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De l'acousticien informel

26 Juillet 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" Moi, mon métier c'est de soigner des gens, soigner des gens dans un couloir, je suis désolée mais c'est pas entendable du tout. Aujourd'hui en 2020, on fait le tour du globe, on met des choses sur la Lune, non, c'est pas entendable. "
 
Muriel Chatelet ( infirmière aux urgences de Clermont-Ferrand )
 
Alors que l'on sait
Mais pour les soins, c'est plus simplet
Qu'à chaque seconde
Mille milliards de soleils nous inondent
Le quasar et son énergie qui féconde
La sociologie de l'hôpital
Comme de l'archéologie expérimentale
Tout cela en dit long
Sur une prétendue civilisation
L'environnement de l'apprentissage
L'apprentissage de l'environnement
Fabrication d'outils
Jusqu'à l'actuelle technologie
Activité cérébrale, aire de Broca
Avec le langage qui avec, va
Toute une activité y est liée
Plus loin dans le temps, la bipédie érigée !
Il y a 4,4 millions d'années
Ardipithecus ramidus, le couple stabilisé
Puis bien après
Comme un fait exprès
L'évolution le sait
Néandertaliens, chasseurs de près
Des Cro-Magnons, propulseurs, chasseurs de loin
Avec de la chasse par épuisement
De toutes les espèces, l'espèce humaine, la plus endurante
Avec des aiguilles pour coudre les vêtements
Des pirogues pour voyager longtemps
Ce, il y a plusieurs milliers et milliers d'années
Elle est si loin, la modernité
En 2020
Au tout fichu, au tout va finir
Au locavorisme, nous allons devoir revenir
Avec des produits courts
Ou sinon, la pollution, elle court, elle court
Et physiquement, nous nous avachissons
Et il ne s'agit pas, là, de mensurations
Ainsi une guerrière viking
Plus forte de quatre fois, que de tous nos sportifs, rois du ring
En nos sexualités oubliées
De moins en moins pratiquées
Tout s'irradiant dans la frigidité
Tout s'irradiant dans le refoulé
Et ainsi
Comme pour beaucoup d'autres, c'est écrit !
Et donc mon plus grand manquement
Ce qui m'a le plus privé
Ce sont des rapports sexuels, de la sexualité
Certes, j'ai eu, quelques compagnes et quelques amantes
Certes, des orifices de la femme, j'ai joui et j'en suis l'obsédé
Mais des vulves et des seins, l'imagination toujours démente
Dans un monde au tout castré
Au tout chosifié, tout vendu, tout acheté
Si chaque être humain avait une sexualité épanouie
De notre courte unité de temps, plus rien à faire, et cela revient sur le tapis
Mais là, par acceptation et par envie
Selon les respects, les âges, et les envies
Du viol, de la pédophilie, nenni
L'absence ou le manque de sexualité
Dans tout fascisme, dans toute agressivité
Dans tout nationalisme, dans toute nationalité
Dans tout racisme, dans tout hiérarchisme
Dans toute idéologie, dans toute religion assermentée
Dans tout cela et sans oublier
Le sport, les arts, la science, le travail forcé
La poésie, la philosophie, la politique, les variétés
Toute une sublimation généralisée
Tout un refoulement conditionné
Et pour feu ( 1897 - 1957 ) Wilhelm Reich, paraphraser
Fonction de l'orgasme, orgasme inhibé
Stases accumulées, maladies diverses et variées
Psychologie de masse
De tout nazisme
De tout racisme
De tout fascisme
De tout stalinisme
De tout régionalisme au tout nationalisme
De tout système
De toute société
Mettant bas, à des injustices et des inégalités
Avec aussi la pornographie contre la sexualité
C'est tous les jours que l'on pourrait sexer
Quand l'âge, ou la santé, pourraient s'y prêter
S'interdisant de violer ou de malmener
Ni d'imposer, ni de forcer
Il suffirait, pour cela, de nous engrammer
Au stade du nouveau-né !
Sans une sexualité épanouissante pour tous et toutes
Partout, il n'y aura toujours que des joutes
Et il faut, l'éloge de la lenteur
Requin-baleine et sa discrète pudeur
Huit mètres de long, dents inutiles
Alimentation vegan, rien de vil
Filtres aspirateurs du plancton
Comme si, tous les jours
Dans deux piscines olympiques, nous nagions
Mais aussi dans la mer
Quelquefois, tout, et son contraire
L'espadon-voilier, 110 km/heure
Et ce de dix à vingt mètres de profondeur
Alors
Que tout paysage naturel
Est devenu comme un paysage industriel
Pourtant
Forêts, savanes, eaux, déserts
Tout parle, tout échange, tout écoute
Tout se parle, tout s'échange, tout s'écoute
Le sonore
Pas plus que le reste, ne dort
Affaiblissement acoustique des milieux
Les bruits artificiels
Impactant les bruits naturels
J'en suis, façon PUZZLE, l'acousticien informel !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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De l'enseignement perpétuant et lobotomisant

12 Juillet 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" L'enseignement dont l'objectif prioritaire est de repérer, favoriser, former les futurs gardiens de l'orthodoxie, par le bachotage, pour neutraliser les têtes folles, ce qui engendre la crainte de toute vraie initiative, chez les maîtres comme chez les élèves, et la négation de toute authentique curiosité. Le culte du succès substitué au goût de la connaissance. Il s'agit de fabriquer des " chiens savants ". "
 
Marc Bloch  ( 1886 - 1944 ) historien,  résistant, fusillé par les nazis, ( résumé non exhaustif sur l'enseignement )
 
Et oui
L'enseignement du conforme et du soumis
Et oui
Du parchemin et du diplôme, comme seuls outils
Tout diplôme est scélérat
Du singe savant et voilà
Surtout, de la vraie ignorante, du vrai ignorant
Et puis, une fois le diplôme obtenu
L'on étudie plus
Voilà bien, le faux étudiant
Voilà bien, le faux apprenant
Voilà bien, la fausse étudiante
Voilà bien, la fausse apprenante
De toute université
De toute faculté
Le vrai étudiant
Le vrai apprenant
Est forcément un autodidacte
C'est simplement un passionné
Sans le débouché, sans l'utilité
La vraie étudiante
La vraie apprenante
Est forcément une autodidacte
C'est simplement une passionnée
Sans le débouché, sans l'utilité
Avec de la vraie interdisciplinarité
Hors de toute université
Hors de toute faculté
Certes, sans le diplôme imploré
De toute considération, l'on est évincé
Pas de quoi en être éploré
Ni s'en plaindre, ni s'en apitoyer
Quand seul doit importer
La passion d'apprendre, par plaisir, par avidité !
Mais
Tout a été fait
Tout se fait
Tout se fera
Mayas
Incas
Aztèques
Parfois, du recyclage de tous les déchets, déjà
De l'enseignement mixte, déjà
Bien avant l'Europe
Qui n'était pas au top
Certes, toujours les dieux, les revoilà
Avec des sacrifices humains, holà !
Et sur une même planète
Tant de peuples si différents
Comme si, il s'agissait d'autres mondes, d'autres planètes
Quelquefois, dans un même temps
Quelquefois, dans un autre temps
Sur une courte unité de temps
Sur une longue unité de temps
Pas besoin de chercher ailleurs
Tout est ici, de tout temps, et à toute heure
Et un être humain qui meurt
ET UN ÊTRE HUMAIN QUI MEURT
Est comme celui qui naît ailleurs
EST COMME CELUI QUI NAÎT AILLEURS
La mort ne peut exister
LA MORT NE PEUT EXISTER
Car l'on ne peut pas la mémoriser !
De notre époque industrielle
De notre époque technologique
Au tout toxique
Au tout frénétique
Au tout carencé
De la vitamine A
Deux cent millions de personnes touchées
Sept cent mille enfants en mourant chaque année
Trois cent mille personnes en perdant la vue
Au tout industrialisé et pollué
Au tout traité et même le non traité
Avec de fausses études menées
Par des personnes, qui au système, sont inféodées
Et à quoi bon
27 mai 1943, au 48 rue du four
Naissance du CNR, Conseil national de la Résistance
De la France
Ce fut son Tour, jusqu'à sa totale et actuelle résilience
Au tout oublié
Au tout renié
Au tout falsifié
Par des scélérats et des renégats
Tous les hommes d'Etat, toutes les femme d'Etat
Il faudrait les chasser, sans délai, voilà
Mais c'est pourquoi, la lobotomie dès le scolaire
Avec quand même, cinq pour cent des enfants
Qui ont la phobie scolaire, seulement !?
C'est cela qui est esbaudissant
Au vu de ce que l'on y apprend
Le système de l'école
L'école du système
Au TOUT comme à l'armée
Et hélas, le plus souvent, la pauvreté
Par les divers fascismes, qui se fait manipuler !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Le seau vide et le seau plein

7 Juillet 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

( haïku paraphysique )

Et à la naissance
Sans aucune moquerie, sans aucune condescendance
Je suis un seau vide
Qui va se remplir
De préjugés
De lieux communs
De jugements de valeur
En fonction de ma niche environnementale
En fonction de tout mon biopsychosocial
Bref, de mon temps !
Et à la naissance
Sans aucune moquerie, sans aucune condescendance
Tu es un seau vide
Qui va se remplir
De préjugés
De lieux communs
De jugements de valeur
En fonction de ta niche environnementale
En fonction de tout ton biopsychosocial
Bref, de ton temps !
Et à la naissance
Sans aucune moquerie, sans aucune condescendance
Il est un seau vide
Qui va se remplir
De préjugés
De lieux communs
De jugements de valeur
En fonction de sa niche environnementale
En fonction de tout son biopsychosocial
Bref, de son temps !
Et à la naissance
Sans aucune moquerie, sans aucune condescendance
Elle est un seau vide
Qui va se remplir
De préjugés
De lieux communs
De jugements de valeur
En fonction de sa niche environnementale
En fonction de tout son biopsychosocial
Bref, de son temps !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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L'apprentissage de la saloperie

2 Juillet 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" 12 juillet - Visite aux abattoirs de la Villette. Ces taureaux qui ne veulent pas entrer à la boucherie, qui, sans doute, à l'odeur sentent ce qui les attend et qu'on pousse de derrière. Un d'eux, au moment où il allait entrer, lança un mugissement déchirant. Un autre avait dans les yeux une expression d'une angoisse contagieuse, terrible. On dit: ils ont peur parce qu'ils voient. Mais non, ils ont peur, avant de voir, à l'extérieur. C'est sans doute l'odeur. L'abattoir israélite - le plus cruel. Au moins cinq minutes d'agonie. Ensuite, ce demi-rabbin avec le couteau à la main pour pratiquer la saignée, quel spectacle odieux ! Tout le temps que j'étais dans ces abattoirs, ai pensé aux camps de concentration. C'est l'Auschwitz des bêtes. "
 
Cioran ( Cahiers 1957 - 1972, ED: Gallimard )
 
L'apprentissage
De la saloperie
La saloperie
De l'apprentissage
Au tout basé
Sur la compétition
Sur la rivalité
Sur la hiérarchisation
Il suffirait, néanmoins, d'apprendre autre chose
Au tout entraide, au tout senteur de rose
Et comme tout naît de l'ennui
Quand elle se conjugue avec la vie
Identification, sublimation, projection, mélancolie
Et c'est ainsi
Que le 26 décembre 1860
Le football, naquit
Certes, 32 joueurs à l'époque
Du règlement encore un peu toc
Tout cela, à Sheffield, en Angleterre
De la future addiction pour la classe ouvrière
De beaucoup de sports, le pays du naguère
Avec toute une reproduction des rôles
Et pas seulement du joueur au goal
Du fils de médecin comme le père
Du fils de marin comme le père !
De la fille d'avocate comme la mère
De la fille d'ouvrière d'usine comme la mère
Du fils de notaire comme le père
Du fils de ceci ou du fils de cela
De la fille de ceci ou de la fille de cela
La lutte des classes, c'est bien aussi, cela
Même et surtout
Et l'on ose nous traiter de folles et de fous
Il faudrait donc abolir
Toutes les classes sociales
Toutes les castes sociales
Être l'acousticien
Être l'acousticienne
Des sons de la politique
Des sons de l'écologique
Où l'on voit, par exemple, et c'est tragique
Le système forestier
Toutes les forêts adaptées à l'industrialisation
En réponse aussi, à une démente surpopulation
Donc, comme les épicéas
Pour des constructions éphémères, voilà
De la construction bas de gamme
Secret de la fabrication pauvre, vrai drame
Et ce, de la nourriture au logement
Tout un même prolongement
Avec un total mépris des gens !
Monoculture et supermarché du bois
Nourriture et supermarché, pour lui, elle, moi, toi
L'arbre est et était pourtant le meilleur ami
Des êtres humains
Mais par eux, des arbres sont abattus et déracinés
Comme pour les animaux non-humains
Des camps de concentration
Des camps d'extermination
Cochons, canards, lapins, volailles, vaches, agneaux
Veaux, chevaux, et autres divers animaux
Par des tueurs pas forcément des salauds
Mais il faut bien gagner sa vie
Et avec cet irréfutable alibi
Et oui, tout est permis
Comme l'on dit
L'apprentissage de la saloperie
La saloperie de l'apprentissage
Comme pour la coupe rase systématisée
France
750.000 km de haies arrachées
Avec de l'inondation
Avec de l'érosion
D'engrais chimique, au tout perfusé
OGM, dix pour cent environ, des terres cultivées
Ce, dans le monde
Insectes et mauvaises herbes, de la résistance
Face aux poisons, de la résilience
Surtout aux USA et en Argentine
Dans cette option, particulièrement crétine !
Fumigation aérienne
Au tout, des populations, cancérigène
Cancers, leucémies, tératologie néonatale
Apprentissage de la saloperie, tout suit, c'est fatal
Comme pour l'espèce humaine
Résistance aux antibiotiques
Première cause probable de mortalité en 2050, chiatique
Mais pour tout dit
Mais pour tout ce qui s'est dit
Mais pour tout écrit
Mais pour tout ce qui a été écrit
Ce que l'on dit, ce que l'on a dit
Ce que l'on écrit, ce que l'on a écrit
TOUT CELA
Ne vaut rien ou pas grand chose
En rapport, à ce que l'on vit, VRAIMENT
En rapport à ce que l'on a vécu, VRAIMENT
Sans se falsifier, consciemment et surtout inconsciemment
Et de tous temps, évidemment
N'étant là, pour rien vivre de personne, forcément
Il faut tout accepter, tout croire, aveuglément
De l'Histoire, ainsi que pour les petites histoires
Mentir pour se faire aimer
Aimer pour se faire mentir
L'apprentissage de la saloperie
La saloperie de l'apprentissage
Et à défaut d'un soi-disant message
Il n'y a dans ce puème, que de la rage !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 
  

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Paraphysique du localisme au globalisme

1 Juillet 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Nous sommes
Ce que nous mangeons
Nous sommes
Ce que nous disons
Nous sommes
Ce que nous entendons et apprenons
Nous sommes
Ce que nous lisons
Nous sommes
Ce que nous pensons
Nous sommes
Ce que nous faisons
Et cela n'est pas trop joli
Faire le bien comme un défi
Tout aurait pu être si naturel
Un sein en bouche, anxiolytique ludique, comme miel
Des caresses, des massages,  entre proches ou pas, du lien perpétuel
Mais c'est au tout cruel, mais c'est au tout artificiel
Au tout poubelle
De la vache toujours en gestation
Pour ainsi entretenir la lactation
Avec un veau par an
Du tout inséminant
C'est le même processus
Vite une belle chatte, que je la suce
Avec la femme, évidemment
Pour de l'allaitement permanent
Vite un beau sein que je le tète goulûment
Obsédé sexuel et Wilhelm Reichien, je suis, c'est patent
Avec du tétage imaginaire permanent sans arrêt dans le temps
Donc, une vache pourrait vivre vingt ans
Si on la laissait vivre tranquillement
Mais en industrialisation
Mais en usine de concentration
C'est cinq ans, seulement, c'est navrant
Et trois litres de lait, c'est comme un litre de purin
Lisier, du refluant, de l'élevage ravage, c'est crétin !
Et il faut le redire
Du paradoxe à ne pas médire
Ouf !
Car, il y a plus de microbes dans une poignée de terre
Que d'êtres humains sur la Terre
Comme quoi, toute relativité
Peut avoir sa spécificité
Et à aucune autre, il ne faudrait la comparer
Tout doit être dit
Mais sans aucune afféterie
Quand de la vérité d'un monde, tout est prédit
Avec si peu d'avenir, aussi
Sans l'insulte galvaudée et outrancière du mépris
Qui donnerait plus de poids dans le déni
Alors que justement, dans ce qui est galvaudé, cela en pâtit !
L'insulte tue l'insulte
Et devient de la banalité qui exulte
Et tout fascisme en connaît l'ausculte !
Donc, l'on constate
Toutes les dépenses militaires
De toute une industrie guerrière
Un monde sans aucun tact
Entre les gens, plus aucun vrai contact
France
Deux cent mille salariés
Deux cent mille sous-traitants, en complicité
Import-export, des dépenses militaires
Du travail alimentant toutes les guerres
D'un lien l'autre, tout travail, nourrit les guerres
Tu fais quoi, comme boulot ?
Tu fabriques des armes, c'est pas beau !
Mais et donc, tout travail construit le système
Mais tout système, le travail, il l'aime !
Ainsi
Les abeilles disparaissent
De la société, c'est pourtant l'indispensabilité
Pollinisant, produisant
Des pommes, des cerises, des tomates
Avec maintenant de l'échec et pat
Miel, tournesol, colza
Les abeilles pollinisent à tout-va
Soixante dix pour cent de la production mondiale agricole
Cela n'est pas rien comme obole
Mais comme au rugby, l'essai est transformé
Puisque tout est maintenant transformé
Comme en Belgique
Où la frite est comme magique
2,3 millions de tonnes de pommes de terre
Transformées, exportées, tous les ans
Et ce, dans 160 pays, c'est édifiant
Mais au tout surgelé
La baraque à frites comme reniée
Et au restaurant, trop souvent, de la patate même pas épluchée
En allant ainsi, pour toutes choses
Et à diverses doses
Industrialisation de l'élevage
Production de l'élevage en industrialisation
Et traité ou non traité
De l'incompréhensible signalisation
De l'impossible vérification !
Un peu comme aux USA
SS, SA, USA
Pas que le racisme d'Etat
Mais sous le psychopathe Trump
Ces trois derniers mois en version Trump
Covid-19
106.000 décès
Autant, voire plus, ce sont des faits
Que les guerres du Vietnam et de Corée réunies
Et ô terreur, aussi
Comme
22 guerres en Irak
Comme
33 fois le bilan du 11 septembre 2001
Comme
42 fois l'attaque japonaise de Pearl Harbor
Même si rien n'est jamais vraiment comparable
Quand justement, tout devient, dans l'horreur, comparable
D'autres causes, d'autres faits
Pour d'autres méfaits
Et certes, le système en est le relais
Capital, système, société, c'est comme il vous plaît
Quand tout l'entretient, quand tout l'entretenait
Au tout :
Putains, maquereaux,  objets sujets, sujets objets
De la Bretagne
13 millions de cochons
Cent millions de bêtes à plumes
Ce qui équivaut, véritable enclume
Comme cent mille tonnes d'ammoniac
La société, c'est du tac au tac
La Bretagne, c'est pourtant quatre pour cent de la France
Mais, nonobstant, quatorze pour cent des émissions nationales
Du régional
Du national
De l'international
Ou bien
Du local au global !?
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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