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Articles récents

Mondialisation de la pollution

20 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Engrais phosphatés
Via le Maroc
En producteur premier
Solide comme le roc
El la fluorose
Cela n'est pas de l'eau de rose
Cadmium de Pologne
Poumons en tragique trogne
Quand le charbon dégomme
Chaque pays
Rien à foutre de la gueule d'autres pays
Chaque personne
Rien à foutre de la gueule d'autres personnes
C'est le glas, dring-dring, qui sonne
Avec chaque nation
Avec sa propre pollution
Import-export en adéquation
Comme un nuage
Qui serait bien volage
Toute pollution s'internationalisant
Et partout, TOUT, se répandant
Avec la sinistre impression
L'impuissance de tourner en rond
Malgré des luttes contre, comme une malédiction
Cercle vicieux du tourner en rond
Quoi que l'on fasse
Tout y fait trace
Et il y a encore un peu de place
Rien, jamais, vraiment, ne s'y efface
Et nous nous polluons
Et vous vous polluez
Ils et elles se polluent
Et, bis repetita, quoi que l'on fasse
Tout y fait trace
Et quoi que l'on dise
Sans qu'aucunement, je ne médise !
Quand il faut à nouveau polluer, propre
Pour pouvoir dépolluer le moins propre
Des énergies faussement vertes
Des énergies pas vertes
Une pollution en mondialisation
La mondialisation de la pollution
Cela est à tous et à toutes
Pour s'y cacher, aucune soute
Notre commune prison
Notre seule vraie communion
Avec toute une fausse compassion
Du conditionnement comportemental en affectation
Une prison, coûtant encore plus chère
Que celle de Guantanamo, si délétère
Alors, que cependant
Et c'est proprement effarant
13 millions de dollars par détenu
Avec depuis 2001, 780 détenus
Et il n'y a plus, à ce jour, que 39 détenus
Coût de Guantanamo et sa prison, par an
540 millions de dollars
Faire florès pour le cafard
Le capital, dans nos fioles, ce crachat
Et au cas par cas
Vraiment, sur cela, mon mollard
Quand le vol
Crée de l'emploi
Quand le crime
Crée de l'emploi
Quand la misère
Crée de l'emploi
Quand la pollution
Crée de l'emploi
Sotte société et sots métiers
Toute la perversité d'une société
Qui avec cela, comme cela, ne peut que fonctionner
Sinon, du chômage généralisé
Toutes les absurdités y sont liées, y sont là !
Et cela serait encore pire, si personne ne s'y opposait
Et cela serait encore pire, si personne ne luttait
Avec toute une inutilité
Qui y organise sa terrifiante absurdité
Comme les nazillons qui sont invités
Comme la zemmourisation qui peut parader
De nos jours, sur des plateaux de télé !
Comme aussi
Les 70.000 livres, en France, publiés
Et par année
Mais depuis que les gens lisent
Rien n'a vraiment changé, nonobstant
Mais surtout
Depuis que les gens élisent
Mais surtout
Depuis que les gens disent
Rien n'a vraiment changé, édifiant
Les inégalités
Les injustices
Les disparités
L'intolérance
Les scandales, les souffrances
Les guerres, la torture, l'indifférence
La fascisation des esprits, habituation du navrant
Et tout cela se mimétisant
Tout cela s'institutionnalisant
Indéfiniment
Sous d'autres formes
Sous d'autres normes
Alors, à quoi bon ?
Si c'est pour la sacro-sainte consommation
Alors, à quoi bon ?
Si c'est pour la sacro-sainte spectacularisation
Si à l'innommable, c'est pour l'intégration
Comme la destruction des bords de mer
Forcément, la société marchande laisse faire
De zéro à dix mètres, comme après une guerre
Anéantissement de toute une faune marine
Avec des herbiers qui déclinent
Mais, chacun, chacune, ne voyant que midi à sa porte
Et tout le monde pense avoir raison, de la sorte !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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6, 12, 18 litres, la chasse d'eau

15 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Exposition à Nantes
L'art dit contemporain comme une rente
Tout un prétendu art
Hypnose du lard
Le faux formant le goût
Et ce en tout
Et chaque nouvelle génération
Des nouveaux faux, de nouvelles contrefaçons
Le contemporain
De l'ancien mal repeint
Au tout crétin
Arnaque et foutage de gueule
Personne ne s'y sent seul
Et tout le monde
Se regardant
D'un air si condescendant
Pauvrophobie
Grossophobie
Maigrophobie
Richophobie
Toute une panoplie
Et nous ne prêchons qu'à des convaincus
Et nous ne prêchons qu'à des convaincues
Cons vaincus, connes vaincues
De personnes, donc, déjà convaincues
Et tout ce qui ne rentre pas dans son signifiant
N'est pas entendu
Ne sera pas perçu
Et ainsi, gens contre gens
Pour que rien ne change vraiment
Chaque groupe humain, dans son signifiant, se confortant !
Tout moment
Tout instant
Comme un usufruit de programme
Comme un produit d'engramme
Partout, en tout
Nous entendons
TAM-TAM
Comme celui des motards
En France, cinq cents se tuent chaque année
22 fois plus de risques, de la probabilité
D'être tué en moto qu'en voiture
Et ce à kilométrage égal
La moto produisant onze fois plus, faux régal
De monoxyde de carbone que la voiture
Huit pour cent des accidents de la route
Et pour obtenir votre sympathie, une déroute
Sont inhérents à une défaillance technique
Plus qu'un métier
Vivre devient un sacerdoce
Avec l'horreur permanente, convoler en justes noces
Peu de chair, surtout de l'os
Parcours du combattant, simplement pour exister
Car pour tout, il faut se bagarrer, il faut banquer
Quand tout participe de la banque
Chaque personne prise comme branque
Chaque individu
Vache à lait du capital
De tout billet imprimé, malhonnêteté fatale
Et pour un billet de banque français
Abîmé ou neuf, mais, de toute vie, comme une défaite
Un billet français, c'est cent trente corps de métier !
Et qui dit argent
Dit, flic, voyou, politicien, mafieux, truand
Avec son plus grand faussaire
Feu ( 1912 - 2003 ) Ceslaw Bojarski
Qui travaillait tout seul, expert du faux, inégalé
Ingénieur, technicien, qui fut bien mal employé
Et pour le localiser et pour le loger
Longtemps, ce fut une parfaite impossibilité
Mais voyageant partout
Surtout train, comme un fou
Pour discrètement, les billets, les écouler
Sans se faire trop repérer
Par son mal de dos, il fut trahi
Et fut obligé, ainsi
De prendre deux complices, idiots, deux simples d'esprit
Alors, vite, cela finit
Et par dénonciation, il fut pris
Le corps de l'économie
N'est pas l'économie du corps
Sauf celle de l'esprit
La plupart des gens
Se parlent mal
Se regardent mal
Se comportent mal
C'est là, la loi croissante du capital
Rien ne peut-être décroissant sous le capital
Et pas de véritable changement
Ou alors, vers l'anarchie et hors du capital
Il y a tant de frontières
Qui sont surtout dans nos têtes
Avec toute une répugnance identitaire
Mais, ouf, aucune dans l'univers, dans le plurivers
C'est si bête
De toute humanité comme une défaite
Un peu comme pour l''Afghanistan
Où furent formés les fanatiques religieux talibans
USA et des alliés, contre URSS, la guerre d'Afghanistan
2430 kilomètres de frontière avec le sinistre Pakistan
De l'ouest
Jusqu'à l'Est
La plus longue des six frontières de l'Afghanistan
Il faudrait tirer la chasse d'eau
De toutes les bêtises, prendre les ciseaux
Et la chasse d'eau, c'est si peu écolo
6, 12, 18 litres d'eau
Ce à chaque chasse d'eau
Selon les équipements, terrifiante chasse d'eau !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Dromologie de Pandémonium

11 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

La société
De la dromologie
Vite
Toujours plus vite
Surtout
Vers l'abîme qui ne s'évite
Comme les galaxies
Les individus aussi
Comme les comètes
Les personnes aussi
S'éloignant les unes des autres
S'évitant les unes les autres
D'autant plus vite
Qu'elles vont vite
Chaque être humain
Comme une planète
Chaque être humain
Comme une comète
Avec et sur son propre monde
Pourtant comme une même sonde
Non plus
D'un pays l'autre
Mais
D'une planète l'autre
D'une comète l'autre
Rien que sur la planète système Terre
Du futur déjà, mais aussi du naguère
Des vies dans le futur
Des vies dans le passé
Et au tout intriqué et mélangé
Comme des époques différentes
Dans une même époque sidérante !
Comme de l'anatomie comparée
De tout le vivant, existant ou ayant existé
Où tout peut, a pu, pourra, se retrouver
Du métamorphosé
Du transformé
Du spectaculaire intégré comparé
Selon chaque section du déterminé
L'on peut s'y faire piéger
L'on peut s'y damner
Pour un peu de célébrité
Cette illusion illusionnée
Chaque être humain
Est, étant sa propre vedette
Elle vit en permanence dans sa tête
Tout autre, connu ou inconnu, comme le pense-bête
Car les personnes connues
Sont toujours d'illustres inconnues
Ne se connaissant pas elles-mêmes
Et pour les autres, moi, toi, soi, il en va de même
Feu ( 1942 - 1969 ) Brian Jones, fondateur des Rolling Stones
Victime du Club des 27 ans
Du spectacle de la contestation
Du club des morts et mortes à 27 ans
Expropriation de la spectacularisation
Tout vedettariat est illusoire
Apparaissant, disparaissant
Au fil des siècles, au fil des ans
Ô vaste et dérisoire gloire
Ô vaste et dérisoire foire !
Durée très limitée
Très vite, oubliée
Un autre produit pour remplacer
Moins de durabilité
Que le plastique
120 nouvelles espèces sur un morceau de plastique
Moules, huîtres, poissons, au plastique
Du nanoplastique
Du microplastique
Du macroplastique
Sur et dans la terre
Sur et dans la mer
Des océans à nos estomacs
Cinquante milliards de morceaux de plastique
Océans, mers, en nos terres
99 pour cent comme un disparu
Et donc, surtout, il est, il sera, il fut
En intégration dans le vivant
En principal composant de tout le vivant
Au tout jetable
Au tout minable
Un million d'oiseaux marins
Meurent, chaque année, par du plastique, avalé
De l'espèce humaine et de sa toxicité
Un million de requins
Massacrés, chaque année
Ailerons coupés
Puis, à la mer, rejetés
Donc, encore vivants
Donc, encore souffrants
Sans entendre leurs hurlements
Et au fond des mers, qui vont, coulant
De l'inhumanité
De la cruauté
De la monstruosité
En toute exemplarité
Car, comme cela, tout est organisé
Et chaque vie, humaine ou non humaine, qui en vit, l'atrocité !
 
Patrice Faubert ( 2021) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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De l'analgésie sociétale

3 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Analgésie congénitale
Analgésie psychologique
De l'autre
Pour l'autre
En l'autre
Analgésie économique
Analgésie politique
Ou alors
Pour son propre cas
Et non pour tous les autres cas
De la corporation identitaire
De certaines manifestations réactionnaires
De l'individualisme identitaire
Et chacun pour sa gueule
Et chacune pour sa gueule
Voilà ce qui fait loi
Voilà ce qui fait foi
Comme aussi ce qui permet
Toutes les inégalités, tous les méfaits
Du moment
Que l'on n'y est
Du moment
En analgésie du fait
Et tout est permis
De toutes les saloperies
De toutes les douleurs de la vie
De toutes les souffrances de la vie !
De la solidarité
Uniquement
Pour son groupe
Pour son sous-groupe
Et par religion
Et par idéologie
Et par intérêt
Quand seul, son propre intérêt, devient vrai
Et par croyance
Et par ignorance
Par région
Par pays et par corporation
Sinon
Aucune vraie solidarité
Pour la simple dignité
Ou alors, au mieux, très parcellarisée
Aucune liberté
Aucune égalité
Aucune fraternité
Quand
Tout est sans liberté
Quand
Quand tout est sans égalité
Quand
Tout est sans fraternité
Ainsi
En France, chaque année
60.000 hectares de terres agricoles
Tout se tient, quand on s'y colle
En immeubles, routes, parkings
Centres commerciaux, et autres loopings
Des terres agricoles transformées
Du béton, par seconde, dix neuf mètres carrés
Comme si toutes les six années
Le département du Rhône, de la carte française, était rayé !
La techno-écologie
Supplantant l'agroécologie
Comme
Toute révolution
Est confisquée par ses gardiennes et ses gardiens
Or, la révolution
Ne doit surtout pas être gardée
Elle est contre toute prison
Elle est contre toute représentativité
Elle ne veut ni geôlière, ni geôlier
Elle est contre tout nationalisme
Elle est contre tout étatisme
Elle est sans religion
Elle est sans idéologie
Elle est sans aucun chef
Elle est sans leader, derechef
Elle est sans racisme ni xénophobie
Sinon
C'est la révolution de la réaction
Fausse révolution et vraie réaction
C'est la révolution nationale
Cela n'est toujours que la révolution du capital
La révolution révolutionnaire
N'est pas la révolution réactionnaire
Et de l'ancêtre commun du vivant
De l'unicellulaire
Au pluricellulaire
Tout en un, tout est un
S'adaptant
Au temps de son environnement
De l'univers
Du multivers
Avec le temps de l'analgésie psychologique
De toute une éducation sadique
Rien qu'en exemple pris
Ou sur tout ou presque, est dit
Du sous-marin géant, russe, ainsi
Poséidon, qui de l'océan, surgit
178 mètres de long, et à hier, tout confort, et qui bondit
Du drone nucléaire
Prêt à bondir
Prêt à partir
Toute une analgésie d'école
S'apprenant comme des cabrioles
Fomentant
De génération en génération
Toute une normalité d'analgésisation
Toutes les guerres
Toutes les atrocités
Toutes les insensibilités
Tous les conflits
Toutes les indifférences bénies
Et surtout
Tant que cela ne nous touche pas
Personnellement, n'est-ce pas ?
Alors, l'on s'en fiche bien, n'est-ce pas ?
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique des mémoires artificielles

1 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout se contente d'être
En sexualité
En toute autre activité
Mais l'être humain
Dans sa manie acquise
Sous sa moralité banquise
Veut tout interpréter
Veut tout moraliser
Cependant
Que rien n'est beau
Que rien n'est laid
Ou, par rapport à qui ?
Ou, par rapport à quoi ?
Sauf, le meurtre de l'autre
Car, tout est, tout se fait, tout sera fait
Lieux, temps, époques
Avec qui vont avec, les défroques
Tout individu, par, avec, les autres
N'est pas n'importe qui
En effet, justement, il n'est que lui
Toute personne, par, avec, les autres
N'est pas n'importe qui
En effet, justement, elle n'est qu'elle
Mais
Tout, et dans tous les domaines
A été fait, se fait, sera fait
Dans l'ordre
Dans le désordre
L'entropie de l'anarchie
L'anarchie de l'entropie
Tout se produisant
Tout se reproduisant
Indifféremment ou différemment !
Ainsi sur Terre
Ainsi dans l'univers
Ainsi dans le plurivers
Et une étoile sur quatre
Aurait une planète similaire
Ou s'approchant du système Terre
Déjà, au fur et à mesure
Passé, présent, futur
Mémoires artificielles
Vaisseaux spatiaux automatisés
Pour l'univers, pouvoir l'explorer
Nouveaux propulseurs inventés
Avec le plus souvent
Plus aucun être vivant
Pour s'en émerveiller ou le constater
Et si cela ne peut se faire
Avec l'imminent effondrement sur Terre
Cela a pu déjà se faire
Ailleurs, peut-être, souvent, dans l'univers
Des mémoires artificielles
Se substituant aux mémoires naturelles
C'est déjà le cas à une autre échelle
Infinité des mondes
Mondes de l'infinité
De la mort et de la naissance
De la fusion nucléaire
Pour vraiment s'envoyer en l'air
Avec des machines complètement automatisées
Avec des machines complètement autonomisées
Avec des robots aux formes personnalisées
Mémoires artificielles
Visitant d'autres mondes
Ne rencontrant que des sondes
L'artificiel à la recherche du vivant !
Et quand sera mort, et depuis longtemps
Le dernier ingénieur, le dernier savant
Sidération du phénomène
Phénomène de sidération
Paradigme se généralisant
Comme en France
Tous les quatre jours, un enfant
Sous les coups de ses parents
Se mourant
Comme au tout se mélangeant
En plusieurs temps
Car seule l'anarchie serait l'harmonie, au tout unifiant
Quand chaque niveau d'organisation, de l'autre, est ignorant
Avec des technologies qui font foin
Pourtant, si loin
Des gens et de leur routine au quotidien
Alors que par contraste
1920, la femme avec sa nouvelle longévité
Avec la ménopause, de ce fait, enfin identifiée
Vieillissement naturel en premier
1960
De la maladie
De l'hormonale pathologie
Et avec l'orque, le dauphin pilote
La femme aussi se ménopause
Et à 52 ans, en moyenne, elle prend la pause
Pression de sélection
Des jeunes et de l'éducation
Il y a toujours, à tout, des raisons
Et puis
La fabrication de la maladie
La maladie en fabrication
Pharmacie en industrialisation
Tout un marché de haute consommation !
D'un temps l'autre
Tout devient
Du déguisement
Du travestissement
Car, tout est du déguisement
Car, tout est du travestissement
D'un lieu l'autre
D'une mode l'autre
D'une époque l'autre
Comme pour les idées
Comme pour les sexualités
Comme pour la politique
Comme pour l'économique
En rien, il n'existe de normalité
L'assassinat de l'autre, excepté
Comme au Mexique
Tant de disparus, tant de tués
Depuis 1964, 78201 personnes disparues
En réalité, torturées, exécutées
Enfants, femmes, hommes
De tout un système qui dégomme
Mafia, police, armée
Et d'un temps d'horreur, l'autre
Bénéfices nets, deuxième trimestre 2021
Apple, Microsoft, Google, sans rigoler
57 milliards de dollars cumulés
En son origine, le machinisme devait tout emporter
Surtout capable, sans cesse, de se répliquer
Et même Arenicola marina
Ver de vase marin, voilà
De son sang, l'utiliser
Pour du cyborg futur, le théoriser !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Pouzzolane d'impuissance généralisée

21 Août 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Du calame
Des tablettes d'argile
Des plumes d'oiseaux
Parchemins en peaux de bêtes
Du papier
En écorce de Mûrier
Chine
Puis les arabes
Puis l'Europe en fit son rab
Dans un temps
Et bien avant
Ou tout récent
Les catastrophes chimiques
Bhopal, trois décembre 1984
Pour beaucoup, une horrible fin
Un clin d'oeil orwellien
Donc, de la catastrophe chimique
Avec des déchets toxiques
358.000 personnes blessées
3828 personnes mortes
Chiffre officiel
Chiffre superficiel
Car, en réalité
Un bilan largement sous-estimé
Il y eut des dizaines de milliers de personnes décédées
Il y eut des centaines de milliers de personnes blessées
Sur le moment et bien après, c'est forcé !
Avec toute une région de l'Inde, contaminée
Et pour encore et encore, des années
Anomalie des naissances
Anomalie des convenances
Anomalie des décences
Le capital s'organisant
Le système monde se structurant
Dans d'inévitables catastrophes
Dans tous les pays, c'est comme en apostrophe
Les films catastrophes, les prévoyant
Les films zombies, filmant nos vies
Avec déjà
Toute une toxicologie des particules émises
Dont, la plupart, ne sont même pas permises
Et chaque pays
Espionnant, ou ayant espionné
Un autre pays
Présent, futur, passé
De l'industrie au militaire
Avec bien d'autres similaires
Tout est du trafiqué
Tout surtout, doit être bien emballé
Tout surtout, doit être bien présenté
Sels nitrités
Et la charcuterie devient bien rosée
Avec de futurs cancers provoqués
Et dans une organisation du malsain
Plus rien ne peut-être sain
Plus rien n'y est anodin
Feux des cheminées, bois de chauffage
Suies, particules fines, la pollution a la rage !
Et avec l'Arctique
Et avec l'Antarctique
De nouveaux bilans critiques
Tout un futur tragique
Toute vie s'étrique
Quand tout est un coup de trique
Rien ne sert à rien
Tout sert à tout
Le tout du rien
Le rien du tout
Toute une impuissance généralisée
Tout s'explosant dans chaque cas particulier
Chacun, chacune, enfermement dans ses idées
De tout ce qui peut nous gratifier
Nous sommes des pantins articulés
Et toujours, punir, sévir, contrôler, surveiller
De ce qui de la norme, voudrait s'éloigner
France : 326 policiers pour 100.000 personnes
Europe : 318 policiers pour 100.000 personnes
Certes, c'est une moyenne
Avec en chaque tête, l'oppression qui nous mène
D'une façon l'autre, il faut passer à la caisse
Louer, vendre, sa tête, ses muscles, ses fesses
Ce que l'on peut, ce qui fait sa messe
Chaque être humain est tenu en laisse
Par les lois du marché, par les lois du système capital
Par les lois des diverses multinationales transnationales
Nous en sommes les cellules, nous en sommes les cales
Mais aucune organisation sociale
Surtout dans la terreur permanente immorale
N'est une pouzzolane
Ce fameux ciment romain, tuf, béton
Pouvant durer 2000 ans, et selon
Mais de la raison, disparaît, et discrètement, tout fan
Les puissances politiques de la désunion
Les désunions politiques des puissances !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Sanitarisme en flux et reflux

13 Août 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Le sanitarisme
L'écologisme
Le mondialisme
Nous récoltons
Ce que que nous semons
Quand il faudrait
Désinfecter nos cerveaux
Du tout sot
Du tout idiot
De tout autre
L'on se méfie
Quand tout autre
Peut-être l'ennemi
Quand la virologie
Se substitue à l'idéologie
Quand la pharmacie
Se renie de l'herboristerie
Et en 1941
Furent supprimées 4500 herboristeries, sous Pétain
Et ainsi, en deux mille vingt
Quelques dizaines d'herboristes rescapés
Non reconnus mais néanmoins diplômés
Mais en tous domaines
Mais en toutes choses
Seule la compétence devrait primer
Avec ou sans diplôme
Quand seule la praxis fait binôme !
Et au fond
Chaque personne étant l'unicité
C'est par elle et c'est selon
Que tout peut exister
Que tout peut s'annihiler
Nous naissons
Et tout se met à vivre
Nous mourons
Et tout se met à ne plus vivre
Du point de l'unicité
Du point de l'individualité
Tu n'existes que par moi
Je n'existe que par toi
Tuer l'autre, c'est se tuer soi
Il faut enfin extraire
De la pensée, les propriétaires
Les propriétaires
De l'administration de la vie
La vie de l'administration
Des propriétaires
Aujourd'hui, demain, hier
Et pas seulement, la propriété immobilière
Promoteurs du secteur de l'immobilier
De la crapulerie, de l'escroquerie
Foutage de gueule, loyers abusifs
Même au-dessus des lois, mépris excessif
Car se loger
Est pour tous et toutes, de première nécessité
Trop de gens sans logement personnel
Pauvres, précaires, SDF, s'y mêlent !
Hier, du contrôle postal
En temps de guerre, surveiller, des populations, le moral
En France, la température des troupes
De nos jours, le sondage, le thermomètre des groupes
L'énergie de l'être humain
Est déjà utilisée
L'urine, les excréments, du pacifique, du malin
Voilà du bon engrais
Donnant toujours de bons effets
Toute une alchimie
En harmonie avec dame anarchie
Le sperme des hommes
Le lait des femmes
La sueur, le sang
Un autre fonctionnement usuel
Pour d'autres médicaments naturels
Comme pour la dysphorie de genre
Et qui sur la réalité de l'être se tord
L'on devrait pouvoir se vêtir
Comme l'on veut, comme l'on peut
Et sur sa génitalité ne pas avoir à mentir
Et pouvoir changer de sexe
Sans que personne ne s'en vexe
Car il y a plus de pas en arrière
Que de pas en avant, peuchère
Comme jadis, le désastreux grand bond en avant
Sous le tyran Mao, en 1958, 60 millions de décès en cinq ans
Flânerie d'hier par l'esprit
De la conversation, de la promenade
Mais tout ceci est fini
Ou rimant avec galéjade !
Flânerie d'aujourd'hui informatisée
221 clics par jour et par personne, recensés
Et malgré toute notre technologie idolâtrée et déifiée
Un évènement de Carrington pourrait se répéter
Comme en 1859, la fameuse tempête solaire
Tout pouvant se réactualiser et se refaire
Toutes les télécommunications perturbées
De l'électricité et son tout associé
Tout pouvant se reproduire, présent du passé
Autres temps, autres lieux, avec encore plus d'acuité !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Contrôle cynégétique ( tag : patrice faubert )

7 Août 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Détour par le futur :

De 1985 à 2021
Pour du voyage dans le temps
Du passé au futur
Du futur au passé
Du contrôle cyber informatique
Du contrôle cynégétique
Et pour me lire, sans de l'intempestif publicitaire
Sur tous les sites en inflationnaire
Il faut tapoter ( tag : patrice faubert  )
Pour que le lait sorte des roberts
Du raccourci pour mieux faire
Et je ne vais pas sur instagram
Sordide vengeance réactionnaire, certes, sans drame
Car, je suis hétérosexuel
Mais tout se vaut, néanmoins, dans le sexuel

Retour vers le passé :

Si l'on ne travaillait plus
Et bien, et bien
De guerre, il n'y aurait plus
Et le teint serait ravi et coquin
Si le métropolitain était gratuit
Si le train était gratuit
Cela reviendrait d'une moindre cherté
Que de le faire payer
C'est toujours la logistique
Du contrôle cynégétique
Qui affame toute logique
Et c'est une ineptie aberrée
C'est comme le chômage
Que la logistique, encore une fois
Met en cage
C'est encore son contrôle, qui provoque l'effroi
Alors, qu'il suffirait de distribuer
Alors, qu'il suffirait de partager
Et sans aucune logistique
Et sans aucune statistique
Tout le monde s'y retrouverait
Tout le monde s'y épanouirait

Patrice Faubert ( 1985 et 2021 ) pouète, peuète, puète, paraphysicien

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Catafalque gnomique

5 Août 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Environ quatre vingt quinze
Pour cent de notre univers
Est comme inconnu
Plus encore que caché, c'est connu
Quatre vingt quinze
Pour cent de notre comportement
Est automatisé
Enfants
Hommes
Femmes
Tout est pantin
Tout est mesquin
Aucune femme n'est libérée
Aucun homme n'est libéré
Aucun enfant n'est libéré
Déterminismes sociaux et culturels
Automatismes sociaux et culturels
Selon les temps
Selon les pays
La prison de nos automatismes
La prison de nos déterminismes
Le savoir
Pour le croire
Pour pouvoir, un peu, s'en échapper
Pour un peu plus les utiliser !
Il se voit partout, l'effondrement
Mais pas comme dans l'ancien temps
An 79 de notre ère
Quelque part sur la planète Terre
Herculanum, Pompéi
Quand le Vésuve rugit
Et là encore
Malgré tout, d'abord
Le spectacle au tout Debord
Les riches, mieux, s'en sortirent
Les pauvres ne furent que soupirs
Enfin, un peu moins, un peu mieux
Et en géologie, cela n'est pas vieux
Quand Néron
S'éclairait à la chrétienté
Devenue les lumières de l'impériale cité
Torches humaines, huilées, hurlantes
Torches humaines, vivantes
Mais hélas, la victime, souvent, devient bourreau
De la reproduction
De la perpétuation
Du tout monde, tout devenu salaud
Mais, si Rome, jadis, brûla
Cela ne fut pas par Néron
Mais un accident, voilà
Et toute une  construction, permit au feu, sa propagation
Du bois, de la pierre, feux géants, déjà, et les revoilà !
Chaque époque
Avec sa propre glottophobie
Alors que :
La diffusion de la science
La diffusion de l'Histoire
La diffusion des informations
Vraies ou fausses
Fausses ou vraies
En une vérité de l'abstrait
Ainsi
De la bipédie
Qui serait née des eaux
De son expérience idiosyncrasique, de sa théorie
Chaque scientifique y allant, une sorte d'infini
Mais
Comme la marchandise
Nourrit la marchandise
La pollution
Nourrit la pollution
La répression
Nourrit la répression
Le mal-être
Nourrit le mal-être
L'ignorance
Nourrit l'ignorance
Mais nous sommes dans l'ignorance
D'être dans l'ignorance
Nouvelles énergies
De nouveaux déchets
Et les déchets nourrissent les déchets
Chaque anomalie
En fanfare d'une autre anomalie
Car le monde, lui-même, est une anomalie !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du passeport vaccinal

1 Août 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Slogan subliminal
Slogan devenu banal
Le pouvoir en rêvait
Le virus l'a fait
Du contrôle
S'ajoutant au contrôle
Du passeport vaccinal
Comme obligatoire
Avec du faux dérogatoire
Avec tout gouvernement en oratoire
Sans le faire croire
Sinon, comme en taule, le mal par le mal
Avec toujours du faux provisoire
Et de la prison
Et dans toute maison
Une même fonction
Devenir son propre maton
Du monde
Comme une gigantesque prison
Du monde
Comme un gigantesque hôpital psychiatrique
Du surveillant
Du médicament
Religion du catastrophique
Nouveaux mutants
Nouveaux variants
Nouveaux vaccins
Tout recommencer
Tout contrôler
Une histoire sans fin, du pur sisyphéen !
De nouvelles données aliénées
Pour contre le capital, lutter
Avec un contrôle
Qui se répartit les rôles
Et est lui-même contrôlé
Journaux, les télés, les radios, le cinéma
La science, la technologie, et tout le tralala
Tout pouvant s'interpréter
Tout pouvant se récupérer
Ainsi
Dans un même courant politique
De la division
De l'opposition
Extrême droite du capital
Extrême gauche du capital
Droite du capital
Gauche du capital
En centre de gravité du capital
Mais avec dans chaque camp
Cela peut paraître surprenant
L'extrême droite du capital
Pour ou contre le port du masque
L'extrême gauche du capital
Pour ou contre le port du masque
La droite du capital
Pour ou contre le port du masque
La gauche du capital
Pour ou contre le port du masque !
Et pour ou contre
Le passeport vaccinal
De toutes les droites du capital
Et tout pouvoir gouvernemental
En rêvait
Le virus l'a fait
Jamais
Ne furent autant divisées
Ne furent autant mélangées
Toutes les fractions politiques du capital
Qui peut, de ce fait, s'en trouver unifié
Mais avec des objectifs divergents
Mais avec des moyens différents
Et cela n'est pas étonnant
Si les fascistes
Traitent les autres de fascistes
Et cela n'est pas étonnant
Si les nazis
Traitent les autres de nazis
Et dans l'amalgamisme confusionnel
Seul l'état présent des choses reste fusionnel
Quand tout devient de l'incongruité
Avec de la peur conditionnée
Bien entretenue par les télés
De l'arbitraire et de l'exterminé
Comme avec la zoonose pour tout justifier !
Exit le pangolin
Ou tout autre margoulin
Voilà le vison d'élevage
Moins spécieux, nonobstant, que l'intellectualisme d'élevage
15 à 20 millions de visons liquidés
Bientôt le furet
Poules, canards, poulets
Cela se fait
Cela a déjà été fait
Cela sera fait
Or, toute forme de vie
Humaine, non-humaine, mérite le respect
Ou du moins, devrait mériter le respect
Le secret des sources
Les sources du secret
Le besoin d'avouer
Le besoin de raconter
Comme un seul et même objet
Avec un présentiel
Sans aucun prudentiel
Comme l'abomination du tourisme spatial
Avec toute une cohorte de pollution spatiale
Avec de plus en plus d'ouragans
De décoller, les fusées, les empêchant
Plus rien n'est vernaculaire
Quand l'organisation présente du monde, s'effondre, tentaculaire
Les affres de l'incertitude
D'un monde inerte de toute quiétude
Avec le tabou de la surpopulation
Avec la grève des ventres femmes, en possible solution !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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