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Du Novacène en tonalité ancienne

22 Juin 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

" A tant d'années passées le souvenir des choses, bien précisément, c'est un effort. Ce que les gens ont dit c'est presque tourné des mensonges. Faut se méfier. C'est putain le passé, ça fond dans la rêvasserie. Il prend des petites mélodies en route qu'on lui demandait pas. "

Guerre. Louis-Ferdinand Céline. Ed : Gallimard
 
Dans les faits
Pour de vrai
Rien n'est gratuit
Pour l'usufruit du défini
Dans l'espoir
D'une confidence
D'une outrance
D'une récompense
Tout se faisant
Pour l'intérêt, inconsciemment ou consciemment
Tout se produisant pour l'intérêt
Les bonnes actions
Les mauvaises actions
Sauf qu'elle est amorale la biologie de l'évolution
Certes
Se défaire du binôme manichéen
Tout s'apprend du genre humain
Et chacun chacune avec sa sexualité
De cela, l'on ne devrait même pas discuter
Avec tant d'autres faux problèmes
C'est la marchandise qui sème
Fausses questions
Vraies réponses
Vraies questions
Fausses réponses
Du capital et de sa société, voilà le seul poème
L'on nous fait croire qu'on l'aime
Du tabac et de l'alcool
Du nouveau constat en bouche qui affole
Tout cela en moindre nocivité
Que l'utilisation du numérique, abusé !
Et même si l'optimiste Novacène
Veut monter sur la scène
L'argent est comme des fourmis
Tapinoma magnum avec des nids
Du jamais vraiment détruit
Qui toujours se reconstruit
Tout un effet de climat
Simulation, attribution, comme du ça
Mathématisation, prédiction
De l'évaporation, de la rétroaction
Sol/air, des échanges gazeux
Savoir tout sur rien, du piteux
Du kérosène et de l'aérien
Gaz à effet de serre, c'est pas du rien
Quand le monde est tout cloaque
Quand le monde est tête à claques
Avec comme énergique déterminant
Le climat, on l'oublie trop souvent
Pouvant éjaculer tous les autres déterminants
Il est de tous lieux
Il est de toutes les époques
Tous les déterminismes sociaux dans le froc
Tous les déterminismes culturels en loufoque
Comme un présentoir en défroque
Et donc, tout se paye
Passer à la caisse, l'évitement, l'on s'y essaye
Sous le règne marchand, tout vaut tant
De vraiment vivre, jamais le temps !
Toute une potamologie
Non des cours d'eau, ici
Mais des maladies de la vie
Partout, la vie des maladies
Comme la peste de Justinien
Plusieurs siècles avant notre ère, c'est loin
Environ  cinquante millions de décès
Avec petit âge glaciaire, de l'effet
Donc, déjà, à l'Antiquité
De la pandémie mondiale, du répété
De l'uppercut domino fractalisé
L'action humaine
Placebo qu'il advienne
Pour de la veine
Pour de la déveine
De l'albatros et du vent
En vitesse de déplacement
Alimentation plus facile
Prise de poids en habile
Avec le lupin, avec ou sans bisbille
Selon l'intensité et le sens du vent
L'on y surnage ou l'on y vacille
Ils sont forts, de la nature, les éléments
De la planète système Terre et de ses vêtements
Que l'on s'y perd, tout bêtement
Le capital et sa finalité
Gratuité de la cherté
Cherté de la gratuité !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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Tératologie d'hier et d'aujourd'hui

16 Juin 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

" Lors de la révolution française, la fessée devient une arme aux mains des révolutionnaires : une trentaine de caricatures figurent ainsi des " fessées patriotiques " infligées à des députés, des religieuses, des nobles émigrés ou encore des princes, chefs des armées ennemies. "
 
" Dictionnaire du fouet et de la fessée, corriger et punir. " Ed : PUF
( Isabelle Poutrin et Elisabeth Lusset )

Tant de jours en chaloupe
Où l'on voudrait déposer les armes
Dans ce monde capitalisé où tout coupe
Dans ce monde marchandisé où tout est de l'arme
Avec, inégalités, injustices, guerres, conflits, que des larmes
Chacun, chacune, voulant sauver sa peau
Là, les autres ont toujours bon dos
Quand
Nous imitons les autres
Nous répétons les autres
Nous insultons les autres
Nous méprisons les autres
Nous utilisons les autres
Nous exploitons les autres
Nous plagions les autres
Cependant
Que les autres
Nous imitent, nous répètent
Nous insultent, nous méprisent
Nous utilisent, nous exploitent
Tout se plagiant
L'ancien du nouveau
Le nouveau de l'ancien
Chaque être humain mégalomane
Car du monde, il est le mélomane
Des jours
Où l'on voudrait en finir
Ne plus jamais revenir
Le monde entier est monstrueux
Moi, toi, ils, elles, nous, vous, eux
Faut que l'espèce humaine, vite, disparaisse
Quand tout est tenu en laisse
Et que jamais, d'une forme l'autre, elle reparaisse !
Avec l'anarchie
Sur la planète système Terre, cela aurait pu être le paradis
Mais, c'est presque partout l'enfer
Aucun amour, aucune amitié, l'épée de fer
Certes, quelques perdus et rares îlots de vie
Les mailles de la marginalité, au tout très très rétréci
Que pleurer, l'on en rit
Quand tout est une violence
Comme les violences pénitentiaires
Comme les violences policières
Tout Etat, le capital, et même vert
Et donc, de la violence militaire et policière
Des suicides dans les prisons
Des personnes éclopées dans les manifestations
Le monde entier est une prison
Avec ou sans matons
Alors, faut-il le ressasser
Oui, j'en suis le radoté
Tout je, est un ensemble de nous
Tout nous, est un ensemble de je
Du stirnérisme collectivisé
Avec toute son ambiguïté
Rien n'appartient à personne
Tout est à tout le monde
Dans les faits, cela détonne
Toute création étant forcément collective
Que l'on soit tout seul, toute seule, ou dix-mille
Rien, n'est, hors conditionnement, admirable
Tout étant adaptable et récupérable
Car tout est interprétable
De la répétition inévitable
Tous et toutes à l'étable
Rien et tout, c'est du durable
Voici, la planète des monstres
De la méchante gentillesse
De la gentillesse méchante
Foutre la gueule de l'autre
Sous l'eau, paraphrasant feu l'illustre autre
Henri Laborit, suis bon fan, mais hélas, suis mauvais apôtre
Je suis monstre
Tu es monstre
Il est monstre
Ils et elles sont monstres
En variabilité, des étages, des degrés
Et plus encore les riches que les pauvres forcés
De nos esprits sans holisme et en savanisation
Je savanise, tu savanises, nous savanisons
Et pas seulement, feu l'Amazonie
Où sont en suite, nos esprits
Au tout revu et corrigé
Comme, 1929, 6 août
Du délit d'homosexualité à table
Comme en 1982
Délit d'homosexualité abrogé
Et l'instinct sexuel ou mémoire de l'espèce
Pourrait aussi être frère de la tendresse
Qu'un sein se prête à ma bouche
Que des fesses, un vagin, hologrammes dans ma couche
De cette sexualité voilà ma souche
Aucune normalité dans toute sexualité
Aucune anormalité dans toute sexualité
Tout semblant absurde et vain
Des moyens de l'argent
Ouvrant tant de cuisses
Favorisant surtout tous les vices !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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La reproduction des aliénations

10 Juin 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

Cinq mille météorites
Tombent sur la Terre, un rite
Au moins un kilogramme
Ce chaque année, sans aucun drame
Le ciel pleure, pleure
Sans bonheur, ni malheur
Et si tout est comme amoral
L'espèce humaine, elle, est immorale
De ce monde
Qui gronde faussement contre l'immonde
Ainsi
De la plupart des revendications
Ainsi
De la plupart des manifestations
Ne voulant, de rien, l'abolition
Mais au contraire, la continuation
Comme dix coups de massue
Au lieu
De cinq coups de massue
Sinon, comme issue
L'asile de fous et de folles ou la prison
C'est sur la route de feu Jack Kerouac
Mais là en version matraque
Kerouac, dont l'écrivain préféré
Fut L.F Céline, d'un style admiré
Kerouac de tout un micmac, au foutoir très alcoolisé
Donc, à quand une manifestation
Pour abolir toutes les aberrations
Sinon, l'on ne fait que renforcer son administration
En finir avec le prolétariat et les bourgeoisies
L'industrialisation en surpopulation
En finir avec les classes sociales
L'autorité, la propriété, au tout inégal !
Au niveau du principe
Au niveau de l'éthique
Tout est d'hier
Tout s'y affine ou s'y désespère
Il en va aussi de la navigation
Déjà, il y a cinq mille ans, environ
Carnac, encore un coup des bretons
Des barges transportant des matériaux
Mégalithisme qui tomba souvent en morceaux
De la submersion
Des cachettes pour un temps long
Quand l'on sut et à la perfection
Des marées et de leur utilisation
Donc
Contre l'Etat, le capital, et tout ce qui va avec
Du patronat modernisé et de son horrible bec
Nous devrions
Comme les abeilles japonaises
Ici, contre le frelon géant
Mais là, contre toutes les fadaises
Gouvernements, idéologies, religions
Et la fin de toutes les prisons
Du groupe de défense en autogestion
Devenir un four à quarante sept degrés
Pour le frelon géant, le faire griller
Les structures du capital, les néantiser
Il y a encore vingt mille espèces d'abeilles
De la zone géographique qui dépareille
Ainsi, en Chine, avec moins d'abeilles
Et une pollinisation qui se fait à la main
La folie de ce monde si peu malin !
Et avec les transports électriques
Les corps humains devenant apathiques
Au tout écocidaire, suicidaire, sans véritable vie
Des usines pour les animaux humains
Des fermes usines pour les animaux non-humains
Exploités, méprisés, ignorés, mal payés
Pour les uns
Maltraités, torturés, tués, mangés
Pour les autres
Terrains constructibles
Bradés, car de faux fusibles
Terres agricoles en magie du constructible
L'élevage de l'industrialisation
Tel un conditionnement à la soumission
Loin des regards
Comme des secrets, au tout dissimulé
Ne pas voir les airs hagards
Ne pas entendre les cris
Ne pas entendre toutes les agonies
Des guerres comme des boucheries
Du soldat tué ou de l'animal tué
Comme une même finalité
Porcs, volailles, poulets, agneaux
Vaches, poules, canards, veaux
Et tout cela détruit
Tout un esprit de paysannerie
Finalement, apprendre enfin l'anarchie
De l'humanité imaginante, seul véritable défi
Alors qu'en France, et ce chaque année
Trente trois milliards d'euros, elle doit dépenser
Cette hideuse catin de publicité
Tout cela, pour nous faire acheter
De l'inutilité, de la futilité, de l'absurdité !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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L'industrialisation des possibles

3 Juin 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

1852
De Londres, une grande puanteur
Des excréments en pleine chaleur
Ne font pas d'ombre
Quand encore
Mais la mémoire courte, dort
Quand tout était jeté dehors
Dans les eaux, parfois, sur les corps
D'une époque l'autre
Parfois dans la même époque
Avec un mélange sans équivoque
Certains terriens
Certaines terriennes
Dans le vingt-et-unième siècle, en plein
Certains terriens
Certaines terriennes
Dans le dix-neuvième siècle, en plein
Encore des gens sans un nid
Et pour la construction de nids
Les orangs-outans sont des champions
Et à trente mètres du sol, nous donnent des leçons
L'humanité
Est comme aveugle à son inhumanité
Comme une cécité d'insensibilité
Ou de la sensiblerie banale et intéressée
Il faudrait y voir
Comme l'aigle royal
Ainsi, voir, toutes les turpitudes du capital
Apercevant un campagnol à quatre cents mètres
Rapports sociaux
S'opposant aux réseaux sociaux asociaux !
La France
Se méfier de toute apparence
Est boisée à trente et un pour cent
Mais nonobstant
Aux pesticides, tout est pollué
Les pêches à 83 pour cent
Les poires à cent pour cent
Légumes, céréales
L'agriculture en conversion du capital
63,1 pour cent
Des végétaux pas bio
Des résidus de pesticides
Et agrémentés de tout acide
Voilà l'Europe
Faux paradis, faux top
Rodomontade des risques psychosociaux
Enfermés dans des routines, nos égos
Tout y est contrôlé
Tout y est surveillé
Police de la pensée
Police des armées
La pensée du travail
Repoussoir du travail de la pensée
Le travail comme la suprême police
Avec tout un conditionnement qui y glisse
La pensée policière
La pensée militaire
De l'économie et des affaires
Du politique au social
Avec les décideurs des lois du capital
Ne décidant rien du tout
Mais des gérants et gérantes des lois du marché, c'est tout
Administrant les inévitables catastrophes
Et contre cela, du faux multiple qui l'apostrophe !
Et tant de fausses relations
Car tout gouvernement est une fausse action
Ainsi de la voiture électrique
Encore plus polluante, du mythologique
Une batterie
Seize kilogrammes de Nickel
Quinze kilogrammes de lithium
Dix kilogrammes de cobalt
Métaux très rares
Et comme un faire-part
De la destruction
De l'exploitation
Comme des enfants pour le cobalt
Vrai modernisme technique, en effet, c'est bath
Et nous mangeons
Comme trois mille litres d'eau par jour
Et par personne, de ce manège, on prend son tour
Car tout ce que nous mangeons, le jour
Est composé d'eau
Est fabriqué avec de l'eau
Et donc pas simplement l'eau
Mais, avec un vrai investissement
Transformer, utiliser, l'urine, les excréments
Du soleil avec ses six mille degrés en surface
Quinze millions de degrés, au centre du soleil
Et étrangeté du faussement pareil
Six mille degrés au centre de la Terre
Toute une spectroscopie du fini
Fini de l'infini, l'infini du fini
Mais en rapport de 99,8 pour cent
De la masse totale du système solaire
La Terre est comme un vieux débris stellaire
La lumière
C'est autre chose que les TGV souvent retardataires
Terre/Soleil
Huit minutes et vingt secondes
Voilà, là, bien une autre Joconde
Quand tout est risque écocidaire
Du relais logique du génocidaire
Quatre terrains de football toutes les vingt minutes
De la verdure se matérialisant en béton, zut
De l'industrialisation en élevage
De l'élevage en industrialisation
Jeux numériques, films, vacances, pornographie
Des divertissements, et surtout de l'ennui !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique d'excitotoxicity processus stalking

1 Juin 2022 , Rédigé par Patrice Faubert

2021
Les dépenses mondiales de l'armement
Deux mille milliards de dollars
Pour cela, aucun gouvernement avare
Et dans tout gouvernement, mon mollard
1) USA : 801 milliards
2) Chine
3) Inde
4) Angleterre
5) Russie
6) France
Oui, vraiment
Pour les heures heureuses
Il ne faut plus aucun gouvernement
Toujours de la folie furieuse
Il faut des fédérations de communes
Sans aucun chef, ni aucune cheffesse
Même avec de belles fesses
Sans aucun leader, mais de l'autogestion auto-immune
Sans aucune politique étatique
Qui d'ailleurs se prend la nique
Comme face à l'industrie du médicament
Tous les prix, les insufflant
Faisant donc la pluie et le beau temps
Et puis, les milliardaires
Et puis, les actionnaires
Du monde capitaliste, les propriétaires
Avec les notables et les célébrités
Du système marchand, en toute complicité
Avec tout un entretien grotesque du célébré !
Mais la plupart des gens
Trouvent tout ou presque, normal
Cela a toujours été comme cela
Il faut fermer sa gueule, et voilà
Pour l'exploitation aussi, c'est bien ça
Il faudrait donc
Des riches
Des plus que riches
Il faudrait donc
Des pauvres
Des pauvres plus que pauvres
Des guerres pour les armées
Sinon, elles ne pourraient que chômer
Des vols, des crimes, pour la police
Sinon, cela serait du vice
Et pour défendre et renforcer, surtout, justifier le capital
Il faut donc créer de l'insécurité
De l'injustice, des frustrations, des divisions, des inégalités
Mais aussi
Des syndicats et des organisations
Muselières des prolétaires et huilage de soumission
Le seul syndicat anarchiste et révolutionnaire
Toujours là, CNT/AIT de Toulouse, le seul pour plaire
Avec la Fédération anarchiste qui sait aussi y faire
Tout le reste étant du tout-venant réactionnaire !
Mais aussi
Des églises ou des sectes, des associations
Toujours justifiant le capital et son orientation
Du : Tous contre tous
Du : Toutes contre toutes
Et personne pour personne
Dans toutes nos misères qui nos sonnent
La misère matérielle
La misère sexuelle
La misère intellectuelle
La misère culturelle
La misère relationnelle
La misère spirituelle
La misère affective
La communication verbale s'appauvrissant
Même pas de l'épouillage, un remplacement
Mais si les gens savaient vraiment
Ce qu'est l'anarchie, ils y adhéreraient, certainement !
Hélas
L'ignorance rime avec fascisme ou nazisme
Avec la xénophobie, avec le nationalisme
L'ignorance des faits sociaux rime avec totalitarisme
Avec le stalinisme, avec le racialisme
S'y invitant aussi le complotisme
Et tout un faux anarchisme
En version analphabète gauchiste
Car dans la pensée séparée
Tout est divisé et donc tout est fausseté
En corporation de fausses identités
Du tout fragmenté
Donc, du tout opposé
Dans un tout, néanmoins relié et unifié
Ainsi
Un animal non-humain et donc de boucherie
Ou au mieux pour lui, de compagnie
Donc, pour la boucherie, et avant d'être tué
Et donc avant d'être mangé
La bête doit parcourir, en ridicule défi
En moyenne, quatre cents kilomètres
Et tant d'autres inepties au kilomètre
L'agriculture qui serait biologique
Qui pulvérise 2,6 fois plus de cuivre à l'hectare
Que l'agriculture intensive
Mais l'agriculture intensive
Occupe plus de 91 pour cent des surfaces agricoles
En France, l'agriculture conventionnelle, nous colle
Cumulant de ce fait, 81 pour cent
Du cuivre répandu tous les ans
Pour le capital, c'est l'empire du pire
Et toute sélection s'y fait pour et par le pire
Avec les hiérarchies en point de mire !
Après
Si les glaces de l'Antarctique fondaient
Mers, océans, de cinquante six mètres, augmenteraient
Du grain à moudre
De l'optimisme, façon lourde
Du corail à moins 172 mètres de profondeur
De la joie comme du leurre
L'on en finirait jamais dans l'horreur
Pour un peu de faux bonheur
Comme le pogrom de lasi
( juin/juillet 1941 ) en Roumanie
Environ 14850 juifs et juives
Exterminés, par des fascistes et des nazis roumains
Et donc par un gouvernement roumain
Comme en avant-première
De toute la logistique argumentaire de feu Hitler
Du local au global
Extermination de masse générale
Mais donc déjà en 1941 en Roumanie
Gens tués au couteau, par balles
Gens étouffés, l'urine, les excréments, au tout sale
Du sang, de la terreur, dans les wagons bondés
Lever de rideau, puis tout répété, tout perfectionné
Le nazisme allemand en tira des leçons
Mais ce qui permet l'hideux, c'est la soumission
Il faudrait que des rivières atmosphériques
S'abattent sur les pensées réactionnaires
De la vapeur d'eau dans l'atmosphère
Eaux des océans s'évaporant
Tempêtes, inondations, se formant
Gouttelettes  d'eau, nuages, pluies
Et tout sera plus fréquent
Avec le climat se réchauffant
En plus, de trente à quarante pour cent
Avec aussi de fréquentes canicules
Qui vont, qui viennent, qui viendront, et nous déambulent !
 
Patrice Faubert ( 2022 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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