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Le temps de l'extrême droite

20 Août 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Les maisons de retraite, hors de prix
Comme souvent, surtout en région Paris
La personne âgée y est de plus maltraitée
Une bouffe dégueulasse, le linge pas lavé
Dernier plaisir du gustatif, même cela est refusé
Tout est optionnel
Car, toute bientraitance est fictionnelle
Sans vouloir faire de chabanais
Pour tout, c'est comme cela, pas vrai !?
Alors, nous faisons l'autruche
Qui, un jour, deviendra baudruche
Et finalement
Du capital, de la marchandise
Chaque être humain, qu'on se le dise
Est comme un stropiat, forcément
Tout y est de la guerre
Ainsi, en 2019
Budget prévisionnel du Pentagone
L'économie a ses drones
716,3 milliards de dollars
Pour les opérations extérieures
69 milliards 
Pour les renseignements intérieurs
17 agences civiles et militaires
100.000 agents civils et militaires
81,1 milliards de dollars
Il y a aussi la guerre alimentaire
Pour la pauvreté, des cancers alimentaires
Des hépatiques cancers
Des cirrhoses non alcooliques
Une canette de Coca-Cola
Correspondant à sept morceaux de sucre
Pour le foie, un mauvais lucre
Le foie fabricant du mauvais gras !
Et en France
En américanisation de la démence
22 litres de soda
Par personne et par an, voilà
Ce qui est plus nocif
Il faudrait que cela devienne poncif
Que les cent milliards de neutrinos
Qui à chaque seconde, nous traversent, c'est rigolo
Ce à la vitesse de la lumière
Sans que si peu, j'exagère
Le tout du rien
Le rien du tout
Par exemple
Rien que sur la surface d'un ongle
Et ce à chaque seconde, oui un ongle
Lui aussi traversé
Par 60 milliards de neutrinos solaires
Quelle que soit notre position sur la Terre
Sans compter tous les neutrinos extrasolaires
Le rien du tout
Le tout du rien
Les atomes dont nos corps sont composés
99,99 de vide, sans vouloir ironiser
Elle est bien du microcosme au macrocosme, la relativité !
22 B, planète océan, via l'engin Kepler
Avec peut-être des solutions convergentes
Chaque zone habitable en adaptation confluente
Mais, ici, sur notre monde
Monsanto et sa bouffe immonde
Comme Sodexo, multinationale française, au tout infect
Bouffe industrielle, prisons, cantines, maisons de retraite
Roundup, 41 pour cent de glyphosate
Pesticides, herbicides, fongicides, salopericides
Tout cela produisant de l'écocide
Et donc des malformations organiques
Le profit l'emportant sur tout, c'est tragique
Monsanto en 2016
Ce fut un déversement mortifère
Et ce de part notre monde, sur notre sphère
800.000 tonnes de roundup
Et autres génériques
Avec de la polyneuropathie toxique
Pour nous empoisonner, l'on sait y faire
La société
Tout y est du plastique
Tout y est de l'herbicide
Tout y est du pesticide
Tout y est TOXIQUE
Tout ou presque y est du transgénique
Comme sur nos gueules si psychosomatiques
Tout n'est plus que des parts de marché
Monsanto et autres salauds, faut s'en débarrasser !
C'est le temps de l'extrême droite
Flux et reflux, toujours là, la pensée étroite
Gauche, droite
Extrême gauche, extrême droite
C'est le temps de l'extrême droite !
Tout un monde
Qui vit du faux
Qui produit du faux
Au niveau politique
Qui n'est d'ailleurs plus qu'économique
Au niveau psychologique
Et tout étant interconnecté, pure psychosomatique
La colique est devenue mondiale, logique
Avec toujours du passeport ou autres papiers d'identité
Pour un boulot, pouvoir trouver
Pour un logement, pouvoir trouver
Pour même et surtout pouvoir sexer
Pour pouvoir copiner ou se marier
Au feu tous les papiers
Au feu toutes les propriétés
Ou alors
C'est le viol légalisé
Payer pour avoir le droit de copuler
C'est le corps prostitué
C'est donc le viol légalisé
Mais le capital est un souteneur
Il nous faut pointer à sa machine, à toute heure
Dans tous les domaines, il en est ainsi
Aucune gratuité réelle, tout est intéressé
De toute expression non aliénée, le capital fait fi 
Et de famille en famille, l'on fait la société !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Négoce du vol organisé

6 Août 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

" Un gros roman qui tire à 8000 exemplaires consomme 10 gros arbres de 8 mètres pour la pâte à papier. La forêt de Compiègne compte 5 800 000 gros arbres et Paul-Loup écrit tous les 2 ans un gros roman qui tire à 500 000 exemplaires. Au bout de combien de temps Paul-Loup aura-t-il  décimé la forêt de Compiègne ? "

Jean-Louis Fournier, Arithmétique appliquée et impertinente, via " Le bouquin de l'humour " de Jean-Loup Chiflet, Ed : Robert Laffont

La bêtise du monde est pondéreuse
Elle devient avare l'action généreuse
Quand même tout trait pamphlétaire
Devient armoire au piaculaire
Mai 68 Mai 2018
Mais, ce fut, 1998, 2018
Le football
Se jouant de toute rébellion, pas de bol
1618
Une gifle est donnée à une personne
1818
Une gifle est donnée à une personne
2018
Une gifle est donnée à une personne
La gifle est-elle pourtant différente ?
1618
Une femme sexe avec un homme
1818
Une femme sexe avec un homme
2018
Une femme sexe avec un homme
Ou homme avec homme
Ou femme avec femme
L'orgasme
Sera t-il pourtant différent ?
Les pulsions des animaux humains
Sont toujours les mêmes
Les émotions des animaux humains
Sont toujours les mêmes
Recherche de la dominance
Pour faire aboutir son projet, car la dominance
Comme l'aurait dit
Feu le biologiste des comportements, Henri Laborit
C'est faire aboutir son projet
Sans que le projet de l'autre, ne vienne
Vous emmerder, d'autant que je me souvienne !
Voilà pourquoi, un projet global
Pour l'humanité entière, dernier espoir, fatal
Et l'on ne se sent
Jamais aussi seul ou seule
Qu'au milieu d'une foule
Et l'on se sent
De l'humanité veule
Encore plus, au milieu d'une foule
Et plein désert
Être toute une multitude
Comme aussi
Près de petites villes
De la baignade en rivière
Organes génitaux au grand air
Le corps nu au soleil
Prendre un bain d'Univers
Peut-être aussi de Multivers
De matière noire
D'énergie noire
Et il faut
Un million de milliards
De collision en collision, pour produire une particule de matière noire
Et encore, faudrait que tout soit peinard
Encore excessivement plus rare
Car c'est au moins un sur dix mille, pour le véritable anar !
Mais
C'est de plus en plus
Après moi le déluge
Bientôt
Il n'y aura plus aucun refuge
Ainsi
En France, déjà 10.000 décharges sauvages
L'individualisme capitaliste, réactionnaire
Fait  partout des ravages
Bientôt
Irrespirable, deviendra l'air
Alors
Que fut opaque, l'Univers
Pendant 380 000 ans
Mondes en devenir, en formation
Quand de la dilatation
Enfin, s'échappa, la lumière
Et qui maintenant, sert
Toute surveillance, c'est clair
Toute surveillance se surveillant !
Commerce de la surveillance
Surveillance du commerce
Caissiers et caissières
Vendeurs et vendeuses
Faisant ouvrir nos sacs et nos caddies
Du côté du patronat, toujours soumis
De grandes surfaces comme Auchan
De qui leur remplit les poches, se méfiant
Et personne ne protestant
Ou alors
Y aller en bande organisée, tout dévastant
Tout pillant, tout s'appropriant, tout giflant
Donc
Des caméras de surveillance, partout
Paris
2739 caméras sur la voie publique
33430 caméras partenaires
Caméras des musées
Caméras des grands magasins
Caméras des centres commerciaux
Caméras des gares
Partout, donc, en France
Petites ou grandes villes, ô démence
Et villes du monde, cela serait pour notre protection
L'on nous prend pour des connes et des cons
Au tout maton
Comme présentement, dans les prisons françaises
Dans certaines cellules, 50 degrés, sur de la braise
Quand c'est la canicule, l'été
De quoi y mourir, mat à l'étouffée
Ou en hiver, y mourir, mais là, gelé
70120 personnes emprisonnées
Dont
21 000 prévenus, présumés innocents
Au tout béton
Et forcément, pas seulement en prison
Sachant que l'équivalent
D'un département français
Est bétonné tous les dix ans
Mais qui veut le savoir ou le sait ?

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien


 

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Paraphysique de la sauvagerie

1 Août 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Aucun animal
N'est aussi sauvage
Que le capital
Qui nous saute à la gorge
Qui nous manipule, dans sa forge
Aucun animal
N'est aussi sauvage
Que le capital
Sauf, l'animal humain
C'est de lui, que le capital, vient
Aucun animal
N'est aussi sauvage
Que le capital
Et tout le mal
Qu'aux autres, tu fais ou tu feras
Sur toi, un jour, rejaillit ou rejaillira
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Et tout le bien
Qu'aux autres, tu fais ou tu feras
Sur toi, rejaillit ou rejaillira
Voilà bien ce qu'il faudrait apprendre
En finir avec toute exploitation, enfin, nous surprendre !
Tout le mal
Que nous nous faisons
Car, c'est là, le fonctionnement même du capital
En diverses maladies, nous le transformons
Diverses maladies physiques
Diverses maladies mentales ou psychiques
Sur et dans nos têtes, tout s'inscrivant
Sur et dans nos corps, tout s'alarmant
Tout s'y sublimant
Tout s'y mesurant
Car
Tout visage est comme un livre
Car
Tout corps est comme un livre
Il y a des cicatrices visibles
Il y a des cicatrices invisibles
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
De l'attente en tension
De l'inhibition de l'action
De la permanente frustration
Qui oserait en faire une chanson ?
Il faut positiver, dit le système
De gré ou de force, il faut qu'on l'aime !
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Il faut tirer en premier
Être le chasseur ou le chassé
Être exploiteur ou exploité
Être le baiseur ou le baisé
Le féminin n'est pas oublié
Quand tout est rivalité
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Pas même
Nonobstant, beaucoup de gens l'aiment
Feu les carnivores paléontologiques
Pour une grimace au symbolique
Certes
Quelques gens
Veulent ou voudraient revenir à l'état de nature
Mais
Rien ne s'y prêtant, c'est dur
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Tout nous vieillissant
Tout nous enlaidissant
Monde de méchantes et de méchants
Tout nous abîmant, et ce prématurément
Surtout les pauvres et autres précaires
L'on finit par s'y faire
Aucun hasard, aucune chance, tout s'explique
Et revoilà les probabilités qui rappliquent !
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Cependant, avec de l'argent
De la protection, avec des confidentes et des confidents
Ou un milieu l'y préparant
Et voici freiné le vieillissement
Ainsi
La mère de Catherine Deneuve, oui, l'actrice
Si elle a 106 ans, cela n'est pas un caprice
Ainsi
Si Lucette Almansor ou Almanzor, veuve de l'écrivain Céline
A 106 ans
C'est qu'autour d'elle, personne ne se débine
Et ce sont quelques exceptions
Qui en tous domaines, ont des raisons
Justement, du capital, l'illustration
Et de ce qui pourrait être généralisation
En est la sinistre et terrifiante négation
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Qui nous saute à la gorge
Qui nous manipule dans sa forge
Il faut tirer en premier
Être exploiteur ou être exploité
Le dominant ou le dominé
La dominante ou la dominée
Tout le monde devant s'y conformer !
Tous les êtres humains, c'est évident
N'étant plus que des encans
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Avec l'argent comme arme fatale
De la pollution générale
De la pollution intégrale
Des navires marchands ou des navires de guerre
Le cauchemar de toute ville portuaire
Un gros navire polluant
Comme un million de voitures, tétanisant
Soufre, dioxyde d'azote, particules
Fioul lourd, du carburant ridicule
Tous les déchets des raffineries
De tout bon sens, l'on fait fi
Et à Ajaccio et à Bastia, ainsi
80.000 particules ultra-fines par centimètre cube
Quand des Ferries
Arrivent et repartent, incube et succube
Et puis, des migrantes et des migrants
Dont personne ne veut, c'est dégoûtant
Aucun animal
N'est aussi sauvage que le capital
Rien n'est plus repoussant
Rien n'est plus désespérant
Rien n'est plus attristant !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien 
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