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Rétroaction de rétention bouclée

28 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Peut-être
Sommes-nous fils et filles de trous noirs
Peut-être
Sont-ce nos pères !?
Peut-être
Sommes-nous filles et fils de supernovae
Peut-être
Sont-ce nos mères !?
De la matière noire
Donc de la matière invisible
Du passe-muraille
Du qui se taille
De la glu gravitationnelle
Particules fantômes obsessionnelles
Du spéculatif en entité de pensée
De la pensée entité
Avec ainsi de gigantesques collisionneurs
En espérant ne pas rire de colossaux illusionneurs
Car
Un million de milliards de collisions
Pour l'hypothétique particule de matière noire
Certes
Pour un peu mieux y voir
Avec le risque de milliards d'euros en déception
Mais de toutes façons
Chaque nouvelle connaissance
S'accordant avec une nouvelle ignorance
C'est du sisyphéen
C'est du sans fin
Et du particulaire au cosmologique
Toute une réalité du théorique
Toute une théorique de la réalité
Et qui va capituler
La théorie ou la réalité !?
Avec aussi, la réalité
De tout le fric dépensé
Et qui, malgré tout, aurait pu être utilisé
Pour la construction d'hôpitaux
Pour la construction de centres d'hébergement
Pour des migrantes et des migrants
Du refuge politique le plus souvent
Pour les accueillir décemment et correctement
Avec des centres de distribution de nourriture
Pour les pauvres et les sans aucun domicile
Sans aucune ségrégation imbécile
Mais quand quelques milliardaires
Se partagent la planète Terre
Tout cela semble effectivement difficile
Et le règne du verticalisme plus facile
Dommage
Mais l'espèce humaine est conditionnée au carnage
Ailleurs ou en France
Il aurait pu être construit
Des logements pour indigentes et indigents
Qui seraient totalement gratuits
Pour cela
De l'ici et du maintenant
Sans tout un usinage de l'obsolescent
Produire pour produire
Chercher pour chercher
Et tout, très vite, est à jeter
Alors que tout se meurt
Alors que tout se pleure
Devant le faux choquant qui choque
Quand le vrai choquant, lui, aucunement, ne choque
Avec toute une normalité de l'horreur
Avec toute une normalité de la terreur
Dans ce mur, même à vitesse limitée, nous fonçons à toute heure !
Tout un surplace
D'une même face qui nous masse
Et à quoi bon le tout technoindustrialisé
Alors que l'air que nous respirons est empoisonné
Alors que tant de gens se sont suicidés
Alors que tant de gens vont se suicider
Le métier de vivre étant devenu comme impossible
Il faut s'accrocher aux branches de l'impassible
Et la planète Terre
Envisageant de la quitter, quelques milliardaires
Une poubelle du capital
Il n'y aurait plus rien à y faire
Tout étant trop sale
" Vae victis "
Du chef gaulois Brennos dit Brennus
En rapport à une Rome, temporairement vaincue
Mais, tous lieux, tous temps, toutes époques
De la future défroque, aussi, pour les vainqueurs
Car, certes, malheur aux vaincus
Car aussi, malheur aux vainqueurs
De tout butin quel qu'il soit qui fond comme du beurre
Quand
Il n'y a plus que des ruines relationnelles
De la surveillance algorithmique
De l'empreinte numérique
De diverses mémoires artificielles
Normalité de la conformité
Conformité de la normalité
Que plus personne n'osera contester
Ou alors, faussement et subtilement, en questionné
Avec déjà tout un maintien de l'ordre prédictif
Alors que l'entretien le faux conspiratif !
Les fondations sont là
Pour un monde totalement totalitaire
Et il l'est déjà
Au tout surveillant
Au tout contrôlant
Toute rencontre, autour, s'y organisant
Et au tout, surtout, l'entretenant
Ainsi
Facebook
Et qui sent moins bon qu'un bouc
Du flux numérique
Deux milliards de personnes par jour
Et encore de chaque internaute par jour
500 mégabits en données numériques
D'une course mortifère et frénétique
Et si c'est cela la pensée multiple
Elle ne saurait être pire, la pensée unique
Comme une boucle de rétroaction
Boucle de rétroaction en rétention !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Anamorphose en dissonance cognitive

17 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Toute ville
Est une histoire politique
Et ce à l'image
Et ce au ramage du capital
De cerveaux humains en situation sociale
De cerveaux humains en situation du capital
De toute construction et de tout bien
Ce sont comme des projections
D'une culture de la tradition et de la convention
C'est ce qu'il y a dans nos têtes
De toute victoire comme de toute défaite
Le plus souvent
Il s'agit d'un règlement
Contre toute spontanéité
Contre tout possible déréglé
De la facilité contrôlée
Du contrôlé facilité
Ainsi
De feu ( 1878 - 1940 ) Jean Chiappe
Sympathisant droitiste au tout attrape
Qui fut préfet de police
Avec une certaine extrême droite, en diplomatique complicité
Il introduisit
Des passages cloutés à Paris
Des feux de circulation à Paris
Et des épouses de policiers, il fit
Beaucoup de concierges, en logique qui suit
Mais pour les sens interdits
Non, cela ne fut pas lui
Car cela fut instauré par les nazis !
L'on ne peut s'enorgueillir
De rien, si l'on sait, sauf à déguerpir
Tout ou presque s'étant construit
Tout ou presque se construit
Sur de la sueur, des larmes et du sang
Le vent de l'Histoire, au tout l'emportant
Du fait brut revisité et comme seul important
De tout édifice, de toute création, ou de toute construction
Ainsi plus encore que de la falsification
L'Histoire est une histoire de l'interprétation
De l'interprétation de l'Histoire
S'y voyant comme dans un miroir
Toute une anamorphose
Qui ne sait pas tenir sa pose
Et plus que jamais, ce qui importe maintenant
Cela n'est pas ce qui est écrit
Ou a été écrit
Mais ce que l'on dit
Mais ce qui a été dit
Les écrits s'envolent, ainsi
Et ils ne restent que les dits
Dans un temps de présent permanent
C'est comme une erreur de clic
Et le texte que vous écrivez est effacé, c'est du numérique
Il faut ainsi recommencer, du sisyphéen même pas romantique
Rien ne vaut le papier imprimé
Tout le reste, à l'échec, à l'oubli, c'est voué !
D'une bétonnisation des idées
D'une monumentalisation des idées
Et elles ne sont, que du passé, idées revisitées
Tout avenir ainsi en galerie des Glaces
Du plus pauvre au plus riche, visibles ou invisibles traces
Le temps historique comme figé
Un pas en avant
Trois pas en arrière
La réaction sait y faire
Jadis, elle se disait contre-révolutionnaire
Contre la République et contre les prolétaires
Mais s'adaptant, se rénovant, pour ne pas se défaire
Toute une artificialisation, ainsi, de la chasse
La chasse de toute une artificialisation
De l'exploitation et de l'élevage
Faisans, perdrix et autres, des loisirs de la mort
La mort des vrais loisirs
Avec donc des tirs assassins sur du gibier d'élevage
Toute une vie comme en cage
Puis à peine encore volatiles, tués !
Même d'anciens chasseurs pourraient s'en offusquer
Plus aucun savoir-faire de moindre dignité
De même, pour de la paille au béton
Mentalisation de bétonnisation
Il s'est perdu
Le savoir-faire de l'ancienne génération
Après 1914 - 1918, le béton remplaça la paille
Toute une généralisation
Toute une pollution
De la nouvelle technologisation, de la nouvelle industrialisation
Il en va donc aussi
Pour l'élevage dit alimentaire
Ou pour des distractions cynégétiques réactionnaires
Et donc maille après maille
Tout est du même tonneau
Et donc vaille que vaille
De l'industrie de l'emballage
Tout l'emballage propre à toute industrie
Avec tous les polluants encrés
Qui dans la bouffe vont s'intégrer
Du catastrophisme au tout flingué
( bis ) Tout est du même tonneau
Et donc maille après maille
Et donc vaille que vaille
Comme la façon dont l'on traite
Les personnes âgées, comme si vieillir était une défaite
Et beaucoup d'enfants sont aussi maltraités
L'humanité inhumanité n'est pas Antée
Elle ne maîtrise pas la Terre, elle en est hantée
La vérité de la réalité
La réalité de la vérité
La vérité n'est plus ce qui est
La vérité n'a jamais été ce qui est
Mais ce que l'on veut croire
Mais ce que l'on peut croire
Et nous vidons nos mémoires
De tous les désespoirs
En stratégie d'un nouvel espoir
Et l'inconscience peut permettre l'enfantement
Et l'ignorance continue de faire des enfants
Alors que le métier de vivre se fait plus indécent !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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De la matrilinéarité matriarcalisée

8 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Le patriarcat
C'est l'horreur
Le patriarcat
C'est la terreur
Le patriarcat
C'est la guerre
Le patriarcat
C'est la propriété
Tout cela s'accordant très bien
Tout cela rimant très bien
Depuis la fin de la matrilinéarité
Qui aurait, très jadis, règne de milliers d'années
Puis, hélas
Vint la transmission
Non plus de la mère à la fille
Mais du père au fils
Cela n'est enseigné pratiquement nulle part
Ou alors toujours trop tard
Donc
Tant que l'on ne connaissait que la mère
Aucune arme, aucune propriété privée, aucune guerre
Mais voilà bien qui dérange
Tous les manuels scolaires
Et même certains savants réactionnaires
Aussi, toutes les traces de matrilinéarité
Furent, et d'année en année, au tout gommé
Cependant
Quelques traces peuvent encore subsister
Mais que des hommes commencent de contester
D'autres aussi, pouvant très bien s'en accommoder
Ainsi des Khasis en Inde
Ainsi des Moso en Chine
Ainsi des Makua du Mozambique
Ainsi des Minangkabaus d'Indonésie !
Là, au moins, le vagin a un juste prix
Et tout pénis est au défi
Tout un holding à cor et à cri
Mais déjà le matriarcat
Est une déviation ancienne de la matrilinéarité
Aucune guerre, aucune arme, aucune rivalité
Et ni matriarcat
Et ni patriarcat
Et donc ni vaginocrates
Et donc ni phallocrates
La transmission du séparé
Le séparé de la transmission
Rarement, du vrai partage, de l'égalité, de la solidarité
Comme le lichen, une symbiose
Algues et champignons
Des dizaines d'espèces en communication
De même
Il faudrait une osmose
Entre femmes et hommes
Surtout avec l'unicité qui cause
Comme aussi de chaque flocon de neige
Tous semblables, tous différents
Analogie avec le genre humain, c'est marrant
Une symétrie à six points
Feu ( 1596 - 1650 ) René Descartes y voyait huit points
Vapeur d'eau, de la poussière
Du fractal de la mathématique au moléculaire
Tout un landerneau qui besogne et qui erre !
Tout cela moins nocif
Que l'amiante où rien n'est inoffensif
Avec le cancer de la plèvre en suite
Tant de divers matériaux amiantés en fuite
En France
Des personnes en meurent chaque jour
Et le mésothélium qui court
Avec là encore tout un lobbying industriel
Quand le désamiantage se fait la belle
Et pour toute grave maladie
En France
Pour la réanimation, c'est sept lits
Pour cent mille personnes
Toute une logistique qui déconne
Malgré du cénacle et de l'afféterie
Propre au capital et à ses habits
Et donc, c'est dix lits
Pour cent mille personnes
En Espagne et en Angleterre
Mais avec l'Allemagne, c'est 24 lits
Cela est toujours trop peu
Cela est toujours très peu
Mais seule une autre société pourrait faire mieux
Plus de fusées
Mais des hôpitaux et du personnel pour bien soigner
Car pour un anesthésiste réanimateur
Onze ans de formation, les pendules à l'heure
Toute marchandise a son sapiteur
Vendre, louer, acheter, échanger, comme seules valeurs
Ainsi, en France, ce sont les filets de pêcheurs
Qui emprisonnent et noient les dauphins
Accidents ou pas, c'est très vilain
Et pour 80 pour cent de ces cétacés
Cela suffit, c'est assez
De mourir dans la terreur angoissée, très forte probabilité
Toute une production
D'agnotologie en circulation
Le savoir de tout pouvoir, de la rétention, de l'étatisation !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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L'industrialisation d'acceptation obligation

3 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

NPS
Nouveaux produits de synthèse
Rien de naturel
Au tout synthétique et artificiel
C'est l'ère du chimique
Pire que des fredaines
Car ça, c'est de la mauvaise peine
Des euphorisants légaux
Aux nombreux dommages collatéraux
MDMA, crack, fée verte, laudanum
Cela n'est déjà plus le summum
Des cannabinoïdes de synthèse
Sels de bain, et autres nouvelles thèses
Avec des noms marrants, des emballages décorés
Mais avec une santé qui peut s'en détériorer
Spice et autres substances chimiques
En vente sur artilect internet, et en quelques clics
Il y eut bien, jadis, comme un secret militaire
La pervitine pour gagner la guerre
Méthamphétamine en fausse vitamine
La drogue chimique comme mauvaise mère
Même avec un agenda de la drogue
Que jamais vraiment le corps n'élimine
La seule drogue non toxique
De toute la pharmacopée, et donc des pharmacies
Le fameux GAMMA-OH, fut retiré
Mais les diverses saloperies chimiques, elles, sont autorisées
GHB, vrai euphorisant, qui fut donc interdit
Avec une ampoule à casser dans un verre de jus de fruit
Il est vrai qu'il fut trouvé par feu Henri Laborit !
Et certes
Tout est plus ou moins de la pharmacie
Tout est de la drogue ainsi
Cela peut ne pas nuire à la santé
Cela peut nuire à la santé
De l'artificiel ou du naturel, l'on ne peut comparer
Avec divers effets différenciés
Les personnes doivent devenir des toxicologues pour se doser
Et les tranquillisants ?
Et les anxiolytiques ?
Et les hypnotiques ?
Et les somnifères ?
Et les antidépresseurs ?
Et les ceci
Et les cela
C'est de la drogue aussi
Avec un permis ou sans aucun permis
Du légal
De l'illégal
Selon les époques et les pays
Toute une industrialisation
De toute une obligation d'acceptation
Toute une obligation d'acceptation
De toute une industrialisation
Un consensus fabriqué de soumission
Et forcément
Il vaut mieux de la drogue naturelle
Que de la drogue artificielle !
Le GAMMA-OH, c'était chouette
Il fut proscrit, c'est trop bête
Pendant vingt ans, j'en ai pris
D'une gracieuse ordonnance perpétuelle de feu Laborit
Cela produisait une douce et saine euphorie
Mais cette seule drogue non toxique
Fut calomniée, détournée, violée
De la rage, elle fut accusée
Pour ainsi pouvoir s'en débarrasser !
Par contre, le E171, dioxyde de titane
Put longtemps sévir sur le marché, le capital est un âne
Alors que l'amidon du riz
Aurait pu faire l'affaire, c'est ainsi
Et tout pourrait être comme cela
En apprenant autrement et ce depuis la naissance
Pour de tous les comportements, une renaissance
Car présentement
Du faux bio, du un peu plus bio
Ou du pas bio
De la bouffe dégueulasse
Des encres sur les paquets qui sont cancérogènes
Des équipementiers, des ingrédientistes, pour nous berner
Au tout standardisé, au tout ultra-transformé
Le fric est toujours sans aucune gêne
Avec l'environnement toujours plus fortiche que les gènes
Des auxiliaires technologiques
Carnivores, végans, végétarisme, un marché frénétique
Ou alors, du VRAC, ou alors en VRAC
Plus aucun emballage
Pour un autre plumage
Pour le système des lobbys des marchés
Les marchés du système des lobbys
Tout un patraque
Ou un jour, encore un nouveau mac ?
Les lobbys de l'équipement
Les lobbys de l'alimentation
Les lobbys de la construction
Les lobbys des médias
Les lobbys des loisirs
Les lobbys du divertissement
Les lobbys du travail salarié ou non salarié
Les lobbys sachant s'adapter subtilement !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du plasticène

1 Mars 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Pétain, reviens
Tu as oublié tes chiens
En France, on le voit bien
Avec les services secrets poutiniens
FSB/GRU, avec des infiltrés
Dans les services policiers
Dans les services de sécurité
Dans les services de l'armée
Toutes les sympathies
De l'extrême droite du capital
Sont évidemment
Toutes en empathie
C'est du très banal, c'est du très fatal
Et les agences civiles ou militaires
Sont toujours sur le pied de guerre
Avec tout un fascisme décomplexé
Caméléon, sachant se travestir, se déguiser
Il est d'ailleurs tout-à-fait mondialisé
D'un monde complètement falsifié et donc crétinisé
De la guerre économie cybernétique
De la guerre économie numérique
L'empire est maintenant informatique
Les portraits de charge s'adaptant
Selon les temps
De feu ( 1773 - 1850 ) Louis Philippe
Chiant toutes ses dépenses à faire la lippe
Et par exemple, Poutine ( né en 1952 ) ex-colonel des services secrets
Peint avec des douilles d'armes, faux bluffant, vrai effet !
Toute vérité devenue rogomme
Mais aussi, il y a partout des gommes
Et tout a un coût
Comme ce que nous mangeons, selon nos goûts
Il en va ainsi de nos saumons
Et en général de tout ce que nous produisons
De la ferme aquacole
De nos mentalités, une sorte d'école
Et pour un kilogramme de saumon
Entre 2,5 et 4 kilowattheures
Mais avec des tas de saumons, ô malheur
Et d'addition en addition
Et même en soustraction
Toute une consommation d'électricité
Une ville de 20.000 personnes par année
Hors chauffage, il ne faut rien exagérer
Du saumon, vous consommez
C'est de l'électricité, c'est du transformé
Nos cerveaux si conditionnés
Nos cerveaux si engrammés
Nos cerveaux si codés et si murés
Chypre, Grèce, Turquie
Du mur imaginaire, populations réparties
Du mur de pierre
Berlin, tout un savoir-faire
Quand plusieurs pays
Se disputent des régions du monde
S'amputant des régions du monde
Toutes les dictatures s'inondent !
1967
Dictature des colonels grecs
Avec derrière tout ce qui pue du bec
Nord/Sud de Chypre, du transit
Situation stratégique qui édite
Aucun gouvernement n'est altruiste
Tout gouvernement est opportuniste
C'est ainsi du confinement
Tout étant une question d'argent
Pour ou contre selon les intérêts
La télévision étant plus regardée
Si les gens sont confinés
La télévision est pour
Mais l'économie pouvant s'y noyer
Le gouvernement est contre
L'espèce humaine
N'est pas intéressante
L'espèce humaine
N'est pas intelligente
Elle aurait pu l'être
Avec l'apprentissage du avoir ou être
Et c'est le prêt-à-manger
Comme un prêt-à-porter
Du prêt-à-penser
Tout un prêt-à-crever
Toute une complicité de l'industrialisé
De tous les aliments plastifiés ou pollués
Dont nous ne pouvons plus nous passer
Polypropylène, polyéthylène, polystyrène
Tous les polymères ont la mauvaise haleine !
Tout cela
S'entend sourdre
Chlorure de vinyle
Dans l'eau reliant ce fil
CVM
Nous produisons du plastique
Nous mangeons du plastique
Nous pensons le plastique
Nous respirons du plastique
Les uns, les unes, les autres, nous nous plastiquons
Ce que nous semons, nous le récoltons
Vraie saynète non surannée
Avec des sols 23 fois plus contaminés
Que les océans dans le monde entier
Des nanoparticules
Des microparticules
Et là, sans jouissance uraniste, cela nous encule
Tout le monde devenant un forcené
Tout le monde devenant une forcenée
Tout autre, toute autre, une envie de tuer
Quand l'on ne sait plus vraiment
Qui a vraiment dit quoi ?
Qui a vraiment fait quoi ?
Qui l'a dit vraiment ?
Qui l'a fait vraiment ?
Et surtout, quand ?
Quand tout se plagie goulûment
Quand TOUT SE MENT !
Holocène, anthropocène
Capitalocène, plasticène
En mise en scène !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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