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Noske, noskisme réactualisé

20 Novembre 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Qui se souvient
Pourtant, rien n'est vraiment vain
1918, début novembre, les marins
De Kiel, les fameux mutins
La guerre, la refusant
Préludant
De l'Empire allemand, l'effondrement
Drapeau rouge des conseillistes
Et trahison par le faux communisme
Toujours de la fausse République
Et pour les braves, des coups de trique
Avec feu ( 1868 - 1946 ) Gustav Noske
L'éternelle antienne du parce que
Qui fit écraser l'insurrection du spartakisme
Toujours des faux frères
Présents sous toutes les ères
Toujours des Noske pour nous embrouiller
Agents de la tyrannie avançant masqués
Toute révolution est trahie
Par la hiérarchie et par la bureaucratie
Puis, tout y est récupéré
Comme une troupe coloniale, utilisée
Mais, via les réseaux sociaux
De plus en plus de " Gilets jaunes ", du vrai faux nouveau
Hors des partis et des syndicats
Mais ces gens sont bien de quelque part
Attention, le fascisme adhère à ce genre de faire-part
De toute ambiguïté, il sait faire un art
Prenant les retardataires dans son car
Ce qui n'est pas dit
L'automobile pollue
L'automobile mutile et tue
Et pour tout, c'est ainsi
Il faut trouver d'autres énergies
Dans le partage, la bienveillance, l'anarchie
Guerre économique
Guerre plus classique
14/18, 1.400.000 indiens
Pour faire la guerre, comme un butin
Le militaire anglais était malin
Quand le préjugé racial, n'est plus un frein !
2018, avant, après
L'ère numérique
Avec son zapping compulsif et frénétique
Avec aussi toute une réacosphère électronique
Il se modernise l'esprit réactionnaire
Et il nous façonne le flux numérique
Chaque nouvelle génération
Plus atteinte que la précédente, terrible contamination
Multitâche et charge mentale
Vite, la surcharge cognitive, inévitable mal
Informations pertinentes non perçues
Informations non pertinentes perçues
Un temps d'attention véritable
Surtout les jeunes, c'est lamentable
Deux minutes à 45 secondes
Et advient la surcharge cognitive
D'image en image, aliénation perceptive
L'on ne peut plus rien classer
L'on ne peut plus rien analyser
Voir et comprendre que tout est lié
Dans un esclavage numérisé généralisé
Un peu comme l'esclavage salarié
Avec aussi de l'esclavage chômé
Pas le moindre oukase
Dans une heuristique pleine de cases
Quand tout devient de la négativité
Comme la voiture électrique
Sa batterie, des centaines de kilos
Nickel, 400 kilos
Cobalt, 15 kilos
Lithium, 5 kilos
Autres métaux rares
Que la modernité est belle !
De toute vraie réflexion, elle est avare
Donc
Un million de voitures électriques
C'est comme un ou deux réacteurs nucléaires
Pour s'en rendre compte, c'est plus clair
Et aussi
La France numéro 1 en Europe
Pour les pesticides, indécrottable top
Des cultures arrosées, 3 millions d'hectares
Le paysan intensif, fêtard
Siphonnant la nappe phréatique
Et par hectare, comme deux piscines olympiques
Toute une production empoisonnée
Du gîte et du couvert pour les sangliers
Pouvant raffoler de ce qui est cultivé
Mais dans 20 cm de sol
C'est encore un sacré bol
Un milliard de bactéries
Un million d'espèces
Elle n'est pas encore dite la messe
Mais à la condition de bien serrer les fesses
Pendant ce temps, toutes les huit heures
Un rhinocéros est tué, l'africain pauvre, en fait son quatre heures
30.000 euros le kilo de corne
Et le braconnier est sans borne
La demande, Chine, Viêt Nam,
Quand la bêtise est sans âme !
De l'offre et de la demande
Le capital en redemande
Dans à peine 20 ans, plus aucun rhinocéros
La mythologie asiatique est vraiment rosse
Crime organisé international
90 pour cent du braconnage via le Mozambique, ô pauvreté fatale
Alors qu'un rhinocéros peut vivre 50 ans
Mais il en reste environ 25000 seulement
Et sur Terre depuis 55 millions d'années
Mais l'animal humain sait tout exterminer !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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Profit de guerre, guerre de profit

16 Novembre 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Comme un éternel retour
Façons multiples, tour à tour
Il y a 20.000 ans
Il faisait si froid, l'humain, comme inexistant
En degrés centigrades, il pouvait faire moins vingt
La forêt, déjà, avait diminuée grandement
Comme un désert de glace
France, Aquitaine, Nord de l'Espagne, un peu de place
Encore quelques humains
De l'époque congélateur, au tout vain
La grotte ornée
C'était surtout dans le passé
Grotte Chauvet, environ 36 000 ans
Grotte Lascaux, environ 15 000 à 18 000 ans
De la grotte rarement habitée
Surtout du chamanisme, de la création ritualisée
Aucune certitude, l'on ne peut que conjecturer
Avenir via le passé
Comme pour le fascisme populismé et militarisé
Du coup d'Etat démocratique, au Brésil
Ils ont voté, et puis après, tout tient sur un fil
Si la culture est bourgeoise
La dictature électorale nous toise
Et la bourgeoisie fut révolutionnaire
La culture est parfois aussi révolutionnaire
La culture était même et surtout aristocratique
Toujours prête à la fine critique
Avec des théoriciens de l'anarchie, aristocrates
Bakounine, Kropotkine, les plus fameux, contre tout autocrate
Ainsi que, contre tous les faux et fausses démocrates
Des aristocrates, ou des hommes d'écriture
Des savants, pédagogues, géographes, médecins, écrivains, de la vraie culture
L'anarchie de la culture de soi-même
Qu'aucun pouvoir ne s'amène
Hélas, des pauvres comme un seau vide
Que remplit la propagande du populisme fascisant
Rendant toute raison, livide
Du pauvre, pour le fascisme, pour les droites, votant
Alors, que tout tyran
Envers lui, est royalement méprisant
Car, le pauvre dépourvu de culture
Place à toutes les forfaitures
Place à toutes les doublures et impostures
Et aujourd'hui, puisque tout est guerre
Guerre du profit, profit de la guerre
Le prisonnier de guerre
Et bien moins traité, le constat n'est plus à faire
Mai, juin, 1916, Verdun
Pour le soldat, vie, en durée
15 jours, il pouvait espérer
Et une fois fait prisonnier
L'allemand, le français, le prisonnier était bien traité
60.000 prisonniers chez les allemands, environ
70.000 prisonniers chez les français, environ
De l'enfer des tranchées, enfin, pouvoir s'échapper !
Et à propos des tranchées
De 14/18, il faut le signaler
Déjà, parmi d'autres, du gaz lacrymogène
Pour immobiliser, toute armée, est sans-gêne
Comme dans les manifestations de nos jours
La tyrannie, toujours, fait les mêmes tours
Donc, Verdun, mai/juin, 1916
Comme d'habitude, les généraux toujours planqués
Soldats mutilés, aveuglés, choqués, traumatisés, amputés, tués
Pour la France
378 000 morts ou disparus, environ
Pour l'Allemagne
330 000 morts ou disparus, environ
Avec au moins 300 000 corps disparus
De la bouillie humaine en terre, l'on fit des choses, dessus
En France
Un million d'orphelins
700 000 veuves, un éternel chagrin
Neuf millions de mobilisés
Sur trois ans, en durée
De 23 ans à 48 ans
Et d'autres pays, omettant
Rien que cela est nonobstant, édifiant
4/8/1914
Ce fut l'hypocrite Union sacrée
Pour le droit de tout militariser
Pour le droit de tout exterminer !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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Lobotomisation populationnelle

7 Novembre 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Il faut donc
Payer pour tout
Dans la marchandisation, tout a un coût
Et puis donc
Personne ne demande à naitre
Surtout, là, où tout vous envoie paître
De l'être, en interdiction
De l'avoir comme une sommation
Aux lois du marché, tous et toutes, en soumission
Tout pouvant prendre plusieurs formes
Chaque temps historique avec sa norme
Et il y en a pour tous les goûts
Du prolétaire, du nanti, la même roue
Avec des chagrins d'amitié
Puisque tout ou presque est rivalité
Avec des chagrins d'amour
Quand la sexualité joue des tours
Comme si chaque existence
La fausse conscience comme seule cadence
Avec des populations lobotomisées et donc contrôlées
Avec des populations décérébrées et clonées
Toute une fausse diversité
Pour la dictature du capital
Toujours aux ordres, fausse diversité prête à voter
Cela est devenu normal
Cela est devenu banal
La vie enfermée dans un cercueil
De tous nos regrets, comme un linceul
La mort comme une belle affaire
Via tout le trafic du funéraire !
Tout cela ne rentrant
Hélas pas, comme tout le reste, dans le signifiant
De la plupart des gens
Donc, comme par ailleurs, encore
Dans le funéraire, le capital fait fort
Pour la simple inhumation
C'est au moins 4000 euros
Pour la simple crémation
C'est au moins plus de 4000 euros
L'on ne dit déjà plus
Comme l'ensemble de la publicité, qui pue
Ma tête est malade, mais tu peux parler à mon cul
Cimetière
Mais, c'est le jardin du souvenir
Il faut plaire
Il faut faire plaisir
Des tombes avec le code QR
200 euros de plus, c'est un monde d'affaires
Sites mémoriaux sur Internet
Le capital fait toujours la fête
Cependant que
Dans notre corps qui travaille tout le temps
Pas besoin de traverser la rue, ô crétin, c'est évident
80 millions de nouvelles cellules s'y développant
Chaque jour, paradoxalement
Voilà-ti-pas
Que plus rien ne nous émerveille
Le disque, sans cesse, se raye
Comme l'immortalité de certaines méduses
Mort programmée de la cellule, bloquée, quand rien ne s'use
Mais le monde lui-même est devenu une phobie
Comme tout nationalisme avec sa glottophobie
Du nationalisme des territoires
Des territoires du nationalisme
Abominable guerre de trente ans, l'Alsace à la France, on l'oublie !
Et en vérité
De toute cérémonie, il faut se défier
Tout culte
Le culte de la charogne
Aurait dit, feu ( 1875 - 1908 ) l'anarchiste Albert Libertad, révolte qui cogne
Donc, tout culte
Qui que ce soit
Quoi que ce soit
C'est toujours sordide
C'est toujours morbide
Ainsi, toute renommée spectaculaire, est toujours un bide
The Doors ( 1965 - 1973 )
100 millions de disques vendus
Le capital sait faire des affaires
Et feu ( 1943 - 1971 ) Jim Morrison
Comme un sac de pommes
Fut vendu
Fut pendu
Par le fric, tout est détourné et tordu
Il faut l'apologie de l'inconnu
Il faut rester inconnu
Bon, pour revenir au funéraire
Tout nous y ramenant, notre fin dernière
Du coq à l'âne, il passe le Faubert
Et ni coq, et ni âne, j'espère
France, 2013, 560.000 décès
Du capital, une statistique d'abcès
2,5 milliards de chiffre d'affaires
Pas si très jadis
Comme un double six
De la classe septième à la classe première
Maintenant, c'est moins gruyère
Mais 3000 agences environ, 25000 salariés
Un secteur du marché
Ne pouvant jamais chômer
Le pauvre, lui, dans un trou est jeté
Le riche se fait crématiser
Ce sont les déchets des poubelles qui se font incinérer
Dans une humanité qui ne sait que se mépriser
Certes, c'est facile de tout critiquer
Mais malheur, toute l'organisation du monde est à critiquer !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Une machine c'est crétin

3 Novembre 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

La guerre de trente ans
Comme une référence, évidemment
1618 - 1648
Puis
Traité des territoires
Paix de Westphalie
Chaque temps historique avec ses vilenies
Des millions de morts et de mortes
De la fornication contrainte
C'est la guerre, pas le droit de plainte
Quand tout est viol
Quand tout est fol
Quand tout est mutilé
Quand tout est massacré
Aujourd'hui comme hier
C'est toujours des mercenaires
Des soldats pour tout faire
Le jeu des alliances
Le jeu des démences
Et pour l'exportation des armes de guerre
USA, Russie, France, trio de tête, et nous laissons faire
Pays réactionnaires
Pays militaires
Armant des pays
Où règne la tyrannie
Où règne l'infamie
Le fascisme en Egypte
Le fascisme en Arabie saoudite
Mais l'argent, jamais, ne médite
Logiciels de surveillance
Opposants politiques, une complicité de maltraitance !
En France
Les armes, non de honte, mais de providence
Quatre mille petites et moyennes entreprises
De l'armement sans aucune méprise
Et de nouvelles anciennes stratégies systématisées
Comme les femmes systématiquement violées
Comme les hommes systématiquement violés
En Libye, c'est comme une spécialité
Stratégie du viol
Mais pas viol de la stratégie
Car cela était déjà la chose du passé
Toute guerre pouvant utiliser ce procédé
Comme le pillage, façon de se payer
Donc, du viol comme arme de guerre
Puis, des humiliations qui font taire
Rendre la soumission indélébile
Le violé voulant se venger, devenant violeur, toute vengeance est stérile
Car, c'est ainsi, toujours face, toujours pile
Il s'agit d'anéantir, tant le corps, tant l'esprit
Vendant des armes à des bourreaux
La France en fait ainsi partie
Secret Défense
Défense du secret
Que tout le monde sait
C'est vraiment idiot
Et bientôt, déjà, bientôt
Réfugiés politiques
Réfugiés économiques
Réfugiés climatiques
Et déjà, bientôt, déjà !
Le plus terrifiant
Il n'y a plus que des droites
Le plus désolant
Les pauvres de plus en plus, à droite
Forcément
La misère, personne, cela ne grandit
La misère, et oui, cela abrutit
Il n'est pas difficile
Ainsi
De prévoir des zones de criminalité
En fonction des zones de pauvreté
De notre temps
Où règne un présent spectaculaire permanent
Tant à l'école
Tant au bureau
Tant à l'usine
Tant au stade
Tant au laboratoire
Mais qui pour le croire !
Tout y est noté
Tout y est classé
Il s'agit de tout contrôler
Chaque individu dans une case, rangé
1956
Naissance de la mémoire artificielle
Faussement appelée intelligence artificielle
Aucune machine
Ne sait ce qu'elle fait
Aucune machine
Et pourquoi elle le fait
Aucune machine
Ne sait qu'elle sait
Pas de sens commun
Une machine, c'est crétin
L'être humain en prend le chemin
L'ère de l'échelle numérique
Apprentissage non supervisé, présent spectaculaire informatique !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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Paraphysique du profit de l'horreur

1 Novembre 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

C'est évident
Aussi bien
Rien d'étonnant
Dans les milieux réactionnaires
Surtout le fascisme
Surtout le populisme
Surtout le stalinisme
Surtout le nazisme
Surtout le libéralisme
Et autres variantes en isme
De tout le capitalisme
Tout ce monde veut dominer
Dans une bureaucratie, s'élever
C'est évident
Aussi bien
Dans les milieux faussement révolutionnaires
Surtout le gauchisme
Surtout le castrisme
Surtout le guévarisme
Et autres variantes en isme
De tout le capitalisme
Tout ce monde veut dominer
Dans une bureaucratie, s'élever
Et là où c'est le moins
Par ce mal apprentissage, atteint
C'est encore l'anarchisme, j'en suis plus que copain
Mais
Moins, ne veut pas dire, rien
Car le vrai révolutionnaire
Conteste tout Etat
Car l'organisation de tout Etat est foncièrement policière !
Du terrorisme de l'Etat
L'état du terrorisme
Des mercenaires du capital
Jadis, Carlos, du terrorisme international
Nations l'utilisant, FPLP, l'instrumentalisant
Nations s'en servant
Puis, toutes, l'abandonnant
Personne ne le voulant
Pas même la Syrie
Ce pays repère d'anciens nazis
Ni même le Liban
Et à bien considérer, finalement
De beaucoup de pays, il fut l'agent
Le Mossad le surveillait
Sans jamais vouloir l'éliminer comme un fait exprès
Car sur l'échiquier du capital
Les banques en première ligne, c'est normal
Elles font et défont la marche du monde
Influençant toutes les élections politiques
Finançant et organisant toutes les élections politiques
Je suis bien joyeux de n'avoir jamais voté
Pour toute une escroquerie savamment orchestrée
Il faudrait incendier toutes les banques
Au lance-flammes, au tank
Tout est devenu putain de ce monde
Tout est devenu souteneur de ce monde
C'est comme pour les boîtes de nuit
Pour les femmes, c'est gratuit
Idem pour le monde des annonces
La femme, l'appât qui défonce !
Là, les féministes ne disent rien
Aucune parité, la femme, le loto, le gain
Cela génère du trafic
Sans la femelle, pas de fric
Comme aussi le trafic des médicaments périmés
Inde, Pakistan, là où règne la pauvreté
Et à propos des faux médicaments
700.000 décès par an
Et en ligne, c'est la mafia, à 95 pour cent
Le profit de l'horreur
N'est pas l'horreur du profit
Autre registre, les abattoirs, souffrance infinie
Ouvriers exploités
Animaux massacrés
De la viande, de la fourrure, du cuir
Fermes d'élevage pour les préparer
La mort assurée, sans pouvoir fuir
Avec le luxe et son industrie
LVMH, KERING, et autres marques
Et ce qui va avec, les tanneries
Ce qui à l'élevage est une saloperie
Comme une exacte tautologie
Animaux écorchés
Encore vivants, dépecés
Pas de code de conduite
Mais la conduite du code
Toute une internationale de la pollution
De l'animal non humain, toute une extermination
De certaines personnes qui se veulent à la mode !
Tout un secteur
Comme bien d'autres secteurs
De l'évasion fiscale
De la Suisse, banque du capital
Mais
Tout ce que nous produisons
Mais
Tout ce que nous consommons
Génère de l'exploitation
Génère de la pollution
Génère de l'aliénation
Une seule issue de secours
Dix siècles ou quelques jours
De l'économie, ABOLITION
Un autre jeu, il faut
Et jeu signifie innovation, pas qu'un mot
Comme un tableau
Brûlé, de feu ( 1893 - 1983 ) Joan Miro
Flamme, cendre, fumée
Et du tout recontextualisé
Mais, là, aux lois du marché
Tout est le prisonnier
Augmentant, du tableau, la cherté
Tout y est prévisible
Tout y est reconductible
Tout y est reproductible
Cambridge Analytica
En politique, analyse des données, pas que cela
Et tel président, tu éliras !
Toute élection est contre la démocratie
Tout étant joué à l'avance
Sondages, données statistiques, pour la tyrannie
De la propagande, ni chance, ni malchance
Trump le milliardaire, fut élu, ainsi
Nouveaux outils d'exploitation
Du capital, ses cadres, ses pions
Vraiment, en finir, avec toute votation
Qui même à la démocratie indirecte est une vexation
Des puissances d'argent
Publications stratégiques
Sondages, données secrètes, la banque, tout, organisant
Des banques, l'argent de tous les trafics
De la drogue, des médicaments, des jeux, de la prostitution, autres répliques
Et puis
Des manifestations sans le message
Le message sans la manifestation
C'est maintenant, la mort, ou la révolution
Et à long terme, pour l'humanité, la seule solution
La fabrique des délits
Les délits de la fabrique
BNP PARIBAS, 192 000 personnes salariées
78 pays, des agences par milliers
Il faut blanchir l'argent
Or, tout argent est sale, c'est évident
Il fait la femme putain, il fait l'homme maquereau
Mais en faire une généralité serait faux !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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