveau gérant
Avec
Toute une gestion de la biodiversité
Plus aucun intermédiaire artificiel
Quand la solution est dans le naturel
Il faut, en équation
Il faudrait, en disparition
En finir avec la virtualité des contacts
Avec ou sans virus, pour le dire avec tact
Des contacts de virtualité
Comme sur l'internet, pour grandement s'illusionner
Avec des millions et des millions de clics, de la chimère connectée
Et pas un seul vrai ami
Et pas une seule vraie amie
Car elle est ailleurs, la vraie vie !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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