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Articles récents

Le suicide du monde

3 Novembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Mais c'est de l'effet d'annonce
Car le monde est toujours plein de ronces
1912
Création de la Ligue pour la protection des oiseaux
Or, il y a de moins en moins d'oiseaux
Et puis
Il y a l'industrie de la guerre
Il y a l'industrie de la chasse
Chasse de loisirs
Chasse alimentaire
Cela a commencé un jour
Cela se poursuit toujours
Le climat ne pouvait pas changer
Il n'était pas présent dans les mentalités
De la guerre à la chasse
De la chasse à la guerre
Des armes à répétition
Plus néfastes que les paroles à répétition
Des armes pour l'extermination
Comme une sorte de régulation
Des espèces diverses et des populations
Toutes les sensibilités en élimination
En France, ce pays bien fascisant
Avec plus que jamais, l'esclavage du salariat
C'est la guerre aux pauvres, et mendicité en crachat
Pour pouvoir y prétendre
Pour pouvoir l'attendre
Et des allocations ou salaires de misère, par mois
Sinon, c'est la rue, le désespoir, c'est la loi !
Le monde est si doux
Le monde est si beau
Que, dans le monde
Au moins 800.000 personnes se suicident
Et ce, chaque année
Avec des millions de tentatives échouées
Ce qui tous les dix ans
Correspond
Et entièrement, à la disparition
D'une grande mégapole
Ou d'un pays en toute dévastation
De toutes les misères, de toutes les déceptions
Avec le suicide qui s'y colle
Avec le suicide qui y décolle
Pire que dans une journée actuelle
La vie dure, la vie pas belle
Tout cela, s'évaporant
Dans les sports et le divertissement
Avec, en arrière-plan, une goutte d'effondrement
Le capital n'est pas du négociement
Rien n'étant négociable pour la plupart des gens
Et plutôt disparaître qu'un vrai changement
De plus, dès 1923
Avec la naissance officielle du concept de la nature
Et de sa défense, pointait le concept d'environnement
Surtout pour les paysages
Surtout pour les barrages
La houille blanche et son partage
Chaque époque avec son patrimoine culturel
Chaque époque avec sa notion du naturel !
Aussi
Des luttes ouvrières avec défaites et victoires
Ou au sortir des guerres
Ainsi, en France, de la Sécurité sociale
Et autres aides à la pauvreté
Et autres aides à la précarité
Les bourgeoisies, comme toujours, donnant un doigt
Au lieu d'un bras, c'est étudié pour, ma foi
Et aides vite supprimées, rognées, détournées
Et tant et tant d'autres, astuces rusées
Et pour paraphraser, Jacques P, un copain nantais

" Ceux et celles qui veulent la répartition des coups de fouet sont incapables
d'envisager sa disparition. "

Ou encore

" Ceux et celles qui veulent répartir la misère n'envisagent pas son élimination . "

Et les formules de ce genre
Des Halles de la rue, il en est le fort
Certes, pour cela
Il faudrait une véritable révolution sociale
Il faudrait que s'éteigne le capital
Révolution des consciences
Révolution psychologique en sapience
Pas comme les mille personnes, qui en France
Se volatilisent chaque année, avec ou sans outrance
Des disparitions volontaires
Et aussi, des crimes parfaits, ou du divers
De la traite des blanches
Réseaux protégés par des gens du capital
Magistrats, monde politique, et la drogue dans le pré, fatal
Mais là, pas de disparition, c'est l'une des mafias du capital
Pornographie de la prostitution
Prostitution de la pornographie
Viols, tortures, du futur urbex déjà en cavale
Quand chaque caste de domination
Coopte une autre caste de domination
Et à défaut de totale impunité, une discrète protection !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du satisfecit de l'ordurier

1 Novembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Hedwig Kiesler ou ( 1914 - 2000 ) Hedy Lamarr
Qui du sexe des hommes, l'en avait jamais marre
Actrice, trop belle, trop ceci, trop cela
Tourna, hélas, trop de nanars
Et même ( 1933 ) " Extase " premier orgasme au cinéma
Et scientifique, inventrice, précurseuse, que l'on ignora
Wi-Fi, GPS, Bluetooth, et d'autres inventions
L'armée lui vola tout, trop licencieuse
Dans le privé, 35 milliards de dollars, elle aurait pu gagner
Et tant et tant d'autres anecdotes
Gens connus ou gens inconnus, aussi, avec ou sans note
De tout non-conformisme, en deviennent comme l'antidote
Avec de l'oubli volontaire comme seule dot !
Et si l'on ne coche pas toutes les cases
Et qu'avec rien, l'on est en phase
Allez mec, écrase
On le sait, y te manque une case
Le désaccord faisant passer pour naze
Nonobstant
Alice Miller ( 1923 - 2010 ) avait vu juste
De l'enfance sous terreur, du tout injuste
Au monde entier sous terreur qui ajuste
Quand les compétitions nous façonnent
Quand les brutalités nous conditionnent
Quand l'absence d'empathie nous auditionne
La gentillesse est devenue comme une incongruité
La méchanceté est devenue comme une banalité
Le monde entier est une compétition en compétition
Il faut, de gré, de force, y participer
Au saut du lit, quand nous nous levons
D'une façon l'autre, nous nous liquidons
L'oubli, le mépris, l'indifférence, nous nous effaçons
Il aurait fallu
Liquider tous les hommes politiques
Du pouvoir capitaliste
Il aurait fallu
Liquider toutes les femmes politiques
Du pouvoir capitaliste
Liquider toutes les horreurs économiques
Le monde n'ayant besoin d'aucune autorité poison
D'aucun parti, d'aucun syndicat, d'aucune nation
Mais de l'organisation sans organisation
Pour partager toutes ses vitales fonctions
Sans aucune fragmentation dans l'unité de fusion !
Quand tout je
Et bien que je
Est le tu, est le il, est le elle
Eux, nous, vous, elles
L'épanouissement des uns et des unes
Devenant l'harmonie de tous et de toutes
Tous pour tous
Toutes pour toutes
Tous pour toutes
Toutes pour tous
De toutes les sexualités
De tous les plaisirs
De toutes les jouissances
Quand tout est consenti
Et le travail forcé, enfin aboli
Sans aucune violence, en conscience réfléchie
Certes
Nous sommes dans l'inéquitable
De l'iniquité consternante et inarrêtable
Ainsi
De la cybercriminalité
Du chantage aux données
Des individus aux sociétés
Et un jour, pour l'apocalypse nucléaire
Codes secrets cassés
Il y suffirait aussi, hackers en complicité
Du religieux, de l'idéologique, du pécuniaire
Du chantage très divers
Avec une nouvelle conscience numérique
Pour éviter une possible fin atomique
Thermonucléaire, chimique, biologique
Tout étant déjà sous pollution généralisée
Et pour tout le vivant, une longévité diminuée
Tout étant sous le capital, faussement ou vraiment logique
Ainsi de tout assassinat politique !
Du fasciste français
René Resciniti de Says
L'un des trois assassins de Alain Curiel et Pierre Goldman
Ce René, aux ordres du SAC de Pierre Debizet
Avec deux policiers en complicité, bien français
Anciens collaborateurs des services secrets français
RG, DST, sentant déjà le Charles Pasqua et le hors-la-loi
Et là, du crime politique plus que banal
Au crime plus massif de l'environnemental
Bien des pays et pas seulement la Russie
En 2022, Google a prélevé
28,765 milliards de litres d'eau
7,595 milliards de gallons, c'est-y pas beau ?
Les 2/3 pour servir à refroidir, les data centers
98 pour cent de l'eau consommée
Hélas, étant de l'eau de grande potabilité
Du chantre, de la misandrie
Comme aussi les féministes droitistes d'aujourd'hui
Mais en réalité
Tout ne peut plus s'organiser que dans le pollué
De la pensée séparée en acmé
France
25,7 millions de lettres et de colis
Chaque jour distribués, de la poste, tout un défi
Mais la poste est une banque, au tout profit
Donc, des forêts et des forêts d'arbres, tout dévasté
Tout est sous terreur de la maternelle à l'armée
Contrôle de la terreur, la terreur contrôlée
Dressage, apprentissage, de toutes les monstruosités
Tout s'y étant incrusté
Tout s'y étant gravé !
Tout aussi, s'étant gangstérisé
Manifestement ou subtilement
Religieusement ou politiquement
Cults, des gangs nigérians
Femmes de leur pays, les prostituant
En Italie, en France, et racket de migrantes et migrants
S'éloignant, de jadis, des fraternités des étudiants
Et en Sicile, Cosa nostra, les employant
Pour toutes les saletés à faire
Crimes, délits, comme des tâches ménagères
Et la mafia de Palerme qui s'y connaît
Disant de ces faux grands dadais
" Ils sont durs ?
Ils sont tarés "
Le monde marchand est une étuve
Toutes les ignominies y sont à l'étude
Tout s'y suit et un américain sur deux
Doit de l'argent à son dentiste, tout baveux
Ou de la dette à l'hôpital, pas douteux
Donc, en moyenne, dix mille dollars par personne
Montant global de 200 milliards de dollars
Avec dans le ça suffit, hélas, du satisfecit
Et avec la sélection par le pire pour le pire
Depuis longtemps, ne sont restés que les pires
Les plus humains, tués, suicidés, s'éliminant
Les moins humains se reproduisant, proliférant
L'on ne dira plus, salut à toi
Mais bonsoir ordure ou bonjour ordure
Avec divers degrés dans l'ordurier
Qui avec l'écoulement des années
Augmentant la probabilité de ne point trop se tromper !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Les technologies de l'isolement

27 Octobre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

ARNm, acide ribonucléique, l'ARN messager
Pendant des décennies, fut délaissé, par l'industrie
Alors que déjà, était connue, sa potentialité
Pour qu'enfin, l'ADN, acide désoxyribonucléique, fut supplanté
Mais la technologie génère de la pollution et de la solitude
Comme dans le métro si insalubre, air vicié d'hébétude
Toutes ces évidences connues depuis longtemps
Pour qui s'informe et est un tout petit peu savant
Mais l'envers enfer du décor
De la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Solitude et séparation, encore, esprits et corps
Plus personne
N'aura plus besoin de personne
Plus personne
N'écoutera plus personne
Surtout
Plus personne
N'aura plus besoin de personne
Et même s'en vantera
La technologie isolant les gens
Plus besoin du physiquement présent
Des machines pour tout
Et sans besoin de bouger de chez soi, tout
Objets divers, livres, bouffe, etc. C'est fou !
Robots sexuels
Le sport sur tapis
Donc, le sport individuel chez soi
L'amour, l'amitié, c'est fini
Robots pour le ménage
Robots pour le grand âge
De plus en plus, chacune et chacun, chez soi
Il y avait les gens robots
Du tout faux, du tout zombi
En fait, moi, toi, eux, elles, lui
Il y a maintenant les machines robots
Les technologies y font leurs rots
Ainsi
Les gens croient tout savoir
Sur tout, en tout, rançon du faux espoir
Plus besoin de se parler
Plus besoin de s'écouter
Salut, à la prochaine, au revoir !
Plus d'amitié, plus d'amour, plus de sexe
Tout cela sera en version ex
Ce qui trop vous ressemblera
De la rivalité, ce sera
Ce qui ne vous ressemblera pas
De l'inimitié, de l'ennemi, ce sera
Nous y sommes, un peu, déjà
N'est-ce pas ?
Alors
Qu'un milliard de personnes
Souffre de la faim sur la planète système Terre
Et que l'on pourrait, de quoi nous taire
En nourrir douze milliards
Cherchez l'erreur
Cherchez la terreur
Et même si les femmes
Devraient faire la grève du ventre
Enfin, ne plus faire de gosses, sujet tabou, diantre
Le capital affiche son absence de saveur
Tout y est faux, du luxe, des prétendues faveurs
Avec tout un terrorisme publicitaire
Qui est propre à toute nation réactionnaire
Recyclage de l'enfumage
L'enfumage du recyclage
Avec toute une industrie derrière
Et il y a vraiment trop à dénoncer
Car, même dans le vrai
Le vrai n'est qu'un moment du faux
Tout s'y dénonce, tout y prend l'eau !
Et puis
Il faut bien faire ses courses
Physiquement ou électroniquement
Et donc, tout participe de cette frousse
Grandes bourses, bien plus, que petites bourses
Avec néanmoins, de paradoxales surprises dans la trousse
Du dressage de toute éducation nationale
Quand elle devrait être libertaire et anationale
Non, à l'école des tablettes et des logiciels
Oui, à l'école de la convivialité, et de la vie réelle
Sinon, c'est de l'école de la police
Sinon, c'est de l'école de l'armée
Tout y est de même organisé
Obéir, obéir, commander, commander
Et jamais, vraiment, ne rien contester
Quand, justement, tout est devenu de l'aberré
Comme une épidémie de myopie
Ce à cinquante pour cent, Singapour, c'est parti
Le capital engendrant toutes les maladies
Milliards de myopes en Asie
Jeunes gens d'Europe, à quarante-sept pour cent, aussi
L'environnement bien plus que le chromosome 15
Gène de la myopie, mais surtout, travail de près, distance de travail
Donc, en fait, 97 pour cent par l'environnement
Donc, en fait, 3 pour cent par la génétique
Il suffirait d'être plus souvent à l'extérieur
Myopie, cette affliction qui reste à l'intérieur
En tous domaines, l'environnement toujours primordial
Les gènes sont hélas, suivistes, du matrimonial
La mémoire génétique en service commandé de la mémoire environnementale
Du codage nerveux en codage social
Du codage social en codage nerveux
Du un plus un en deux
Perpétuant le carnage mondial, comme du banal
Il faudrait l'irrésistible accent sexy
Du Québec, voix semblant tolérante, aussi
Hélas, partout, sévit, l'ahuri, l'abruti
Et sous la jupe du monde, tout un mensonge, l'on applaudit !
 
Patrice Faubert ( 2023) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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La pauvreté aigrie, se fascisant

18 Octobre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Quand il faut
Sauver sa peau
Comme l'on dit, c'est chaud
Quand c'est la guerre civile mondiale
Du mépris général, c'est fatal
La religion
Contre la religion
L'idéologie
Contre l'idéologie
Avec des tas de subdivisions
Des sectes et des fragmentations
Toutes les sortes de pouvoir
Car, maudit est tout pouvoir
L'égalité vraie
Ne veut aucun pouvoir
La liberté vraie
Ne veut aucun pouvoir
La fraternité vraie
Ne veut aucun pouvoir
Par-delà
Les hiérarchies de fonction
Ce qui rend tout, con
Par-delà
Les hiérarchies de pouvoir
De tout un faux savoir
Et donc, de la raison déraison
C'est de la pure contrefaçon
Des guerres, des profits, des prisons
Des armées, des polices, des matons
L'autre y est forcément l'ennemi
Qui vous tue ou vous calomnie !
Et comme nous ne connaissons véritablement personne
La calomnie, de la vengeance, est la bonne
L'on va, en répétant
L'on va, se soulageant
Cracher, chier, sur d'autres gens
Puisqu'on nous l'a dit
Cela apaise tellement la calomnie
Même si, jamais, l'on ne la vérifie
Mais à partir du moment
Où l'on ne pense pas comme nous
Où l'on ne pense pas comme vous
Il faut sortir son venin
Le mépris, la calomnie, cela fait du bien
Et même pas le droit à une  avocate ou à un avocat
Sur nous, sur vous, l'on fera de beaux cacas
Comme sur les vrais américains
C'est-à-dire les indiens
Quatre cents traités furent signés
Aucun, bien sûr, ne fut respecté
Tout gouvernement est une atrocité
Tout semblant accréditer
Le pessimisme de feu E.M Cioran
Du tout voué à l'échec ou à l'illusion
Le pessimisme de feu Jean Rostand
Et du vrai penseur au vrai savant
Où tout serait voué à la ténèbre infinie !
Ouf, nous avons le sommeil
Pour ceux et celles qui en ont le miel
Consolidant
Les apprentissages par fragmentation
Engagement actif et attention
Correction des erreurs et consolidation
La veille conditionnant le sommeil
Quand
Tout le monde utilise tout le monde
Quand
Tout le monde manipule tout le monde
Du négoce, du deal, inévitable ronde
En couple, en famille, des relations
Contre ceci, tu auras cela
Contre cela, tu auras ceci
Tout est chèrement payé
La société marchande ne tolère aucune vraie gratuité
Pour le sexe, pour les loisirs
Pour le divertissement, pour les plaisirs
Il faut passer à la caisse
Comme le travail qui maintient en laisse
Tout est subtilement tarifé, et la terreur, encaisse
Tout devenant du tourisme
De la misère, des ruines, des massacres
Du sportisme rimant avec fascisme
Au tout dopage est son sacre
Du rugby et son encéphalopathie traumatique
Et autres troubles chroniques
De la violence généralisée et exacerbée
Cela devient la normalité
Surtout, pour de nouvelles générations bien crétinisées
Quand en France, et là, l'on peut généraliser
Un enfant sur cinq, et par année
Sort du primaire, et l'ignorant, souvent, devient fascisant
Sans savoir, donc, et c'est sidérant
Lire, écrire, compter
La pauvreté aigrie se fascisant
Et le capital, ainsi, se réactualisant
Même dans son effondrement !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Seule l'anarchie y fait exception

10 Octobre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" L'école est un instrument de reproduction sociale, où les filles et fils de cadres et de profs seront à leurs tours cadres et profs, alors que les filles ou fils d'ouvriers et précaires seront ouvriers et précaires à leurs tours. Surtout que rien ne change dans le meilleur des mondes... "
 
Anarchosyndicalisme ( CNT/AIT )  Septembre/Octobre 2023
 
Et je le sais
Imbitables, en effet
Sont mes textes, pour les niaises et les niais
Ils sont pourtant si clairs
Si évidents dans leurs éclairs
Mais je vais dans le sens contraire
Du conditionnement des gens
La vie n'est plus négociable, c'est patent
Alors
Que dans toute compétition
Il n'y a que de la solitude
Alors
Que dans toute hiérarchie
Il n'y a que de la solitude
Alors
Que dans toute religion
Ii n'y a que de la solitude
Alors
Que dans toute idéologie
Il n'y a que de la solitude
Tout ce qui sépare et est séparé
Vit et meurt dans le séparé
Et d'ailleurs
Personne n'écoute plus personne
C'est du monologue comme atone
Du bruit, beaucoup, mais aphone !
Car
La vraie diversité
Ne serait qu'une seule pensée
Quand
Tout ne ferait plus qu'un
Au tout partage
Au tout sage
Fin de toute séparation comme adage
Comme de toute élection
Forcément, toujours, un putsch électoral
Coup d'Etat soft, version fasciste libéral
C'est de la cagade, c'est du carnaval
Tout y est anhédonie en récipiendaire
Avec toute l'infamie de divers cerbères
D'un niveau d'organisation l'autre
Qui n'en fait pas forcément l'apôtre
Ainsi
4,9 pour cent de la matière ordinaire
Est seulement connue
Ou à peu près connue
Tout le reste dans l'Univers
Sans compter de possibles plurivers
C'est de l'inconnu
Matière noire, énergie noire
95,1 pour cent, une grande foire
L'énergie noire théorisée dès 1998
La matière noire dès les années 1930
Et l'on attend, toujours sur Terre, le grand soir !
Entre 1524 et 1526, en Allemagne
Mille châteaux furent détruits
Une révolte des paysans, plus aboutie
Que nos Gilets jaunes d'aujourd'hui
Et là, il s'agissait d'une révolte
Contre les seigneurs et l'église, du cent mille volts
Tout est devenu soumis
Surtout le prétendu insoumis
Aux diverses bourgeoisies
Tous les syndicats
Toutes les organisations
Tous les partis
Toutes les représentations
Seule l'anarchie peut-y faire exception
 
" Avec environ 60 millions de Barbie vendues chaque année, le Yale Environnement Review estime que cette production génère des émissions équivalentes à la combustion de près de 1,5 milliard de litres d'essence. Et peut-être devrions-nous regarder au-delà de Barbieland vers la décharge de Barbie : combien de millions de poupées aux membres et aux cheveux manquants ont fini flottants dans les Océans de plastique ? Mais une Barbie dont nous pouvons être sûrs qu'elle ne sera jamais produite est la Barbie de l'usine du Guangdong en bleu de travail... "
 
Anarchosyndicalisme ( CNT/AIT ) Septembre/Octobre 2023
 
Et encore, le postmodernisme y tentant une infiltration
Cassant la gueule à toute vraie révolution
Comme les scientifiques nazis
Recrutés par la France, les USA, d'autres pays
Qui deviendront les fers de lance
Des technologies d'aujourd'hui, l'on y danse sans contredanse
Ce fut comme une infestation de punaises de lit
Entre 2017 et 2022, en France, autre tragédie
Vampires du sang humain
En première ou en seconde main
Le monde fut fasciste ou fut nazi
Bien avant l'apparition de ces mots
Bien avant, du nazisme, son bourreau légal
3165 victimes, ( 1893 - 1972 ) Johann Reichhart
Ce fut chez lui, comme un art
Parmi les records de tous les tueurs en série !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Partout, toujours, la guerre mondiale

3 Octobre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Le monde est devenu un grabat
L'on y dort mal
Du mauvais lit, qui s'étale
En tout, il n'y a plus que ce bal
Le travail de plus en plus obligatoire
Ou la misère totale comme un seul dérogatoire
Pour pouvoir, dormir, manger, boire
Souvent mal, comme l'aumône du RSA
De 607,75  euros par mois, que faire avec ça ?
Et il faut, maintenant, pour obtenir cela
Travailler quinze heures par semaine
Pour que l'exploitation à l'ancienne
Et à tire-larigot, qu'elle revienne
Pourtant la technologisation
Panneaux photovoltaïques
Panneaux pluvio-voltaïques
Mais pour la misère
Mais pour la galère
Au jour le jour, c'est de la SF, du chimérique
D'autres temps
Se confondant
D'autres temps
Se cooptant
Les classes riches ou très riches
Vivant dans un autre monde
Et même si l'effondrement les gronde
Que les classes pauvres ou très pauvres
Bien mieux protégées, quand tout inonde
Et s'en foutre plein la faconde
Avant de crever, certes, dans une fausse abonde !
Et quand il fallait
1,4 kg de pommes pour faire un litre de cidre
Et quand il en faut
800 grammes en version industrielle
Et le corps, comme le reste, en fera sa libelle
Quand souvent, de cette tutelle
L'on devine qui mange quoi
L'on devine qui boit quoi
Tout s'inscrivant  comme l'histoire
D'un corps social, d'une classe sociale, de son perchoir
Quand tout s'utilise
Quand tout se manipule
Quand tout se stipule
Et nous nous utilisons
Et nous nous manipulons
Et nous nous stipulons
Selon nos besoins, et nos convictions
Des individus
Des groupes
Des corporations
Des familles
Des couples
Surtout, selon d'inconscientes motivations
Surtout, selon d'inconscientes négociations
Tu peux aller dans le jardin
Si tu caresses mes jambes
Si tu tonds le gazon ou autre machin
Tu pourras bronzer au soleil câlin
Toujours, un ceci contre un cela
Et peu importe le ceci ou le cela
Tous les jours, du négoce, de la transaction
Tu pourras sexer
Si tu passes l'aspirateur
Ou si tu es très bricoleur
Ou ceci ou cela, ce non-dit de toutes les heures
Dans un couple ou autre, tout doit se négocier !
Et si tu aimes voyager
Et si tu es augmenté
Alors, peut-être un peu de sexualité
Dans le monde marchand
Tout est et ne peut qu'être DONNANT-DONNANT
Il ne peut y avoir aucune vraie gratuité
Tout y est du troqué, de l'échangé, du dealé !
De toute une dynamique de la pauvreté
Quand une heure de vol d'un F-16
Cela correspond à 22.000 dollars
Quand une heure de vol d'un F-35
Cela correspond à 50.000 dollars
Toute une palanquée maousse
Le crachat du capital qui tousse
De toutes les pauvres frimousses
Il ne peut y avoir aucune magnanimité
De la cyclothymie dépressive étatisée
Quand tout est coupable, présumé
Ainsi, en France, 2023, 20.000 innocents présumés
Nonobstant en détention provisoire
Avec la théorie judiciaire donc en illégalité
Et le RSA ( 607,75 euros ) en France, pour l'avoir, il faudra travailler
Et donc RAS, en fait, en ce temps d'exploitation acceptée
De tout un enfer quand tout est guerre
Et l'enfer reste toujours l'enfer
Comme le paradis resterait toujours le paradis
Ou alors, cela serait encore l'enfer
Comme au Viêt-Nam et pas sur la Lune
Vingt millions de cratères
Du largage des bombes USA/SA/SS, une fachosphère
Et autres produits toxiques
Ravitaillement en armes, aussi, maléfique
Du colonialisme français
Ayant assimilé, des populations, au forfait
Et chaque personne en France, et par jour, pour l'eau potable
Consommant en moyenne, 149 litres d'eau, cercle vicieux infernal !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique des îlots de résistance

1 Octobre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Longo Maï ( Que cela dure )
Depuis 1973, du communautaire
Autogéré, d'inspiration libertaire
Une coopérative associative rurale, antiautoritaire
Bouffée d'oxygène dans l'effondrement planétaire
L'envie d'y partir tout de suite
Du fantasme, du mythe
Des derniers lieux de vie, avant la noyade généralisée
Et puis, étant retraité
Du boycott du travail salarié et du chômé rémunéré
Je ne pourrais encore qu'y être l'invité !
De toutes façons
Le monde entier devra le devenir
Ou inévitablement périr
Et puis, pas évident de se faire accepter
Des gens, de leurs histoires, de leurs luttes accumulées
Surtout, avec un apprentissage d'individualisme forcené
Comme quoi
Il y a encore des îlots
Où l'on essaye de vivre moins idiots
Mais la presse voix de son maître
En parle peu ou pas, peur de démettre
Ainsi de Radio Libertaire, si oubliée
Radio anarchiste, sans dieu, sans maître, sans publicité
De la Fédération Anarchiste ( FA ), par le postmodernisme, agressée
Et du coup, seul importe, le grand média
Ne parlant que des compétitions, catastrophes, guerres, et voilà !
Comme si rien d'autre n'existait
Que les grands médias et leurs effets
Une boucle se refermant sur elle-même
Et dans laquelle, tout s'affronte, rien vraiment, ne s'aime
Afin de bien tout scotomiser
Des îlots où règne encore la solidarité
Il faudrait
Démissionner de toutes les autorités
Qui sont elles-mêmes de la fausseté
Ainsi
Vingt pour cent des livres
Et qui quelque part sont une autorité
Ne sont pas écrits par leurs autrices ou leurs auteurs
Et il y en a certainement beaucoup plus au compteur
Sans compter
Tout son connu, tout son inconnu
Et que l'on ne fait que répéter
Les autres, pas pour rien, ont travaillé
Consciemment ou inconsciemment
Le monde du passé et le monde du présent
Ce qui y a été fait, ce qui s'y fait
Et le fera s'y inspirant et nous écrivant
Finalement, c'est donc du cent pour cent !
Réfléchir est comme un enterrement
Comme pour la mode vitale du décarbonnement
Et qui n'y a pas son abonnement ?!
Un passager en avion
285 grammes de CO2 par kilomètre
Un passager en voiture
158 grammes de CO2 par kilomètre
Un passager en train
14 grammes de CO2 par kilomètre
Et bientôt
88000 carcasses de porcs
Pour un vol aérien Paris-New York
De la propulsion à la graisse animale
Biodiesel animal
Déjà le cas dans la fatalité du capital
Des voitures roulant aux déchets de poulets
De cochons, de lapins, avec peu du mais
C'est de l'ester méthylique d'huile animale
En vente dans les stations-services
De l'Intermarché des pompes à essence, coup de vice
C'était bien la peine
1845, SPA, en France, coupe déjà pleine
Le capital est un démantèlement permanent
Dans le pire
Du soi-disant moins pire
Tout y est présent et fréquent
Et chaque année
Huit-cents bateaux sont démantelés
Inde, Pakistan, en exemple, mortels accidentés
Toute une pollution dans la mer, rejetée
Et même si l'effet de serre
Quarante pour cent , l'architecture, le bâtiment
De toute une morphométrie géométrique statistique qui enserre !
Quand la partie devient le tout
Quand le tout devient la partie
En lieu, du très loin, parti
La partie n'est pas le tout
Le tout n'est pas la partie
Déjà, il y a environ 300.000 ANS
L'outil changea, du silex en gisement
Débitage, silex emmanché, du camp en déplacement
Thermoluminescence  du temps réinitialisé
Fossiles hominidés au silex brûlé
Du gestatif et de l'opportunité
Des chasseurs-cueilleurs à la modernité
Premiers bijoux, environ 130.000 ans
Et maintenant, Paris et ses beaux quartiers
Tout se dévoyant dans la grande cherté
Quand le visage changeait mais peu le crâne
Sauf à partir de 350.000 ans, environ
Toute une coalescence des modifications
Nous en sommes une possible continuation
Avec de plus en plus de maladies physiques
Avec de plus en plus de maladies psychiques
Le monde devenant de plus en plus invivable
Le monde devenant- de plus en plus insupportable
Tout rejaillissant sur tout
Tout contaminant tout !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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L'inertie captatrice involutive

28 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout le monde
Se fichera sur la gueule
Ce sont toutes les armes
Qui rigolent
Tout, petit à petit, se libanisant
Et rien, n'est plus complexe, qu'au Liban
Tous contre tous
Toutes contre toutes
C'est de la déroute
C'est du fort, c'est du Beyrouth
Les gens ne se supportent plus
De la banqueroute en toujours plus
La fragmentation fragmentée qui nous suce
Car
Qui est qui ?
Car
Qui est quoi ?
Comme je l'écrivais déjà
Au début des années 70, mais là, c'était caca
Tout autre que soi est devenu l'ennemi
Et même
Par-delà les religions et les idéologies
Faites-moi fusiller tout cela
En joue, feu, et voilà
Tout cela compensé par une sournoise hypocrisie
Du faux ouf dans du vrai plouf
Quand depuis des milliers d'années
Nous apprenons à nous haïr, à nous maudire, à nous tuer
Du c'est moi que voilà, c'est moi la force, il faut dominer !
Le monde marchand est une tirelire
Dans la fente, des sous, et tu tires
Sinon, juste le droit à la mire
L'on ne devrait pas dire argent, mais viol
Tu as de l'argent ? Tu as du viol ?
Ce viol de tous les viols
Ouvrant toutes les serrures
Forçant toutes les ouvertures
Du sexe, des propriétés, s'appropriant toute idée
Argent, viol, de tous les principes
Argent, viol, de toutes les éthiques
Tout est viol de A à Z
Le viol, lui-même, violé de son violé
Tout le monde se déteste
Tout le monde s'empeste
Avec ou sans les mêmes idées
Avec ou sans les mêmes pensées
Avec ou sans les mêmes religions
Avec ou sans les mêmes idéologies
Mais ce que je voudrais vraiment écrire
Je l'oublie tout le temps
Et finalement, de me lire
Tout un ratage, tout un faux boucan
Nonobstant
Le vrai parfum du monde, c'est la haine
Le vrai parfum du monde, c'est la peine
La plupart des regards comme des mitraillettes
De nous, ne restant que des miettes
Ou de l'indifférence tranquille et abjecte
Quand trop de monde ainsi se traite
Dégainant en premier à tue-tête !
Du négatif pour accoucher du positif
Et donc à couper pas mal de mauvais tifs
De ce couple Busway nantais, des regards violents
Sans conteste, lapidation directe avec le méchant
Mais toute marge
De toute ville, pourrait le dire
Sauf y avoir un certificat de conformité
Ou de notoriété ou de célébrité
Et nous revivons ce qui a déjà été vécu
Et nous relisons ce qui a déjà été lu
Et nous redisons ce qui a déjà été dit
Et nous réécrivons ce qui a déjà été écrit
Et nous refaisons ce qui a déjà été fait
Et nous repensons ce qui a déjà été pensé
Et tout ce que vous voudrez
Déjà, et avec ou sans mondes parallèles
Univers, multivers, pour voler, il faut toujours des ailes
Et les guerres, les guerres, les guerres
Se substituant, du sexe, du sexe, du sexe
Se substituant aux baisers et aux caresses
Se substituant à toutes les tendresses
Et pas la barbarie de la pornographie
Qui n'est que la pornographie de la barbarie
Et donc, la guerre, la guerre, la guerre
Encore et encore, la guerre, la guerre, la guerre
Et pas des caresses, des caresses, des caresses
Et pas, s'écouter, s'écouter, s'écouter
Et pas, se raconter, se raconter, se raconter
Pour pouvoir, enfin, se rencontrer, se rencontrer, se rencontrer
Voilà bien, sans dans l'espace, se propulser
Voilà bien, que contre toutes les détresses
Chacun, chacune, pourrait y trouver son ivresse
Bises, bisous, baisers, avec ou sans les fesses
Et puis, pas une raison de fermer sa gueule
Du tous contre tous, du toutes contre toutes, tout s'y dégueule
Merde, encore raté, je n'arrive pas à m'exprimer
De toute une pourriture d'intellectualité
De ce qui sait si bien nous baratiner
De toutes les obédiences et pour tout assassiner
De l'effondrement, du massacre, de la souffrance
Du tout empiré, minute après minute, c'est même plus chut
Dans une implacabilité d'évidence !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Kleptocrates du charlatanisme

23 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Le technosolutionnisme
Américain, fut à une époque
De ce qui put favoriser, son expansionnisme
De même
Et qui peut suivre, aime
Une paix séparée
Entre l'Angleterre et l'Allemagne d'Hitler
Pourtant si peu moins réactionnaire
Mais, là, surtout contre les noirs
En plus hypocrite, et donc en moins antisémite
Churchill l'impérialiste, fourbe, rusé, en imposa le rythme
Toujours en retour du passé
Du capital expansionniste
Au capital adoubé technosolutionniste
De la tyrannie des intérêts privés
Il s'agit de préserver la grande propriété
Certes, pas celle du toit sur la tête
Car, que payer un loyer
Argent perdu, cela n'est pas si bête
Mais les grandes et grands milliardaires ou millionnaires
Et qui font TOUT
De ce qui se fait et de ce qui se défait
Tout ou presque étant à leur image
Avec de solides prisons, de solides cages
Et c'est la folie pour qui n'est pas sage !
Tout s'y organisant comme à l'armée
Il y faut marcher au pas cadencé
Foules hypnotisées dans leurs rangs serrés
Du bonnet blanc et blanc bonnet, en risible diversité
La misère, aussi, pouvant se hiérarchiser
Ceux et celles
Qui n'ont et n'auront le droit à rien
Juste de regarder, mais pas celui, de toucher
Faudrait quand même pas exagérer
Ce sont les notables, mandarins, riches, qui peuvent toucher
Du cul des femmes
Se la jouer, tout feu, tout flamme
Passer à la caisse
Des nichons et des fesses
Prostitution légale du mariage
Prostitution illégale du faux ménage
La cherté y variant selon les ritualités
Mais
De vertu, de l'arrangé, sachant se parer
Dans les transactions et au tout, dealé, négocié
Je vaux tant
Tu vaux tant
Il vaut tant
Ils ou elles valent tant
Et donc, ce à quoi, l'on peut ou pourra espérer
Là où tout ne peut que s'y endetter
Comme la dette française en 2023, de quoi s'enrouer
Trois mille milliards d'euros
112 pour cent de la richesse nationale !
Et pesant sur chaque personne
Comme des tonnes et des tonnes
D'un vol Paris-Pékin, 1,2 tonne de CO2, par personne
Avec toute une presse réacosphérisée
Presse écrite ou parlée,  tout y est charlatanisé et falsifié
De tout un empire depuis longtemps kleptomanisé
Tous les fonds des tiroirs capitalisés
Ont été et sont bien raclés, comme le font, les chalutiers
Et ce à 26 pour cent pour le fond des mers
Et la contestation vraie n'y a plus sa place
Ou alors, opération du crâne, le pic à glace
Et de force ou de gré
Tout y devenant comme de l'affidé
Tant que l'on y a son petit truc
Tant que l'on y a son petit machin
La misère y fait sa maligne et son malin
Plus bas que soi, et l'on s'y fait, prince ou duc
Tout y devenant aussi de l'idiot socratique
Mais là, en inversion du sens critique
Faisant le tour de la Terre, poussières d'heures
Pas comme le loup qui en vingt-quatre heures
Peut ou pourrait parcourir deux-cent kilomètres
Comme ma pomme, 1995, jadis, du grand marcheur
Mais c'est vraiment un cinéma permanent
Mais c'est nous qui sommes sur l'écran
Les films d'horreur sont maintenant pour les enfants
Par rapport à ce qui nous attend, vraiment !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Sans zoopharmacognosie du récurrent

13 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et toujours
Et depuis toujours
Très peu ou très beaucoup
Toujours et à la fois
Donc, les deux à la fois
Pour ceci ou pour cela
En ceci ou pour cela
Le savant ou l'ignorant de quelqu'une ou de quelqu'un
Et de quelqu'une ou de quelqu'un
Le savant ou l'ignorant
La savante ou l'ignorante
Ainsi
Tous les traités
Tous les accords
Sont du transitoire
Sont du suppositoire
Fausses transactions
Fausses obligations
Surtout
Il faut que les affaires continuent
Tout y est mensonger, tout y est faux cul
Il s'agit, en fait, du partage des territoires
Les guerres en font du provisoire
Tel pays pouvant devenir un autre pays
Telle région pouvant devenir une autre région
Quand tout conflit international
Fabrique du territoire, et du national
Voilà, la finalité de toute guerre
Avec sa propre histoire unique
Avec sa propre filiation inique
Tout y est tragique et sans comique
C'est là aussi
Le domaine de la dopamine impulsive
Avec peu du contrôle noradrénaline, censure affective
Tout y est turbidité, salmigondis
Sybarite, clapotis
Tout pouvant très bien s'y cosmopolitiser
Tant que la polysémie peut s'y agencer
Elle peut même s'y fasciser
Quand toute outrance opposée
Peut pour un temps, y vociférer
Quand tout purisme, un temps, peut s'en arranger !
Toute une recherche de la dominance
Infernale cadence, faux parfum de résilience
De tout un délit de fragrance
C'est foutu, depuis longtemps, salut la compagnie
Et dans notre infini bien fini
Foutez-vous en jusque-là
Dans un tout capitalisé et bien pourri
Où toute vulve à son prix
Et puis, et puis, basta
De toute une sanie
Se rimant en idyllique métonymie
Quand tout ce qui peut exister
Existe, fiction de la réalité
Réalité de toute fiction
Ou même l'excellent acteur Alain Delon
Inutile de dire, là, qu'il s'agit d'une fiction
Dans le film de 1961 de René Clément
" Quelle joie de vivre " étonnant
Gravit une église de l'Italie
Pour y planter le drapeau noir de l'anarchie
Aussi, et même dans cette hallucination
Précisant qu'il n'est pas anarchiste, sans confusion
Finalement
Il faut être heureux et fier
Il faut être heureuse et fière
De n'avoir point du disciple, papier ou fer
Et surtout pas son propre disciple
Et surtout pas sa propre disciple
Il n'y faut porter aucune culotte ou aucun slip
Car nous errons comme des squelettes ambulants
Et pour couvrir cela, le port de vêtements
Tout intérêt devenant une conviction
Hélas, toute conviction n'est que de l'intérêt !
Rabâcher, toujours rabâcher
Ce qui est un peu, beaucoup, ma spécialité
Pourtant, tout ne fait que reculer
Début des années 1870, New York
Des millions de grévistes
L'Histoire en est souvent récidiviste
Pour obtenir la journée des huit heures
Et il fallut encore lutter pour la faire appliquer
Mais tout se perd dans la pensée séparée
Quand le racisme et le sexisme
Dans les syndicats, aux armées, aux maisons
Semant la désunion et la fascisante réaction
Tout a déjà été
Tout, en tout, pour tout
Tout est déjà là
De petites avancées pour mieux régresser
D'un pays l'autre
D'une époque l'autre
Ce ne sont pas les gens
Qui n'aiment pas la vie
C'est la vie
Qui n'aime pas les gens
De son organisation de pure folie
Du Droopy, 1948, de ( 1908 - 1980 ) Tex Avery
Insemable, partout ubiquitaire, la fuite en dépit
Tout, plus ou moins, participant au poison
Tout organisant le poison, du capital, fric flic
Crépuscule, aurore, tout asphyxique
Encore 200 à 300 mille chimpanzés en Afrique
Mais avec 60 pour cent de pesticides présents
Ce, dans l'organisme, des chimpanzés d'Ouganda, terrifiant
Oralité d'épitaphe en apostasie
De la monoculture annihilant leur habitat
Et à l'effondrement tout un consensus
Toujours a été subsumé dans le plus
Toute prostitution, sans opinion, suce, suce
Mais là, sans zoopharmacognosie, du récurrent
Tout l'apprentissage aberré en inculcation
Plus violent que le pire des poisons
La mort par cyanure, 4 à 8 minutes, de suffocation !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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