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Articles récents

Les propriétaires du monde et des mentalités

3 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Partout, sur la planète
Le fascisme sous ses différents masques
A su s'imposer
Avec ses femmes et ses hommes
Qui se sont infiltrés partout, pas si bêtes
Dans tout gouvernement
En France, Darmanin, le plus voyant
Tout un fascisme libéral
Avec divers partis
Qui ne sont en fait, qu'un seul parti
LR, PS, PC, RN, Renaissance, Les Verts
Macronistes, LFI
Toute une soumission en faux conflits
Il s'agit d'amuser la galerie
Tout un soulèvement réactionnaire
Au service de tout lobby
Laquais de toute industrie
Comme la FNSEA, ce syndicat fascisant
Toujours très violent dans son manifestant
Et en exemple, plus vandalisme, tant et tant
Et encore de nos jours, dégâts matériels, etc. Du terrorisant
2 octobre 1967, Quimper
179 policiers blessés, mais là, tolérance réactionnaire
Les gouvernements savent reconnaître leurs frères
FNSEA, jamais dissoute, toujours tranquille dans son lit
Pour cela, comme une putain, acceptant la sodomie
Quand elle rime avec forçage ou profit
Et s'invitant, des tortionnaires, de pays en pays
Tout se voulant au nom de la démocratie
Pouvant comme l'aurait fait un Hitler
De dissoudre " Les soulèvements de la Terre "
Des écologistes tout à fait inoffensifs
Mais en France comme ailleurs, feu sur les contestataires
Et à la moindre manifestation
Le fascisme ou quel que soit son nom, sait se montrer offensif
Mais le fascisme devenu un gros mot, se voudrait démocrate
Mais le fascisme est aussi devenu technocrate !
Fausses disputes, vraies alliances
Comme Prigojine et Poutine, grand spectacle de fausse démence
Pour mieux conforter la romance, organisant tout son sale
Il s'agit toujours de faire la soupe gouvernementale
L'on y cause toujours la langue du capital
Hypocrisie et mépris dans le passe-partout démocrate
L'opinion n'a plus son courage
Le courage de son opinion
Quand tout devient sans vraie opinion
Tout pouvoir est fasciste, tout pouvoir est Macron
Ou tout pouvoir est tartempion
Tout pouvoir y a des actions
Faisant les réponses et les questions
Tout fascisme en nouvelle appellation
Ou pour le stalinisme, ou pour le libéralisme, de nouveaux noms
Tout pouvoir, rouge, brun, et nationalisme, en rebaptisation
Plus manifestement ou plus subtilement, libéral
Ainsi, du confusionnisme fatal
Concentré, diffus, intégré
Quand tout a été nazifié
Quand tout a été fascisé
Quand tout a été stalinisé
Depuis des décennies et ce dans le monde entier
Les idées gazées et bien diffusées
Des défaites de la pensée sans cesse renouvelées
Tout a été récupéré, déformé, falsifié, répété
En ce qui concerne les grandes idées du passé
Plus la peine d'un parti unique
Quand tous les partis sont cet unique
Cela fait longtemps que le fascisme est passé
Dans toutes les têtes, hélas, comme enclumé
Cela fait longtemps que le nazisme est passé
Dans toutes les têtes, hélas, comme enclumé
Nous sommes ainsi dans les lieux de l'écocidé
Mais comme une permanente fulgurance immarcescible
Tout y fabrique de la perversité irascible
Au tout incrusté dans une prison mentale
De toute secte, croyance, religion, idéologie, le mal !
Quand chaque être humain
Ne fait que produire du déchet
Ainsi, et par française et par français
En 2019
580 kg de déchets ménagers
Par an, c'est édifiant, en effet
Voilà bien, que, déjà
Le banal terrorisme d'Etat
Du monde de production obligatoire des riches
Par ailleurs, propriétaires de tous les médias
Et contrôlant, de ce fait, tout son do, ré, mi, fa, sol, la
Nous sommes devenus son ridicule
Nous sommes devenus son calcul
Femmes, hommes, enfants, tout son bidule
Avec nos notions
Il ou elle, du surdoué ou du nul
Mais comme rien n'est de naissance
Et de fait, les deux termes s'annulent
Avec tout un dressage à la bienséance
Selon les modes, temps, lieux, leurs propriétés en évidence
De nos propres intérêts proches ou lointains
Devenant des idéologies
Devenant des politiques
De nos propres intérêts proches ou lointains
Devenant des religions
Devenant des croyances
De nos intérêts proches ou lointains
Il faut n'avoir, donc, aucune idéologie ou aucune politique
Il faut n'avoir, donc, aucune croyance ou aucune religion
Il ne faudrait aucune armée, aucune police, aucune légion
Oasis de Pythie en orgie
Plaques tectoniques, ce qui crée, ce qui détruit
Accumulateur du cosmique vital
Simplement, l'abolition du capital
Du tout l'organisant, la femme si peu fatale
Moins en notre temps en clabaudant aussi, du capital
Ainsi, même dans l'ex-Internationale Situationniste
Il n'y eut qu'une femme pour dix hommes
Pour la femme, il est vrai, le temps y était plus machiste
Et chaque temps du vivant, pour tout, y fait son somme
Comme du souvenir qui parfois nous terrifie
Et quand tout l'est dans l'organisation de la folie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de socialité travestie

1 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Nous
Sommes enfermés dans nos placards
Voitures, logements, divorces, mariages
Propriétés, locations, tout un carnage
Séparations
Elles sont nombreuses toutes nos obsessions
Elles sont nombreuses toutes nos cages
Nous en sommes les somnambules, hagards
De vastes entrepôts, de vastes hangars
Alors que :
La vie serait comme éternelle
Si la vie, nous la faisions belle
Abolition
De tous les préjugés
De tous les lieux communs
De tous les jugements de valeur
De toutes les religions
De toutes les idéologies
De toutes les hiérarchies
De toutes les compétitions
De toutes les nations
De toutes les frontières
De toutes les guerres
De toutes les traditions
De toutes les conventions
De toutes les conformations
De toutes les prétentions
De tout Etat, de tout gouvernement
Ce qui empêche de vivre, tout ce qui nous ment
Mais
Mais c'est donc le contraire qui régit tout
Nous en sommes les folles et les fous
Un château de cartes, s'effondrant, coucou !
De toute une socialité sexophobe
Tout y faisant concorde monophobe
Les sociétés de l'inhumanité s'y organisant
Les sociétés de l'inhumanité s'y structurant
Sur les pulsions sexuelles
Bien conditionnées et bien encadrées
Avec pour cela, policières et policiers
Il s'agit, dès l'école, de tout bien castrer
Avec l'alibi fabriqué
La société sait tout parfaitement instrumentaliser
Et toute une richesse
De tout l'administratif qu'elle s'accaparât
Tout y est très pervers
Ainsi
De refroidir des centrales nucléaires
Pompage jour et nuit, 40m3 par seconde
Pour ce qui est de l'eau encore potable
Médaille de bronze
Avec douze pour cent, le nucléaire
Médaille d'argent
Vingt-six pour cent pour l'eau potable
Médaille d'or
Agriculture, cinquante-huit pour cent
Ou aussi
Et c'est parti, mon kiki
1) CO2
2) Noir de suie
3) Méthane
Et le bonjour de la mort, cuicui !
Du réchauffement climatique
Le monde est une foutue trique
Cela en devient de l'apothéotique
Tout s'engraissant dans l'hétéronome
Et il y est bien dressé son autonome
Comme pour les algues vertes bretonnes
Algues brunes, sargasses, aux Antilles, au tout cacophone
Pour le fascisme libéral, tout cela, de la broutille, du nié
De l'odeur d'oeuf pourri, H2S, hydrogène sulfuré
Vraiment, dans la société marchande, tout déconne
Du poison de mort, comme l'orage, tout y tonne
Porcs, volailles, etc. Et du lisier, partout, pour s'y déverser
Comme la police fascisée qui a le droit de tuer
Quand elle se sait dans une bulle d'impunité
Et donc, il faut rester dans les clous
Être au normes
Sinon, ô folles, ô fous
Et l'on ne prêche qu'à l'homme déjà convaincu
Et l'on ne prêche qu'à la femme déjà convaincue
Groupe A
Des engrammes et du signifiant
Groupe B
Des engrammes et du signifiant
Groupe C
Des engrammes et du signifiant
Et ce jusqu'au groupe Z
De tout un codage nerveux
Donc, de tout un codage social
De tous les sons du capital
Et qui feront sens ou pas
Selon les éducations, n'est-ce pas ?
Selon les expériences, n'est-ce pas ?
Selon le milieu social, n'est-ce pas ?
Selon la culture, n'est-ce pas ?
Selon ses lectures, n'est-ce pas ?
Des temps et des lieux
De chaque temps du vivant
De chaque lieu du vivant !
Quand de tous les lieux
Quand de tous les temps
Se chauffant du même feu
De la dominante, du dominant
L'avant-garde de l'arrière-garde
L'arrière-garde de l'avant-garde
Sine die
De tous les faits, de tous les dits
Comme un permanent et silencieux
Du tout religieux et de tout dieu
Kim Phuc ( née en 1963 ) rescapée des bombes
8 juin 1972, l'armée USA/SA/SS, et son napalm
Avec le martyre du Sud-Viêt Nam
C'était autre planète, par exemple, pour Paname
Chacune, chacun, midi à sa porte
Ne voyant, de façon, que l'on en sorte
Ainsi, s'effectuant
Les petits chevaux législatifs, sournoisement
Feu Giovanni Damiani, grand écrivain fasciste
Qui fut au service des allemands
De la Gestapo, sur la bonne liste
Du roman policier, il fut le fervent
Finalement, il fit en petit
D'une autre façon, ce que fait toute gazomonarchie
Pas pire que la répugnante ( née en 1966 ) Paula White
Fasciste religieuse avec derrière toute une idéologie nazie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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NE TRAVAILLEZ JAMAIS ou Le capital, impuissance orgastique

21 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Je ne suis point recru messires ! vif enrôlé ! Soupe à bataille ! Gibier de fifre ! N'ai point juré, sacré pourfendre ! Chacun son estat !  Voler aux trompes ? pourfendre à charge ? Pourrir en brèche ? N'ai le brevet ! "
 
Louis-Ferdinand Céline
 
( La volonté du roi Krogold suivi de La légende du roi René. ED : Gallimard )
 
Depuis que
Nous sommes
Hommes nés, femmes nées
Tout y est un parcours fléché
Pour le pipi, c'est ici
Pour le caca, c'est là
Et selon chaque classe sociale
Nous pouvons/pourrons espérer
Ceci ou cela
De la profession du père
De la profession de la mère
Il y faut y suivre les flèches
Et pour beaucoup c'est la dèche
Clapotis en syntonie
Salmigondis pour faux sybarites
Du capital et de ses faux rythmes
Du tout exonyme hantant Paris ou l'Ardèche
Avec des vies déjà inscrites
De ce que leurs déterminants, éditent
Certains et certaines
Auront le rien, du tout
Certains et certaines
Auront le tout, du rien
Et puis, avec le dérèglement climatique
Un peu d'inédit dans le tragique
Réitération du sexophobique
Il s'incarne parfaitement dans le pornographique
Tout y est déliré, dilaté, truqué
Tout y est simulé
En illustration de tout un refoulé
Et même pas si bien payé !
Le monde
Comme une impuissance orgastique
Y sublimant tout son sarcastique
Toutes les vilenies et toutes les tricheries
Tous les conflits
Toutes les guerres
Psychologie de masse du fascisme
Psychologie de masse du nazisme
Psychologie de masse du stalinisme
Psychologie de masse du libéralisme
Le capital est un impuissant orgastique
Ne pouvant générer que sa fausse critique
Et tout y est clopin-clopant
Tout s'y engueule
Tout s'y gueule
Surtout, tout, s'y dégueule
Tout y est bégueule
Et comme me le dit un jour, un ouvrier
Grand-père d'une compagne du passé
Ils sont devenus cons les ouvriers
Elles sont devenues connes les ouvrières
Fascisme, stalinisme, et du réactionnaire
Le travail cela rend con
C'est fait pour cela dirait la chanson
NE TRAVAILLEZ JAMAIS ( 1953 )
Guy Debord en l'inscrivant sur un mur parisien
Savait ce qu'il faisait, c'est bien certain !
Sexophobie, homophobie, hétérophobie
Biphobie, transphobie, toute une symphonie
De tout un élan sensuel et orgastique
Du refoulé, du réprimé, du nié
Et à la barre à mine, transformé
En sport, des arts, toute une sarabande
De la science, de la technologie, toute une sarabande
L'élixir de toute violence
Versos du monde chlordéconé
Quand tout absolument est déconné
Tout y est débilité, tout y est cinglé
Pas étonnant si son évaluation
Le capital en étant mesure d'ostentation
QI de Michel Fourniret : 120
QI de Monique olivier Fourniret : 131
S'y déconsidérant ainsi en schlague
De l'adaptation à des tests de blague
Comme très jadis, trois verres de Coca-Cola
C'était comme une ligne de cocaïne
Là, c'est vrai, le capital est champ de mines
Donc, l'impuissance orgastique
Compétitions en tous genres
Donc, l'impuissance orgastique
Tous les gouvernements, toutes les guerres
Névroses, psychoses, sectes, maladies diverses
Aucune pause dans les averses
Ô malheur des stases Wilhelm Reichiennes
Femmes, hommes, enfants, de l'orgone, aucune dose
Tout un déni de cette si belle rose
Pulsions sexuelles qui sont les mêmes
Mâles ou femelles, c'est la socioculture qui dit Amen
Et puis l'argent du viol
Le viol de l'argent
Sous le capital, tout est violé
Travail, loisirs, sexualité, tout y est prostitué !
Tout ce qui n'est pas aimé au lit
Tout ce qui s'y fait par intérêt ou par profit
Mais il y a des fachos rouges ou bruns  qui baisent
Oui, mais mécaniquement comme si c'était une guerre
Mais il y a tout un tas qui baise
Oui, mais mécaniquement comme si c'était une guerre
Des cris d'où ne jaillit aucune étoile
Sans aucune vraie résolution orgastique
Tout y est de la glaise
Tout y est niais ou niaise
Juste pour y avoir des enfants
Il y peut l'impuissant
Du primaire, du secondaire , du tertiaire
Hélas, juste une goutte de sperme y suffisant !
 
Patrice Faubert ( 2023) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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L'industrialisation de la catastrophe

18 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et à chaque seconde
Guerres, accidents, meurtres, la mort féconde
Et à chaque seconde
Décès, naissances, drames, suicides
Mariages, divorces, séparations, maladies, au tout acide
Sans cesse des nouvelles
Spermées, l'oubli sans faisant la part belle
Et l'on nous bourre les crânes
Et l'on s'y perd dans l'insane
De toute une criminalité politique
De sales gueules de machines à fric
De toute une criminalité économique
Bonne pour l'hôpital psychiatrique
De toute une criminalité environnementale
En Cyril Astruc qui y dégomme les trucs
Aristocratie du vol, comme un duc
Du trafic de carbone pour les uns
Du trafic d'ivoire pour les autres
Du trafic de ceci ou du trafic de cela
De tout gouvernement, de toute mafia
Le monde entier est régi comme et pour cela
Partis, organisations, syndicats
Et tout s'y organisant au cas par cas
Rien ne devant vraiment changer
Tout devant absolument se continuer
Certes, de près, de loin, tout y est en complicité
En attendant, surtout, d'y crever !
Ibid
Qui ne va jamais en bide
Quand tout doit s'adapter à la monstruosité
Quand tout doit s'adapter à l'inhumanité
Quand de la naissance
Nos cerveaux remplis de toutes les absurdités
Des hiérarchies et de toutes les compétitivités
Faudrait tout zigouiller, tout recommencer
Mauvais départ, fausse route
Au tout exode, au tout déroute
Il n'y a plus rien dans nos têtes
Plus aucune fête, que de la défaite
Au pire, nous nous sommes habitués
Adaptation individuelle de grande capacité
Aux variations du milieu
De chaque classe sociale et de son feu
Avec la structure hospitalière effondrée
Avec tous les services publics annihilés
Tout ayant été confisqué et donc privatisé
Et la bête immonde qui toujours ne cesse jamais de monter
Réacosphère, fachosphère
Racines profondes du tout taré
Et que nous ne sûmes pas éradiquer
Fascisme rouge, fascisme brun, fascisme libéral
Pour toujours fortifier et nourrir le capital
Le monde entier y est comme un crétin
Bourgeoisies diverses pourries et sans aucun frein
Femmes, hommes, enfants, tout y est catin !
Rien ne peut y échapper du pollué
Comme toute marchandise et son parrain
Son tabac, son ivoire, son animal, son rein
Avec aussi l'eau du robinet, infectée
Métabolites de chlorothalonil
Soixante pour cent des nappes phréatiques
Du poison obligatoire
Du poison dérogatoire
Pas le choix dans le laboratoire
De tout un programme alimentaire mondial
S'éloignant de l'origine de 1960, fatal
L'ONU depuis longtemps y cale
12h37, 10 juillet 1976, SEVESO
Lombardie, la dioxine se fait la belle
Industrialisation de la catastrophe, icelle
Usine Icmesa de Meda
Dioxine, 10.000 fois plus toxique
Que le cyanure, en veux-tu en voilà
De l'explosion reniée de tout lectorat
La panacée, seulement, de limiter les dégâts
Du chimique torve et dépréciatif
Et en tous domaines, y est son réactif
De l'insalubrité polluante et abrutissante en mondovision
Du sport, du divertissement, des variétés, de l'illusion
Tout pouvant s'y mélanger
Tout pouvant s'y côtoyer
Bras dessus bras dessous, pour tout tuer !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Tout Etat est maquereau et putain

13 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Certes
Tout Etat est maquereau et putain
Mais la plus chère qui fut jamais
De Berlusconi et de sa catin
Lui qui n'en peut mais, en effet
De la jeune marocaine ( 17 ans ) en 2010, au moment des faits
Rubygate, Ruby Rubacuori
Et surtout, Karima el-Mahroug, aussi
Rubygate à sept millions d'euros
Bunga-bunga
De la prostituée la plus chère de l'Histoire
Pour que, circulez, y'a rien à y voir
Tout cela
Devenant et intégrant le monde de la politique
Ouvrir les cuisses des femmes, prestige, pouvoir, fric
L'Italie aux racines fascistes profondes
De la variété des populismes, au tout inonde
Et de la France, jadis, sut, prendre les frondes
39/45
Des nazis catholiques au Vatican
Qui furent les complices de tout un entregent
Avec deux papes comme sympathisants
Contre le communisme ou prétendu tel, en avant
Tout y paradait et donc rien d'esbaudissant
Toute religion s'écrit dans des atrocités
Toujours du côté du manche, de l'autorité
Avec de l'impunité en irréfragabilité
De toute une radioactivité muselée
Pas comme pour les essais nucléaires, génomés !
Australie, Kazakhstan, Tahiti
Presque deux-cents bombes, Pacifique Sud, sur Tahiti
Et entre 1966 et 1996, par des essais nucléaires
Et là, seulement pour la France
Il y eut aussi, anglais et américains, en confidence
Maladies d'hier et d'aujourd'hui
Cancers, leucémies, malformations, on se le dit
Quand tout est organisé dans le mépris
Quand tout s'organise dans le crachat
Pas seulement Macron, ou autre, mais de tout Etat
Au tout, pas vu, pas pris
Chacun, chacune, y faisant son petit caca
Des petits et des gros, tout un répertoire
Les gros mangés par les petits, au comptoir
Forcément
Toutes les polices et toutes les armées
Des gros sont de leur côté
Et c'est pour les défendre qu'elles sont rétribuées
Avec un capitalisme qui pourrait s'adapter
De toute une écologie habilement récupérée
Comme un truand allant se mettre au vert
Et bien en rire, en sifflant de nombreux verres
Car
Les riches y seraient/seront toujours aussi riches
Car
Les pauvres y seraient/seront toujours aussi pauvres
Fascisme vert, nazisme vert, stalinisme vert, libéralisme vert
Tous les nationalismes en l'opportunisme vert
Les divers fascismes ont pu tout éliminer
Car aucun fascisme, ne fut, vraiment, jamais annihilé !
Toute une psychose de masse induite
Comme penaude, tergiversante, bien cuite
Psychose de fin du monde
En fait, il y en aura bien d'autres
Psychose de fin du mois
Que toute inégalité, fonde
Dans un tout fini
Dans un tout pourri
Avec l'intrication quantique
Comme une religion mathématique
Mondes parallèles
Où nos bras seraient comme des ailes
D'autres possibles, d'autres vies
Du je toujours je
Du tu toujours tu
Du il ou elle, toujours il ou elle
Jamais même, jamais autre
Jamais autre, jamais même
De tous les temps de l'espace
De l'espace de tous les temps
Dix dimensions de temps et une d'espace
Dix dimensions d'espace et une de temps
D'une même chose
De la même dose
Civilisations technologiques, civilisations relationnelles
Civilisations sans technologie, ou à peine de l'ébauché
Déjà disparues, pas encore apparues, que l'on ne peut imaginer
Des stades différents, stoppés, ou continués
Avec de la technologie et beaucoup de barbarie
Avec ou peu, sans, technologie, mais sans barbarie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Testimonialité diapause nihilité

5 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Le sol serait apparu
Il y a 460 millions d'années
Enfin, y déposer pattes, et tout son né
Sachant
Que pour un mètre de sol
Il faut y compter, la géologie s'y colle
Quinze mille ans, et que cependant
Les vers de terre si toujours surprenants
Furent déjà là, il y a 160 millions d'années
Et cinq mètres par heure
Pour ce véritable ingénieur des profondeurs
Et même à côté de ses turricules
De nous, rien de ridicule
Quand de France et du monde
Au-dessus du sol
Piétiné par tant de guibolles
Retentit tout un immonde
De l'algolagnie instituée
D'un tout coprolalique
D'un tout méphitique
Terre anus et faisant colique
Tout y étant alcoolique
Et entre 1870 et 1935
74 pour cent de la consommation d'alcool en France
C'était le vin, la misère des providences
Doxa, panais coutumier, en sociologie du forcené
La femme, l'homme, l'enfant, seule osmose d'identité !
Les Pyrénées de la découverte
Suintant de l'organique périnée, au tout niet
Tout y périt, la sémantique jamais nette
Et à propos d'alcool
Dans les années 70 où je fus picole
Céline Destouches, l'hygiéniste trop mouche
Contre l'alcool, le café, le tabac, y fit ses touches
Déjà contre la médicalisation à outrance
Gentil médecin, à l'écoute, parfois gratuit, sans la remontrance
Et d'une fantasmagorie l'autre, la danse
Avec avant après, puis Almansor ( 107 ans ) en complétance
Danseuse de longévité et de vraie confidence
Même si Céline préconisait la sodomie en contraception
Mais de son temps, c'était une des solutions
Comme justement que tout est un incessant bal
Noyade en génocide culturel
De l'assimilation forcée
De l'occupation forcée
De tout ce qui se répand sur terre
En plus de tout ce qui peut s'y défaire
Des populations occupées et annexées
Indiens/amérindiens et donc vrais américains
Les autres sont des colons et esclavagistes, faquins
Mais pas seulement, là, en ce domaine, point de rien
Et au fond, toute éducastration y fait son nid
Après, s'en défaire, en impossible pari
L'enfance
Occupée et annexée
L'adolescence
Occupée et annexée
La maturité
Occupée et annexée
Traditions, cultures, religions, idéologie, croyances !
Et pour nous faire oublier
Toutes les misères occupées et annexées
De toute une industrie de la sublimation
Née de toutes les diverses et innombrables frustrations
Divertir les misères de toute attention
Déjà en 1889 et au-delà de 1900
Buffalo Bill, d'autres en imitation
Le monde entier devenant une attraction
Cody, falsificateur amuseur historique, de renom
Sans émotion en tueur des bisons
Tout un opportunisme historisé
Showman avant l'heure
De toute une contemplation de la consommation
De toute une consommation de la contemplation
Et surtout de notre formidable prétention
Je sais, je sais, je sais
Tu sais, tu sais, tu sais
En vérité
En réalité
Sauf de notre petite expérience
Sauf de notre petit vécu, en alternance
Nous ne savons rien ou si peu, en effet
Je ne sais rien
Tu ne sais rien
Mais personne ne le dit, c'est pas bien
Tout est cartel
De ce monde comme une poubelle
Cartel de l'artifice du bonheur
Des cartels divers et sans peur
Du trafic d'espèces, Totoaba macdonaldi
Cocaïne des mers, cherté du produit
Toute une contrebande d'un système pourri
Suite logique des mafias et de leurs Etats
Illégalité, légalité, tenant, aboutissant, d'un même caca
Aucune diapause dans toutes les doses
L'on y déboute du testimonial qui ose
Chaque mafia et son gargotier de l'argotier
Produisant de l'argent, tout y est occupé, tout y est annexé
Populations, individus, groupes, au tout emprisonné
Nous sommes les domestiques du conditionné pathologisé
Dans des boîtes bien triées, prêtes au départ, bien dressées
Nous en sommes, nous en faisons le marché !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de paréidolie effondrement

1 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Comme une gageure
Mais hélas, pas un leurre
43 kg de particules fines de plastique
Ce qu'avale une baleine bleue, par jour, pas très tonique
Comme pour tout ce qui vit, au tout pourri
De l'alimentation empoisonnée et forcée
Se reliant à tout travail, obligatoirement, forcé
Car il faut boire, se vêtir, manger, se loger
Ainsi, par extension, pas si éloignée
300.000 camps de travail
Sous le régime nazi, horrible trouvaille
Avec les maladies et toute une mortalité
Du travail obligé et de ses associés
Finalement
De jadis, l'Allemagne, et du monde entier
Du nazisme et de treize millions
De personnes en travail obligé, de l'internationalité
Parfois, dans la population, gens hébergés
Femmes, hommes, deux millions de personnes y sont décédées
Une femme sur trois
Deux hommes sur trois
STO, 600.000 personnes de France
Prolétariat pour l'Allemagne militarisée, infernale cadence
Quand 45 pour cent des médecins allemands
Adhéraient à l'idéologie nazie, consternant !
Misonéisme, peine à perpétuité
Quand rien, justement, ne peut y changer
Du tout faux de la vie, toujours innové
Alors que :
4,4 kg d'azote
500 grammes de phosphore
Par personne et par an, encore, encore
Car l'urine pour l'agriculture, se ferait l'homme fort
Il y aurait de la liesse
De quoi, y faire florès
La conception
Qui d'une partie de l'industrie ferait fi
Et avec les pannes, de la tragédie
19 décembre 1978, France
Panne d'électricité pendant quatre heures
Mais de cette industrie, aucune mise en demeure
3/4 d'un pays sans courant
Certes, cela n'est pas si advenant
La fée électricité et son miroir
Si belle et cachant ce que l'on ne veut y voir
Et tout son futur projeté que l'on ne voudra croire
2040
Soixante pour cent de la viande consommée
Sera cellulaire ou végétale, du très transformé
Et féveroles, soja, pois, de galettes mutées !
Doxa
Molécules carbonées
De tout un hypothétique principe premier
Il y a forcément du premier
Niveau d'organisation
Il y a forcément du dernier
Niveau d'organisation
De l'inaccessible, de l'indicible, du non-pensé
Avec surtout notre mortalité
Se rapprochant au fil de l'écoulement des années
Du corps qui ne fait que se dégrader
De l'esprit semblant s'évader et s'évaporer
De nos relations anciennes qui disparaissent
Aussi sûrement que nos vues baissent
Déjà, autour de moi, en moi
Tant de disparitions qui me laissent coi
Comme une amie de jadis, Danièle Farache
D'une époque au tout à l'arrache
Quand tous les deux nous fûmes un dix
Une rencontre de 1979, du souvenir sans ghosting
Et aussi, en 1976, son futur compagnon karting
Fabrice Péréa, sachant tout faire, en ring
Elle fut en bonnes mains avec lui
Lui se retrouvant seul après des décennies
Il lui faut/faudra ne pas sombrer en profonde mélancolie
En 1982, d'elle, j'en fus, le lui
Avec des hauts et des bas
Quand, dans cela, tout couple y va
Du sommital au gardénal
De l'irrémissible en costume fatal !
Aussi certain que petits et grands truands
Du dépolitisant, du nazifiant, du fascisant
Hommes de paille, le monde politique, les renforçant
De tout un monde à l'envers
Quand avancer devient son contraire
Ainsi, sans rien d'amère
Guillaume de Lustrac
Dans son domaine, autre sacré crack
Marathon en course arrière en 3 heures et 25 minutes
Pas si absurde et peu ordinaire
En réponse au faux à l'endroit, du tac au tac
Comme une fantaisie à la Pierre Dac
Moi, jadis, en 1995, sur 200 km marche
J'avais mis, 22 heures et 44 minutes, et quelques claques
Mais à l'endroit ou à l'envers
Il faut toujours pouvoir le faire
De l'être humain ce moins que rien
De l'être humain ce plus que tout
Avec des hiérarques et des potentats
Fausses turluttes de tous les appâts
Et se repassant tous les plats
Du réchauffé au frais, en faux ébats
Toute proclamation gouvernementale en 49.3
Ciment, acier, plastique, 49.3 en 49.3, en règle de trois
Féralisation des flux marchands
Tout y est piégeux, nazifié, fascisé, capitalisé
Le capital, faut pas l'arranger, faut le crever
Le dissoudre, comme un bourrelet d'infection
De l'entretien de la pourriture du monde
De toute une organisation de notre monde !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Le travail de la misère

25 Mai 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

La Terre devenant boule de feu
Vers 2600, disparaître, à qui mieux mieux
De toutes façons, tout participe du vain
Du tout sisyphéen, on le sait bien
Ainsi, de toute écriture, de tout plat
Avec ou sans lectorat
De la matrice, de la mère
Tout y est toujours vernaculaire
Tout y est comme de l'eau claire
Quand tout semble sans vrai début
Quand tout semble sans vraie fin
Tout, sans cesse, nous prenant en défaut
De ce tout, nous sommes la sotte et le sot
Des virus
Dont l'on ne connaît que un pour cent
Et au tout dernier niveau d'organisation, zéro pour cent
Des minus
De tous les niveaux organisés, et l'englobant
Et sur tout et en tout, l'adoubant
Ainsi
Nous nous écrivons
Nous nous fabriquons
Nous nous écoutons
Nous nous taisons
Nous nous enrichissons
Nous nous appauvrissons
Nous nous maltraitons
Nous nous jouissons
Nous nous torturons
Nous nous pleurons
Ceci ou cela nous nous faisons
D'hier, d'aujourd'hui, de demain !
Nous nous gâchons, surtout
Nous nous querellons, surtout
Peu ou prou, polémisme, coucou
Cinq millions
De passoires thermiques en France
Du bas coût de certaines constructions
Délaissement de la pauvreté en occurrence
Du prétendu intellectuel
Du travailleur du ciboulot
Du prétendu manuel
Qui travaillerait des biscoteaux
Car sans un cerveau
Tout serait en défaut
Système nerveux procédant de tout apprentissage
Dedans, les gènes en métissage
Mais très volages
Les gènes ne servant à rien
Pour le piano ou le violon, le football, la physique
Pour la cuisine, les arts, les langues, les mathématiques
Cela n'est ni mal, ni bien
Tout s'apprenant
Et selon sa classe sociale, s'y engrammant
Les gènes, c'est le physique, certaines maladies, les yeux bleus, la taille
Et encore, l'environnement y fait les détails
Toute tyrannie tendant à faire croire
Que tout caractère est donné à la naissance
Et qu'ainsi, rien ne peut jamais changer, mauvais vin à boire
Plus que honteux
Plus que scandaleux
C'est l'erreur contenant toutes les horreurs
De l'environnement, tout gène en est la peur
De toute idiosyncrasie et de son milieu culturel et social !
Et en généralisant un concept célinien
D'ouvrier des lettres, laissant sur sa faim
Ouvrier du cinéma
Ouvrier de ceci ou ouvrier de cela
Ouvrier des arts
Ouvrier du sport
Ouvrier de la science
Ouvrier de la technologie
Ouvrier de l'informatique
Ouvrier de bureau
Ouvrier d'usine
Ou ouvrière, de ceci, de cela, rien, je ne débine
Mais avec différentes pénibilités, que tout turbine
Etc. Du fini et de l'infini
Finalement, modus operandi
Sentience
Le travail de la misère
La misère en plein travail
Avec toute son organisation capitalisée en éventail
Du tout luxueux au tout précaire
Le soldat, lui, est un militaire
De tout ouvrier ou ouvrière, est son contraire
De l'armée de toute occupation
Du fascisme gouvernemental juif, à Hébron
Dans le quotidien des exactions
Assassinats, séparations, expropriations, tractations
D'une résistance l'autre, d'une nation, d'une région
Belfort
Ville française qui résista 103 jours aux prussiens
1870/1871, mais sans succès aussi, à sa future désindustrialisation
La guerre en entreprise de la désillusion
Cela rapporte de l'argent, la démolition
Entrepreneurs, techniciens, ingénieurs, ouvriers, en destruction
Femmes ou hommes, et selon les conditions
Quand les vrais ingénieurs des sols, indispensables vers de terre
Cent cinquante espèces en France
Dix mille  dans le monde
Du tout pacifique, du tout hermaphrodite
Vrais prix Nobel de la paix, tous déchus de leur mérite !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Domestication des corps et des esprits

21 Mai 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Jadis, il fallait des travailleurs parce qu'il y avait du travail, aujourd'hui, il faut du travail parce qu'il y a des travailleurs qui doivent pouvoir payer leur consommation de marchandises tout en restant soumis à l'ordre du monde. "

Sergio Ghirardi ( né en 1947, révolutionnaire italien )
( Nous n'avons pas peur des ruines.
Les situationnistes et notre temps. ED : L'insomniaque. )

Tout gouvernement, et sournoisement
Est un 49.3 en cinéma permanent
Pour la sortie comme pour l'entrant
Dans une moyenne du tout constant
Comme tout Etat est policier
Comme tout Etat est militarisé
Et ne pouvant, ainsi, que produire
De l'inéquité, et de l'injustice
Des profits, des jalousies, du vice
Il faut y entrer en lice
Tout s'y englue, tout s'y glisse
Ainsi, en 2020
France, en taille moyenne, 1m77
Pour une fois, j'y colle, avec mon 1m77
Mais avec mes 61000 grammes
Là, je ne suis plus dans le tam-tam
Avec aussi, et sinon, pandiculation
L'accélérateur de particules en droitisation
Restreinte, généralisée, en généralisation
Des corps et des esprits en domestication
D'un rayonnement ionisant
De cérébralisation se nucléarisant
En subtilité du moins voyant
Ainsi, les cheveux de femmes paysannes
Normandes, hollandaises, des revenus, une manne !
Devenant perruques pour des aristocrates
Alopécie de Louis le quatorzième
Dès l'age de 19 ans, le gros problème
Donc, de la vente en foire
Pour un peu, du manger, du boire
Mais, nous ne lisons que notre propre livre
Mais, nous n'entendons que notre propre discours
Car
Nous sommes dans nos engrammes
Nous sommes dans nos programmes
De notre famille, de notre temps
De notre culture, et de ce que l'on y apprend
Et à l'école de la compétition
Et au lycée de la compétition
Et à l'université de la compétition
Et au stade de la compétition
Du bureau, du laboratoire, de l'usine
Toute une compétition qui turbine
Tout y faisant office de prédation
ChatGPT, de tristesse, j'en ai pété
Chatbot, toute odeur d'artificialité
Il ne peut y avoir aucune magnanimité
De l'économie toujours coloniale
Fausses identités séparées mais revendiquées
Toute une formation des métiers
Aux faux besoins de l'humanité
Et tout colonisateur y devient colonisé
Crétines et crétins pour y dominer
Gêneuses et gêneurs y sont éliminés
Ou le plus souvent invisibilisés
De tout un maquillage étatique de cruauté bien dosée !
Tout un monde de la frustration
Tout un monde de misère et de pauvreté
Avec toute une pornographie en procuration
De toute vie, de toute jouissance, au tout dépossédé
De toute une spectacularisation en scénarisation
Comme si tout le monde y avait sa place, et sa classe
Et finalement, que de faux palaces
Rires, pleurs, joies, regrets, tout y est de glace
De l'Escoffier de plus en plus taylorisé
Avec des gens croyant s'y contenter
Quand l'eau du robinet, elle-même, est polluée
Dans un monde devenu digitaline
Petite ou haute dose, de la fausse câline
Et comme si, nous étions
Des années 1970, un film de science-fiction
Surtout gore, en tout, à mort, à mort
Aucune tempérance dans le jamais tort
Avec n'importe quoi
Le capital en fait quelque chose
Avec quelque chose, il fait n'importe quoi
L'horreur du monde est une insomnie
Cioran et Céline en furent les érudits
Destouches et ses médicaments céliniens
Lui, qui fut plus que gentil médecin, pharmacien, écrivain
Kidoline pour le nasal
Basedowine pour les douleurs menstruelles vaginales
Somnothéryl contre les insomnies
Nican contre la toux, de l'esbaudissant banal !
De l'insomnie qui fait des produits
Et de ce qui fait crier au génie
Cioran, Céline, et d'autres cris
Ne pas ou sans dormir, du pourri dans la vie
Mais d'écrire, écrire, écrire, comme un permis !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Monde WC, air vicié, et basta

13 Mai 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Mais, au-delà de ce réflexe, les spectres qui hantent la question ukrainienne, d'une manière fort ensorcelante et peut-être plus ouvertement que sur d'autres " théâtres d'opérations ", ne sont rien moins que le militarisme, le nationalisme, et le concept d'Union sacrée, variantes morbides de l'interclassisme. "

( ASAP Révolution, été 2022 )

3 avril 1973
Premier appel avec un mobile
Martin Cooper, comme une première automobile
Lourd bloc de circuits électroniques
Puis, se rapetissant, de la miniaturisation frénétique
Mais il faut des composants
Qui de la nature, ainsi du lithium, au tout détruisant
Comme pour la voiture électrique
Nickel, manganèse, cobalt en teneur forte
Des sociétés minières qui les portent
Véhicules aux batteries électriques
Mais aussi, mobiles, piles, ordinateurs
Au Congo, le travail d'enfants, à l'heure
Même en Finlande, ce pays dit du bonheur
Giga-usine, cobalt à teneur faible, en Suède
Mais en Afrique, la population s'appauvrit
Quand c'est le capital seul qui s'enrichit
Et au fond, le 49.3, est tout gouvernement
Comme le cheval, il y a environ quatre ou cinq mille ans
Pour le tout communicant
Et il n'y a plus que plusieurs millions de chevaux, maintenant
Donc, car tout se fait dictatorialement
Le seul salut pour l'humanité
Et pour pouvoir toujours nous cheminer
Autonomie, autogestion ou gestion directe
Auto-organisation, démocratie directe
Et aux poubelles, tout ce qui nous infecte !
Et à propos des poussières de minerai
Cancers, ADN modifié, et autres effets
Et se retrouvant dans mers et rivières
Le monde, en fait, est comme une société minière
Afrique, Europe, monde
Partout, de la corruption
Partout, de la pollution
Le monde entier devenu malaria
Paludisme, de tout ce que l'on peut y faire
Monde WC, air vicié, et basta
Du décodage entre une proposition
Et sa véritable application
1883, France
Colonies de vacances en création
Dans les faits, désavoué, le Cottinet Edmond
Pas comme pour tout le vivant et de sa contamination
Tohu-bohu de métaux lourds, sans là, d'hibernation
Même dans l'espace, serait en continuation
La chimère astronautique et sa cryogénisation
Cryogénie congelée dans son utopisation
Tout se projetant dans le dégoûtamment
Ainsi, de tout mariage d'arrangement
Lorettes et grisettes
Qui au quotidien ne font pas risette
Du tout intérêt se taisant et se faisant benoîtement
Du tout intérêt se contractant sournoisement !
Toute catastrophe, prévue, annoncée, finalement
24/26 mars 1999, incendie du tunnel du Mont Blanc
Trente neuf personnes dans le néant
En vérité, toute une organisation de l'épidémiologie
De l'esclavagisme, du colonialisme
Tout un dressage en version mondialiste
Contre bourreaux et pervers, une potion hygiéniste
Contre tyrans et gouvernants, l'anarchie alchimiste
Une sorte de champignon du genre cordyceps
Parasite d'une fourmi, mais là, l'humanité au forceps
Sur Terre, de la torture subtile ou manifeste
Criante, 1976, Argentine, la dictature qui infeste
600 centres de torture, cinq sur cent, du rescapé
Femmes enceintes, bébés volés
Femmes torturées et violées
Aussi, de la torture du climat déréglé
Comme sept pour cent de flotte en plus, pour un degré
De tout un boit-sans-soif du pays France
Export du trente-huit pour cent
Import, vingt-huit pour cent de légumes
Import, soixante et onze pour cent de fruits
Du recto verso et surtout du vice en confit
Quand toute la marchandise, elle-même, est en conflit
Environ 10.500 types de différents minéraux sur Terre
Et de leur exploitation capitaliste pour tout faire
Nous y sommes comme dans une zone grillagée
Même en plein-air, comme un renne ou caribou au Canada
En disparition, bientôt, aussi, de nous
De la prison en plein-air, milieu fermé ou milieu ouvert
Nous aurions pu en profiter à ciel ouvert
Dans une organisation généralisée de type libertaire
Surtout, si en 2600, la Terre sera tout feu et mortifère !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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