Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
patrice.faubert.over-blog.com
Articles récents

Paraphysique de l'aposématisme

4 Juillet 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

" Renversant une formule fameuse de Hegel, je notais déjà en 1967 que " dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux " . Les années passées depuis ont montré les progrès de ce principe dans chaque domaine particulier, sans exception. Le point culminant est sans doute atteint par le risible faux bureaucratique chinois des grandes statues de la vaste armée industrielle du Premier Empereur, que tant d'hommes d'Etat en voyage ont été conviés à admirer in situ. cela prouve donc, puisque l'on a pu se moquer d'eux si cruellement, qu'aucun ne disposait, dans la masse de tous leurs conseillers d'Etat, d'un seul individu qui connaisse l'histoire de l'art, en Chine ou hors de Chine. "

Commentaires sur la société du spectacle ( 1988 )
Guy Debord ( 1931- 1994 )

La plupart des restaurants
Ont une bouffe dégueulasse
Qui méprisent les gens
Qui avec des clients de passage, jamais, ne, se lassent
Jamais vraiment d'habitués
Des occasionnels qui se font escroquer
Surtout les touristes, à la mine soumise
Pour tout avaler, comme à l'église
Et en plus, il faut payer
Prendre le risque, de la merde, devoir la manger
Et rare qui ose protester
Car le touriste ne fait que passer
C'est le bal du capital
Mer, campagne, ville, c'est sa tunique normale
Et même en y mettant le prix
Dans les assiettes, c'est souvent du mépris
Et il n'y a pas d'aposématisme
Flagrant et manifeste dans le capitalisme !
C'est une signalisation uniforme
Où tout semble dans la norme
Le danger y est comme une subtilité
Qui est la subtilité du danger
Dès le berceau, dès les premières années
L'être humain ressent le besoin de caresses, de baisers
Qu'on lui parle, l'envie de soins attentionnés
Sinon
Cela fait des tyrans, des guerriers
Sinon
Cela fait des patrons, des ouvriers
Sinon
Cela fait des dominants et des dominés
Femmes, enfants, hommes, le tout imbriqué
Ainsi donc, tout s'explique
Exploitation, compétition, oppression, toute la clique
Pourtant, nous sommes obligés de nous aider
Car il en va de nos sécurités !
Et au niveau de l'affectivité
Le système limbique de l'orque est plus raffiné
Dans les aquariums géants, l'orque est maltraitée
Et qui excédée peut finir par tuer
25 à 35 ans en captivité
60 à 100 ans en liberté
Bébés orques volés à leurs parents
Pour en faire des vedettes de cirque, c'est navrant
Et tout cela pour faire de l'argent !
Les animaux sont mélangés
Pas le même langage codé
Pas la même culture, la même dynamique
Le matriarcat pas respecté, c'est tragique !
Et nous sommes à la fois une minorité
Et nous sommes à la fois une majorité
Dans le monde, 285 millions de déficients visuels
C'est toi, moi, ils, eux, elles
3,3 millions de décès inhérents à l'alcool
En 2012 et 200 maladies liées à la consommation d'alcool
Même si la moitié de la population mondiale
Est abstème, pour diverses raisons générales
Majorité d'une minorité
Minorité d'une majorité
Tout être humain y est mélangé !
Comme le Sahara, qui était vert
Il y a plusieurs milliers d'années
Très vite, sont changés nos repères
Car, lacs, girafes, éléphants, tortues, pendant 5000 années
Et des êtres humains grands et robustes, 2 mètres de haut
Oui, le vrai est un moment du faux
Et maintenant, plus de terroir
Cela commence à se savoir
3, 4, 5 pesticides pour les fraises
Et l'agriculture intensive toujours à l'aise
L'on en fait aujourd'hui des thèses
Les gens veulent de la sécurité
Au détriment de toute liberté
Avoir des enfants, se marier
A l'idéologie dominante, se conformer
Regarder le football à la télé
Avec des matchs forcément truqués
C'est du théâtre, par un metteur en scène, arrangé
Et à la fin, pour le capital, c'est gagné
Comme les fausses statues, les faux tableaux
Partout se répand le faux !
Ah ! du saumon à l'éthoxyquine
Et la publicité qui ment, si coquine
Comme les services de Bouygues, c'est fou
Même pas à l'heure, ou absents à des rendez-vous
Ces gens-là se fichent de nous
Et la sous-traitance, pire que tout !
A la campagne, en province
Pour le croire, l'on se pince
Bouffe infecte, tout pour Rungis, tout pour Paris
Où les très grandes villes
Pareil pour les soins, c'est aussi mince
Là où on paye le mieux, tout pour Paris
Certes, pour la qualité de vie, Paris, c'est pourri !
Sinon, c'est pour les pauvres, les paysans
Des miettes, le moins bon, le moins qualifié, c'est charmant !
Toujours le centralisme étatique
Le jacobinisme du fric, aucune éthique
L'incompétence généralisée
La fausse conscience peut triompher !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Les compétitions

28 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Pas d'amitié dans la compétition
Pas d'amour dans la compétition
Pas d'amour dans la rivalité
Pas d'amitié dans la duplicité
Rien de partagé dans l'adversité !
Et comme tout est compétition
Et comme tout est comparaison
Concours de peinture
Concours de poésie
Concours de sport
Concours de travail
Concours de chômage
Concours de culture
Concours de cinéma
Concours de sexe
Concours de sagesse
Concours de ceci
Concours de cela
C'est fatiguant les autres
C'est angoissant les autres
C'est oppressant les autres
Tout autre que soi
Est un rival ou une rivale
Tout autre que soi
Est un adversaire ou une adversaire
C'est la compétition
C'est la comparaison
Pas d'amitié, pas d'amour
Dans cette société
Spectaculaire marchande techno-industrielle
Pas d'amitié, pas d'amour
Rivalités, jalousies
Pour nous, eux et elles
La compétition est toujours laide
La rivalité est toujours idiote
Tous et toutes les autres
Voulant dominer
C'est fatiguant, c'est lassant
Les autres
Quand c'est dans l'adversité ou la compétition
Là où il n'y a aucune vraie communication
Alors que dans l'empathie et l'entraide, ce serait si bon !

Patrice Faubert ( 2011 ) pouète, peuète, puète, paraphysicien

Lire la suite

Trucage du dopage

24 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

En 1971, en Martinique, de jeunes marxistes-léninistes
Des lycéens et d’autres, voulurent admirer le roi Pelé, sans payer
Pour son numéro 1000, un record, match de football pour le fêter
Mais trop pauvres pour payer
Ils voulurent la gratuité
D’où des révoltes et manifestations dans la rue
Le football qui politise, du jamais vu !
Et c’est la télévision qui finit par tout orchestrer
Le pouvoir craignit une émeute généralisée
Une radicalisation qui aurait pu lui échapper !
Le football si spectaculaire
Tumescence de tous les réactionnaires
Est le jeu du spectaculaire intégré
L’énergie peste émotionnelle, il sait récupérer
Comme en mai 1992 à Furiani, 22 ans, déjà
A Bastia, le match Marseille contre Bastia
J’étais à Tasso, village de Corse
Et à l’avance, j’avais prévu, avec d’autres, la tragédie
Pas difficile, inutile de bomber le torse
Tout à la va-vite, construit
Le fric avant la vie !
Et le maire de Tasso, qui sortait de prison
A l’époque, une corse était ma mie
Avec cette compagne, une Salinesi, au restaurant, nous étions
Et nous ne payâmes rien, ce fut gratuit
Le maire Jeannot Tomi fêtait sa sortie de prison
Et considérant, par le bruit qu’il fit
Nous avoir dérangés
Ainsi, ne nous fit pas payer !
Le frère de Michel Tomi, l’actuel parrain corse
A l’époque, j’étais candide de cette occulte force !
Des anecdotes
Tout est poison, tout est antidote
Le capital connaît ses dotes
Tout le sert, même les fausses notes !
Extravagante aséité
A l’infini toujours multiplié
Tout est sans doute rêvé
La vache rêve
La poule rêve
25 minutes par nuit toutes les deux
Le chat deux cent minutes par nuit
L’être humain 90 minutes par nuit
Ne pas dormir ni rêver, le cerveau en feu
Comme la torture à Guantànamo
Par des militaires américains, des salauds
Et même pas de vrais djihadistes
Des bavures, des erreurs, du pouvoir impérialiste
Au mauvais endroit, au mauvais moment
La statistique de tous les tyrans
J’ose l’écrire, je suis un insolent !
Et toujours l’isolement
La privation de sommeil
Soit plus subtilement soit plus manifestement
Pour faire parler des gens
La torture c’est toujours pareil
Et pour torturer des gens, il faut être dément !
Autre torture du corps, la compétition sportive est truquée
Et de loin, le football vient en premier
Comme en boxe anglaise, tout peut s’arranger
Tous les historiens du sport peuvent en témoigner !
Car, c’est la manifestation de l’économie
De la politique et de sa réglementation
Il faut en convenir, aujourd’hui
Le dictateur ne dit plus, l’Uruguay doit gagner
Le dictateur ne dit plus, l’Italie doit gagner
Comme dans les années 30, en effet
C’est devenu plus fin, beaucoup moins niais
Organiser les groupes d’équipes, déstabiliser les joueurs
Instrumentaliser ou manipuler les arbitres, propager des rumeurs
Et puis le meilleur entraînement, le meilleur équipement
Ainsi, tout est faux, tout résultat ment !
L’organisation du trucage
Est le trucage de l’organisation
Dans la plupart des sports avec des compétitions
Inévitablement, de toutes façons
La politique du sport
Est le sport de la vie économique
Dopage, trucage, fric
Dirigeants corrompus, les détournements de fonds, en sport, en politique
Toujours des gagnantes, toujours des gagnants
Et donc des perdantes, des perdants
Et le sport est la continuation de la guerre en temps de paix
Pas de sport en temps de guerre, plus besoin de son effet
Notre société est un immense hôpital
Où l’on contracte des maladies nosocomiales
Rien de nouveau, en vérité
Simplement, on commence à en parler
Mais de plus en plus difficile à traiter
Les bactéries sont de grande adaptabilité
Avec le grand sachem, le staphylocoque doré !
Comme nous nous habituons
Aux marchandises médiocres que nous achetons
Souvent, cela ne vaut rien
Pas fait pour durer, vite usé, du jetable
Jour après jour, de plus en plus lamentable !
Et puis le peu que nous avons
L’apprécier, nous ne savons
De même que nous ignorons
Les dessous abominables de la répression et de l’exploitation
Nous sommes toujours naïfs
De la criminalité économique, de toutes les atrocités
De l’ignorance nous sommes les natifs
Et toujours à côté du monde et de ses réalités
Suicides, accidents du travail, frustrations, dépressions, folies
Le capital est l’ennemi de la vie
Et si nous le savions vraiment, dans nos chairs
Nous mourrions dans l’instant, le mensonge se fait traire
Et nos vies ont pour seules rentes
De la terreur et de l’épouvante !
Rien n’est pourtant véritablement scotomisé
Il suffit de lire, d’écouter, de s’informer
Car le secret du spectacle du monde
Est devenu le spectacle du secret du monde
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Comme le football et autres jeux du capital
Est une peste émotionnelle, une cuirasse caractérielle
Partout l’on peut entendre ses râles !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Paraphysique du numérique

19 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Certes, cela paraît pompeux
Nonobstant, je suis un pou, un pu, un peu
Quelqu'un qui ne sait rien
Et donc, vraiment, un paraphysicien
L'autorité se manifeste
Manifestement ou subtilement
Un libertaire politique peut-être autoritaire
Dans la vie de tous les jours
Un autoritaire politique peut-être non autoritaire
Dans la vie de tous les jours
Et toutes sortes de variantes
Qui ont des suites, des précédentes
Les personnalités
Ne sont pas forcément comme les idées
Dans la façon de les exprimer
Mais l'être humain est programmé
Pour qu'on lui appartienne et pour appartenir
Ma femme, mon mari, mes enfants, mon, ma, défense d'en rire
Se croire individualiste ou collectiviste
En réalité, un même mimétisme !
Et la particule de la physique quantique
N'est pas dans notre monde sociologique
Même si tout est du vide quantique
La nature est un jeu d'hormones
Que la culture humaine rend aphone
La plupart des animaux sont bisexuels
La culture le cache, la nature en fait le rappel
Comme 50 pour cent des papillons
Qui sont 10 pour cent des insectes
En voie de disparition
Vraiment, l'industrialisation, c'est infect !
Pourtant déjà là, il y a 190 millions d'années
Et le salage des routes pour l'amplifier
Comme pour le reste de la biodiversité
De nos 11000 langues sur Terre, apparues
Et où partout l'on se tue
Comme chaque corporation de métier
Qui fait grève de son côté
Ce qui ne peut que diviser
Au lieu d'une grève générale unifiée
Expropriation des profits, pour se réapproprier
Transports gratuits, logements gratuits, tout au coût réel
Enfin l'anarchie, enfin la vie belle
A la mort, enfin des rebelles, pour la vie délivrée
N'importe qui pourrait intervenir
N'importe quand, à la radio, à la télé
Dans un premier temps, sans se faire bannir
Voilà la seule aventure qui vaille la peine
Le nouveau sang social dans les veines
Enfin le rythme biologique
Et plus aucun temps économique
C'est la vie aliénée
Qui fait les cancers, la plupart des maladies
Par des cancérologues, par des médecins, cela est dit aussi !
L'enfer n'existe que sur la planète Terre
La recherche de dominance en est la propriétaire
Certes, mais si nous inventions une nouvelle danse ?
La danse de l'esprit pour une inédite transe
D'être un spéculatif
A nos yeux, je suis fautif
La plupart des gens, un autre monde, ne peuvent imaginer
Car l'imagination est captée et castrée
Et nous passons nos journées
A nous créer des problèmes, à nous gâcher
Absolument TOUT est payant, aucune gratuité
Riches ou pauvres, nos vies sont torturées
Menottes en or ou en ferraille, mais menottés !
Tout ceci, j'en suis conscient
Ne rentre pas dans notre signifiant
Et pas seulement, gauche, droite, des divers fascismes
Tous les racismes, tous les nationalismes
C'est la langue d'une autre planète
Qui vous fait passer pour niais, pour bête !
Et puis, toutes nos habitudes
Et puis, toutes nos certitudes
Alors
Qu'il ne faudrait aucune certitude
Alors
Qu'il ne faudrait aucune habitude
Vouloir être quelque chose et c'est fichu
De TOUT, douter, pour une nouvelle vue
Et tant de libertaires
Qui sont des autoritaires
Et tant de révolutionnaires
Qui sont des réactionnaires
Dans le monde de la séparation
Tout s'oppose, tout se complète, c'est une fusion
La révolution restreinte est morte, à peine née
La révolution de la révolution doit se généraliser
Pour ne plus jamais s'arrêter !
Avec la désuétude orchestrée et planifiée
Cette obsolescence programmée
L'incompétence sera généralisée
Et les gens ne sauront plus travailler
Et le salaire de la peur
Mauvais salaire, mauvais travail
Du sang, des larmes, de l'anxiété, de la sueur
Le travail salarié tisse toutes ses mailles !
La société entière est devenue un poison
Et dans son feu nous nous jetons
Et si nous n'avions pas nos béquilles
Nos cannes, nos artifices, nos jeux, nos hochets
Pour supporter nos vies frustrées, nos colifichets
Tant pour les garçons que pour les filles
Et donc nous avons des idéologies et des croyances
Des religions et des espérances
Sans lesquelles, nos cuirasses caractérielles s'effondreraient
Partout, nous en verrions les effets
Et justement, peut-être, enfin, la vie commencerait !
Plus rien à justifier, plus rien à prouver
Du monde numérique nous sommes les prisonniers
Dès l'école, smartphones, ordinateurs, tablettes
L'apprentissage électronique dans les têtes
Et tout ce que cela implique
Destruction et exploitation de la nature, une course fanatique
Pour tous les produits et déchets toxiques !
Et même avec ( 1950 ) le test de Turing
Dring, dring, dring
Il n'y a pas d'intelligence artificielle
Il n'y a que de la mémoire artificielle
L'espèce humaine n'est pas intelligente
Une machine n'est pas intelligente
Une machine copie des fonctions
De l'humain, de la nature, elle ne fait que des imitations
Mais c'est la propagande fasciste libérale à toutes les heures
Rien de plus con qu'un ordinateur
Pas d'affectivité, c'est un leurre
L'intelligence de la mémoire
N'est pas de l'intelligence, c'est de la mémoire
Et rien que de la mémoire
Nous sommes conditionnés et programmés
Comme des machines, à des activités spécialisées
Les machines électroniques sont aussi programmées
L'intelligence ne peut pas se conditionner ni se programmer
Par son absence, sur Terre, elle sait briller !
La mémoire humaine ou artificielle, seules, peuvent se programmer
Un programme n'est qu'un programme
Ni bête, ni intelligent, il fait ses gammes
Comme la coupe immonde de football au Brésil
157.000 flics et militaires, un tas d'imbéciles
Pour faire taire la pauvreté
Qui ose fièrement se révolter
Soit autant que les 157.000 soldats
Du 6 juin 1944, débarqués en France
Mais là, c'était contre le nazisme, aujourd'hui c'est pour la finance !
La guerre ne cesse jamais, du fusil au ballon de football
Jeux olymfrics, divers championnats, coupe immonde de football
Toujours 14/18, 700 km de tranchées, guerre de position
39/45, guerre de mouvement, le jour le plus long
Partout, des armes enfouies
Pour des milliers d'années, la guerre jamais n'est finie
Tous les jours, partout dans le monde, elle se poursuit !
Par le sport, par les arts, par la science, par la technologie
Par tout ce qui se fait, tout ce qui se dit
Par toutes nos activités de mépris
C'est bien autre chose encore que la pornographie !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Intransmissibilité paraphysique

17 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

" Le génie est fait de un pour cent d ' inspiration et de quatre vingt dix neuf pour cent de transpiration ."

Thomas Edison ( 1847 - 1931 )

C ' est une citation de Feu Thomas Edison et non de feu Louis - Ferdinand Céline ( 1894 - 1961 ) , comme je l ' avais cru , mea culpa donc , et c ' est " drôle " , car " Mea culpa " fut aussi le premier pamphlet de feu L.F . Céline ... et même si j ' apprécie le style inimitable de ce grand maître du " blabla " ( mot qu ' il inventa ), et contrairement à lui , je ne crois pas aux " races " , mais simplement au genre humain .

Poésie paraphysique sur les divers déterminismes qui nous meuvent , et sur la mise à l ' écart par les pouvoirs politiques , de la connaissance de celui qui régit tous les autres déterminismes , à savoir le déterminisme socioculturel ! tous les pouvoirs politiques ayant intérêt à faire croire à un " libre arbitre " , qui bien sûr , n ' existe pas ! cette notion de " libre arbitre " est instrumentalisée par les pouvoirs politiques pour asservir les peuples ...

Intransmissibilité des caractères acquis !

Oui le grand naturaliste feu le chevalier de Lamarck ( 1744-1829 ) s ’ est trompé en ce qui concerne les caractères acquis , ceux-ci étant complètement intransmissibles . Mais il reste le père de la formule excellente " Avec le temps , tout est possible , même l ’ invraisemblable ; et de temps , la nature ne manque pas . " Et sans le Mégazostrodon ( 200 millions d ’ années ) survivant de la grande extinction du permien , nous ne serions pas là , nous les humains . L ’ apparition et la disparition d ’ une espèce tenant à très peu de choses .

" La vérité est aux toilettes et elle n ’ a pas tiré la chasse ! la vérité c ’ est dégueulasse . "

Léo Ferré ( poète/chanteur ) 1916-1993

" La dominance consiste à faire aboutir son projet , sans que le projet de l ’ autre vienne vous emmerder ."

Henri Laborit ( Biologiste des comportements ) 1914 - 1995

" La liberté des autres étant la mienne à l ’ infini ."

M.A. Bakounine ( 1814-1876 ). ( Noble et théoricien de l ' anarchie )

Mais la " liberté " d ’ être riche , la " liberté " d ’ être pauvre , la " liberté " d ’ être nain , la " liberté " d ’ être géant , la " liberté " d ’ être exploiteur , la " liberté " d ’ être femme , la " liberté " d ’ être homme , la " liberté " de compétitionner , la " liberté " d ’ être beau , la " liberté " de naître , la " liberté " de mourir , la " liberté " de se suicider , la " liberté " d ’ être en liberté , la " liberté " ! la " liberté " de tout ce que vous voudrez ...

Il faudrait redéfinir ce mot , et essayer de voir clairement ce qui s ’ y cache derrière ... nous ne serons " libres " que quand nous saurons , justement , que nous ne le sommes pas ! il n ’ y a principalement que deux cerveaux qui se sont penchés et souvent , quitte à se répéter , sur cette question essentielle et fondamentale du concept de " liberté " , il s ’ agit de feu le grand philosophe Indien Jiddu Krishnamurti ( 1895-1986 ) et de feu le biologiste des comportements Henri Laborit ( 1914-1995 ) et bien qu ’ ils eurent des parcours complètement différents , ils arrivèrent cependant tous les deux à des conclusions similaires .

C ’ est comme le terme de rivalité , il ne peut y avoir ni amitié ni " amour " , dans la rivalité . Et l ’ on nous DRESSE , l ’ on appelle " éducation " ce qui n ’ est le plus souvent qu ’ un dressage , et dès le plus jeune âge à devenir des rivaux et des rivales . Pas nous ? pas vous ? vous croyez ? nous croyons ? regardez - vous , regardons - nous , autour de vous, autour de nous , 6000 guerres ces 6000 dernières années ... c ’ est pas de la détestation générale ? mais c ’ est par " amour " sans doute . C ’ est si souvent au nom de la " liberté " que l ’ on s ’ étripe " joyeusement " . La " liberté " dominance consiste en fait à faire aboutir son projet , sans que le projet de l ’ autre vienne vous emmerder . Et comme le projet des un(es) s ’ oppose le plus souvent aux projets des autres , c ’ est inévitablement la guerre .

Et c ’ est le plus fort qui " l ’ emporte " , autrefois le plus fort physiquement , de nos jours c ’ est le plus riche pécuniairement parlant . Alors que tout le monde pourrait jouer du violon , mais d ’ une façon différente , mais l ’ ACEDIA sécrétée par nos sociétés capitalistes délétères , chapeautée par la société spectaculaire marchande techno-industrielle , où tout le monde se ressemble et où tout est semblable .

Avec les mêmes ivresses , le football , ( cette peste émotionnelle ) , l ’ église , l ’ alcool , le militantisme , la religion , l ’ idéologie , les croyances , toutes ces pathologies sublimatrices qui sont le reflet d ’ une vie parfaitement absente .

Une absence de vie qui se reflète dans le langage revisité ou la novlangue capitaliste , nos " habits " conçus par nos nos 3 cerveaux ( par complexification successive au cours des âges de l ’ homme ) tant pour les hommes que pour les femmes , sont sans originalité . Ils reflètent les " habits " de nos 3 cerveaux bien dressés à être propres dans la société . Il est bien sur interdit de s ’ habiller de la façon dont on le souhaite ... essayez , vous verrez ! Il y a donc intransmissibilité des caractères acquis , et ce n ’ est pas parce que votre père était pianiste , que vous saurez jouer du piano . Pas parce que votre mère était couturière que vous saurez coudre . Ce qui se transmet , c ’ est la classe sociale . Les gènes ne codent que des protéines.

Et hélas, il faudra apprendre à jouer du piano , apprendre la maçonnerie , apprendre la soudure , apprendre la physique quantique , que son père soit ceci ou cela , idem pour la mère . C ’ est tellement simple , tellement évident ! et malgré tout , ces dernières décennies , le " tout génétique " nous revient du pays de l ’ impérialisme roi , les Etats -Unis d ’ Amérique .

Rappelons que s ’ il y a dans le cerveau humain environ 100 milliards de neurones et 1 million de milliards de connexions nerveuses , alors qu ’ il n ’ y a à peine que 24000 gènes ... et même pas, gènes qui ne codent que pour des protéines , avoir 5 doigts ( ou moins ) , avoir une tête , avoir deux pieds , avoir la forme d ’ un corps , mais les gènes ne servent à rien pour résoudre une intégrale . Tout étant un apprentissage . Bien sur , il faut aussi des gènes , mais laissons chaque niveau d ’ organisation à sa place ! et raisonnons désormais par niveau d'organisation . Des molécules , des cellules , des organites intracellulaires , de l ’ organe , de la fonction , de l ’ individu , du système solaire , de la galaxie , des amas de galaxies , des hyper amas de galaxies , de l ’ Univers , du MULTIVERS .

Un terme tout aussi connoté , est celui de " vulgarisation " , l ’ on devrait lui préférer celui de grande diffusion , car le terme de " vulgarisation " vulgarise aussi bien l ’ auteur que le lecteur/la lectrice . Nous ne savons rien , sans savoir pourquoi nous ne savons rien !

" Une balle dans la ventre , ça fait pas un héros , ça fait une péritonite . "

L.F. Céline ( 1894 - 1961 )

Patrice Faubert ( 2010 ) pouète, puète, peuète, paraphysicien

 

Lire la suite

Exuvie psychologique

14 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Les médicaments peuvent rendre folles et fous
Hier comme aujourd'hui, le même coût
Comme dans le film avec feu ( 1909-1984 ) James Mason, grand acteur
De la cortisone au REQUIP, même malheur
Et des comportements transformés
Le jeu, le sexe, la mégalomanie
La dopamine qui atomise l'apathie
Le médicament qui peut rendre dément
Dr Jekyll et Mr Hyde, pas marrant !
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est un médicament aux effets indésirables
Car il faut supporter l'intolérable
Et c'est pourtant la même table !
Tout être humain est une usine chimique
Le Ropinirole aux effets psychologiques
Comme le discours logique
Cette drogue de la politique !
Comme le médicament mortifère de feu ( 1915-2006 ) Pinochet
Via les USA pour imposer le fascisme libéral
Exit feu ( 1908-1973 ) Allende, seul le peuple le voulait
Le laboratoire du fascisme libéral commençait
Dans la terreur, puis par conditionnement, au moindre mal
Et les prisons du capital
Qui à tous les humains sont fatales
Sont une horreur, elles sont là pour faire peur
Parmi les pires, c'est la France, pas d'erreur
" 'L'envolée " journal contre toutes les prisons
L'enfer carcéral cela n'est pas rien
Tant de copains à moi ont fait de la prison
Comme par mètre carré dans le sol, 300.000 acariens
Et des peines de prison, en France, du moins
De plus en plus longues, par dizaines d'années
Le prisonnier n'est pas un chêne qui peut vivre 2000 années
Tous les fascismes sont à exterminer !
Il y a les ennemis déclarés
D'une révolution intégrale et globale
Et les pires, les ennemis cachés
Militantisme, gauchisme, l'arme fatale
Comme l'ancien gauchiste, par les militaires, torturé
Et qui une fois au pouvoir, la même politique, va appliquer
Comme au Brésil, et tout peut recommencer !
Les fascistes, l'on sait à qui l'on à affaire
Arrivistes éduqués ou brutes débiles pour frapper
Les gauchistes sont de faux révolutionnaires
Leurs actions sont toujours immobiles
Contester pour faussement contester, c'est futile
Ils sont aussi crétins
Sinon plus, que les staliniens !
Ils veulent militer toujours plus
Pour une révolution dévalorisée, minus
L'ennemi du gauchiste, ami du faux
N'est pas le fasciste, son jumeau
Mais le vrai anarchiste, qui crache toutes les autorités !
Gauchistes, libéraux, staliniens, nazis, fascistes, démocrates
Du capital, de la contre-révolution, toutes les cartes !
Ainsi elle aime les alliances
S'embrasser, se faire des confidences
La révolution globale et intégrale
Et sans hypocrisie, le massacre serait général
Bref, la révolution du mental
N'aime pas le fascisme, le nazisme
N'aime pas le gauchisme, le stalinisme
Le libéralisme, le démocratisme
Toutes les religions qui font les soumissions
Toutes les idéologies qui font les séparations
Tous les visages du capitalisme !
Finalement, l'écriture est plus utile
Qu'agir n'importe comment
Et renforcer le système, seul ou à mille
Et si tout ou presque renforce ce système invalidant
C'est ne plus rien faire du tout
Ou le moins possible et c'est vraiment fou
Qui serait le plus réellement révolutionnaire
Et mieux vaut ne rien faire que brasser de l'air !
Les animaux aussi pâtissent de l'inhumanité
Car il n'y a que de l'inhumanité et pas d'humanité
Comme en 1914/1918, et 11 millions de chevaux
Qui furent tués, dont 1,800 million en France
Pourtant, 450 grammes de viande pour chaque soldat
Paradoxe de la pitance
Et ce tous les jours, pas du rat
Les guerres n'aiment pas les animaux
Pigeons, et autres chiens du sanitaire, du réconfort
Chiens sentinelles et chiens messagers
Dont certains furent décorés
Pour tout ce qui vit, les guerres sont des charniers !
Certes, je ne suis pas cornucopien
Moi, si proche du rien
Et déplaisant à tout un chacun
Sachant, par exemple, que 75 pour cent
Des molécules de l'industrie pharmaceutique
Sont mangés par ce que nous mangeons
Les vaches, poulets, veaux, cochons
Le capital est un antibiotique !
Tout est dans le vertical
Comme dans les mégapoles
Comme au Brésil ou ailleurs, la hiérarchie n'est pas horizontale
Et de nombreux buildings à Sào Paulo, piscines, jardins
Hélicoptères et tout ce qui fait bien
12 millions de gens, riches en hauteur
Pauvres en favelas et tous leurs pleurs
Le tout vertical comme dans le social
Et la surpopulation qui fait mal !
Et avec la distance de non-agression
Un ou deux bras tendus, chez les humains
Dans quelques cultures, un peu moins
Cela se constate dans les métros des villes
Grattage de nez, détournement des regards, chaussures fixées
Comme chez les mammifères et oiseaux
Tous les gestes de dérivation
Par l'agression de la surpopulation
Il faut une aile chez les hirondelles
Il y a toujours une distance de non-agression
Sinon, c'est le conflit, la guerre, c'est la surpopulation
Vive l'avortement, la stérilisation, la contraception
Et tout ce que nous reprochons aux autres
Tout ce que les autres nous reprochent
Nous pourrions nous le reprocher
Car je c'est nous, ce sont les autres
Tout est étroitement imbriqué et c'est la mêlée
Nous ne sommes un peu différents
Que par nos divers conditionnements !
Nous sommes à la fois, idiots et géniaux
Peureux et courageux, en réalité, le même sang, la même peau
La libellule fait son exuvie physique
L'espèce humaine doit faire son exuvie psychologique
Et même si sous notre Terre, de l'eau en grande quantité
Peut-être comme nos mers et océans, en quantité
La roche et son prisonnier, le rapport humain, lui, reste à élaborer !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

Lire la suite

La horde sauvage

12 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

" Comme la morale chrétienne (je reviendrai sur ce point) n'a pas un regard pour les animaux, dans la morale des philosophes aussi ils demeurent hors la loi : de simples "choses", des moyens bons à tout emploi, un je ne sais quoi , fait pour être disséqué vif, chassé à courre, sacrifié en des combats de taureaux et en des courses , fouettés à mort au timon d'un chariot de pierre qui ne veut pas s'ébranler. "
 
Arthur Schopenhauer (1788-1860)
 
Rendons hommage aux défenseurs de la cause animale en France comme Maja et Patrick Sacco (professeur de mathématiques) qui hébergent des animaux non humains dans leur ferme du refuge de la Chaume dans l'Yonne,  des animaux rescapés des abattoirs et des camps de concentration des laboratoires où ils sont souvent trop inutilement torturés...mais cela serait pour " la bonne cause " (recherches applicables aux traitements des maladies des animaux humains etc...) là où l'on maltraite, là où l'on torture, il ne peut s'agir aucunement d'une bonne cause !

Et n'oublions pas ceci, quand on mange un animal non humain , il a bien fallu le tuer n ' est-ce pas ? qui est le plus monstrueux ? le boucher ou le consommateur ?

Les carnivores ne sont pas agressifs envers les animaux qu'ils mangent et cependant , il a bien fallu que quelqu'un les tue pour que nous puissions les manger ! C'est le beau rôle , moi je les tue pas...je les mange. Et je ne suis qu'un végétarien/végétalien non pratiquant (même si je mange peu de viande et de poisson) et donc je suis un monstre comme la plupart d'entre vous tous et toutes !

Notons qu'en Angleterre et aux Etats-Unis d'Amérique , le mouvement de libération des animaux (MLA) est pris au sérieux contrairement à la France , pris si au sérieux , que les défenseurs de la cause animale , (enfants/femmes/hommes) , sont assimilés à des terroristes et que parmi les activistes , beaucoup sont condamnés à de lourdes peines de prison car ils/elles sont considérés comme des terroristes , et à propos de terrorisme , lisez bien ce qui va suivre , d'après des tracts et des affiches qui datent de plusieurs décennies.

Un monde entier à la recherche de quinze terroristes. Enfin la population a fait sienne cette affaire ! Ces individus recherchés d'urgence sévissent chaque jour , à toute heure , en tout lieu sur la planète à New-York comme à Moscou , à Pékin comme à Paris . Ils détiennent des millions d'otages dans les usines par le travail . Ils frappent dans les écoles avec les armes de l'idéologie . Ils brisent les hommes avec l'armée , les flics , la violence d'Etat . Ils propagent sur les murs leur loi , celle de la marchandise . Ils font main basse sur les médias pour inculquer leur ordre concentrationnaire . Ils assassinent dans les prisons, bâillonnent dans les rues .
Ils s'infiltrent partout et se dissimulent sous différents masques , pour parvenir à leur fins : homme d'Etat, banquier , industriel , libéral , démocrate , conservateur , ouvriériste , curé , socialiste , "communiste" , publiciste , artiste , fasciste , gauchiste ou syndicaliste . Il est temps de mettre un terme au terrorisme : si vous êtes en possession d'éléments , agissez au plus vite , par tous les moyens .

MEFIANCE !

Leurs récupérateurs sont parmi nous et leurs complices plus nombreux qu'on ne le pense . Nous n'offrons pas 500.000 euros de récompense , mais un monde à gagner et des chaînes à perdre .
La liste des quinze terroristes :

Thibault - Besancenot - Buffet - Poutine - Hu Jintao - Benoit Seize - Obama - Sarkozy - Barroso - Trichet - Le Pen - Chérèque - Fillon - Hollande - Berlusconi . Mais vous pouvez jouer vous aussi au jeu des quinze terroristes ( ce jeu ne se trouve pas dans commerce ) . Vous reprenez tout ou bien partie du texte et vous y mettez vos propres noms . Ce ne sont pas les terroristes d ' Etat qui manquent et vous devriez vite trouver quinze nouveaux terroristes . Et c'est toujours mieux que de jouer au Trivial Pursuit .

Ce jeu qui date du début des années 1970 , ne devrait déplaire qu'aux complices des terroristes ( encore pire que les terroristes ) et aux " pro-situationnistes " qui ne s'amusent avec rien et qui " savent " tout sur tout , y compris sur ce qu'ils/elles ne savent pas . Amusez-vous bien . Et pourquoi donc , les gens ne se révoltent-ils pas ? ou si peu ? tout simplement parce que la soumission à l'autorité enlève ou atténue l'angoisse...(ce que l'on ne dit jamais !) voir les expériences de Stanley Milgram ( 1933-1984 ) le psychologue social sur la soumission à l'autorité entre 1960 et 1963 , (voir aussi le film " I comme Icare " d'Henri Verneuil en 1979) expériences qui sont tout à fait reproductibles , et récemment à un jeu de téléréalité débile à la télévision française .

Milgram reprit aussi la théorie des six degrés de séparation (1929 , théorie des réseaux ) du Hongrois Frigyes Karinthy (1887-1938) , que Milgram appellera (l'étude du petit monde) ...
 
Patrice Faubert ( 2010 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Stéréotypie paraphysique

9 Juin 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Sans les lombrics
Sur cent mètres sur cent mètres, pas de panique
Quatre millions de lombrics
Deux à cinq tonnes, c'est magique
Ils travaillent la terre
Sans eux, aucune vie sur la planète Terre
Le ver des Vosges, soixante centimètres
Le ver du Pays basque, un mètre
Le ver d'Australie, trois mètres
Pas de vrai cerveau
Le lombric respire par la peau
Encore une fois, sans lui
Pas de passé, pas de futur, tout serait fini
Il n'a pourtant aucun chef
La terre pour seul fief
Il nous renvoie nos idiotes prétentions
Il est l'anarchie sans aucune discussion !
Et même le tout électricité
Qui a tout révolutionné
Et qui partout a tout éclairé
Avec le ver ne peut rivaliser
Et cependant tous les feu ( 1778-1829 ) Humphry Davy
Les Volta, des inconnus, les Galvani
La mémoire eidétique de feu ( 1856-1943 ) Nikola Tesla
Le génie du courant alternatif contre courant continu, un combat
La guerre du courant électrique
Comme la guerre des courants politiques
Isolants et conducteurs
Du transistor de 1947, au supraconducteur de 1986
Tant de fameux électriciens oubliés
Comme Tesla, qui mourut fou, avec son polyphasé
La technologie ne peut jamais s'arrêter
Les découvertes ne peuvent que s'engendrer
Et forcément, elles finissent par nous échapper !
Comme la violence qui s'éparpille
De tous ses éclats, elle brille
Et en 2013, en France, 121 femmes, 25 hommes
Sous les coups, définitivement dans les pommes
La violence conjugale, tout le monde, assomme !
Et 40 pour cent des hommes
Sont battus, c'est le premier tome
Par leurs épouses, en Angleterre
La foudre émotionnelle et ses colères
Pas domptée comme la foudre naturelle
A l'origine de nos lumières si belles !
C'est pas comme le bagne
Qui était infâme et insane
Jamais vraiment fermé
Puisque de l'argent, nous sommes les transportés, les relégués
Nous vivons dedans, c'est notre société
Et personne ne peut s'en évader !
La technologie est un bolide devenu fou
Comme la biologie de synthèse, elle ne s'arrête plus
La transformation radicale du vivant
Et son nouvel environnement
Alibi du progrès, progrès de l'alibi
Certes, plus humain, notre bagne quotidien s'est amélioré
Programmation de l'industrialisation
Industrialisation de la programmation
Discours logique de la bonne raison
Et sur Terre, toujours aucune civilisation
Qui soit digne de ce nom !
ATCG ( adénosine, thymine, cytosine, guanine ) l'alphabet naturel du vivant
Et puis... l'alphabet artificiel
Comme les 5 multinationales
Aux milliers de graines recensées
Et qui en veulent la propriété
Les semences en pleine démence
Les champs industriels
Contre les champs naturels
Monsanto, Syngenta, et autres pestilences
Pour la rareté et la fausse abondance
La nature savait se doser
Mais l'être humain a tout chamboulé
Et c'est encore nos amis les rats
Excellents éboueurs qui comme à Paris
800 tonnes de déchets par jour, et voilà
Et partout dans le monde, ici ou là !
De nos jours, 9 animaux sur 10
Industriellement sont élevés
Avec l'automation, l'homme seul, peut traiter
80 vaches en une heure
De 3000 cochons s'occuper
De 20.000 poulets s'affairer
Tout peut ainsi s'industrialiser
Et 2,1 milliards de gens en surpoids ou en obésité !
Et dans le même temps
Pour le vol de 130 euros de diverses denrées
Dans un quelconque supermarché
Une mère de neuf enfants
En France, en prison, pour 2 mois est envoyée !
L'automation
Que voulait les situationnistes
Est le contraire de l'automation
Qu'instrumentalise le capitalisme
Qui devient non pas du loisir
Qui ne devient pas du plaisir
Mais du chômage, de l'inégalité, de la souffrance
De la misère, du ressentiment, de l'intolérance
Où chacun n'a pour chacun
Où chacune n'a pour chacune
Que du mépris, et surtout de l'indifférence
Il faut sauver sa peau, partout c'est l'impuissance
De plus en plus de gangsters, de crapules
Et qui en politique font des émules
Et tant de gens pour les remplacer
Alors que sans hésiter, il faudrait les fusiller !
Tout est ravagé par les corruptions
Tous milieux, tous domaines, c'est une généralisation
A force de tolérer l'intolérable
Les pires ignominies sont devenues tolérables !
Comme le sport hypnose, et les nouveaux jeux du cirque
Football et autres pompes à fric
Comme le chasseur, le plus souvent fasciste
Et qui sur la nature forme un kyste
Tout est un vaste supermarché
De sexe, de sport, de politique, de l'art
L'argent peut tout y acheter
Faire de la politique, de l'art, du cinéma, de la télé
Où c'est la conscience qui se fait rare !
Tout ceci est de l'éthologie animale et donc humaine
L'éthologie de feu ( 1772-1844 ) Geoffroy Saint-Hilaire
Qui dès 1790, de cette acception, fit sienne
Mais en vérité, c'était dans l'air
Et des machines de plus en plus sophistiquées
Qui ne font, des animaux et humains, que les imiter !
Et nous allons chercher bien loin
Ce qui se trouve à côté de chez nous
De l'autre qui nous convient
A la nature disparue mais qui s'invite partout !
La nature, oui, mais sous verre
La nature, oui, hors-sol, au musée, en serre
La nature fait peur, quelle horreur !
Nous ne savons pas vivre
Même pas dans nos livres
Tout est devenu une propriété privée
Des plans d'eau, mais interdit de se baigner
Des prés, mais interdit de s'y vautrer
Et la gendarmerie en cas de nudité
Les pêcheurs en toute complicité
Et il faut toujours se cacher
La nature est une propriété privée
Comme en France et ailleurs, vacances formatées
Où tout doit se spécialiser
Ici pour se baigner
Là pour se promener
Ici pour se dénuder
Là pour se reposer
Ce sont les divers ghettos de l'économie de marché
Et ses propriétaires qui font les lois
Des villes et campagnes sont les rois
Plus rien de sauvage, tout est canalisé
Le monde est une propriété privée
Interdit d'y vivre, chasse gardée !

Patrice Faubert ( 2006 et 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien 

Lire la suite

Paraphysique de l'orthopraxie

31 Mai 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Ce serait bien un monde
Où tout le monde parlerait la même langue
Ce serait bien un monde
Où l'on ne travaillerait qu'une heure par jour
Ce serait bien un monde
Où l'espèce humaine ne serait qu'une seule et même famille
Partout des frères, partout des frangines
Peu de maladies et partout la bonne mine
Et ce sans aucune propriété privée
Plus aucune vie à perdre, que des vies à gagner
Il suffirait de le vouloir
Et ainsi plus aucun pouvoir
Comme l'injustice de la justice
Qui est la justice de l'injustice
Et sa culture de l'aveu
Qui est l'aveu de la culture
La culture du résultat
Est le résultat de la culture
Et dix pour cent des français et françaises
Qui ont été en garde à vue, c'est balèze !
Ah ! être l'Argentinosaurus
40 mètres de long, 80 à 100 tonnes, mon bus
A l'assaut du monde, avec mes Titanosaurus
Il y eut une centaine d'espèces, de drôles de gus
Comme à Bruxelles, l'église Sainte-Gudule
Et tant d'autres curieux bidules
Les gens sont désarmants
Comme des mémoires de l'espace-temps
Comme en Egypte, cette théocratie
Où une danseuse est considérée comme une putain
Les islamistes sont des crétins
Les salafistes djihadistes sont pires que des nazis
L'intégrisme religieux sévit dans tous les pays
Toutes les religions sont de l'étron et du pipi !
Elles voilent la raison, c'est débile les dieux
Comme 85 pour cent de femmes en Egypte
Où c'est l'Arabie saoudite, qui fait la loi, en Egypte
Des plus que nazis à la stupidité améliorée
Toujours l'art propre contre l'art dégénéré
Oui les religions sont des étrons
Avec le fascisme religieux comme étalon !
Comme aussi au Yémen, et encore l'Arabie saoudite
Malgré le courage de femmes yéménites
Et la place du changement
Qui devient simplement un changement de place
Le capital est froid comme de la glace
Comme les pesticides, qui dans le monde
Causent un million d'empoisonnements graves chaque année
Et deux cent vingt milles décès, la gabegie gronde
Car pour le commerce c'est un débouché !
La planète Terre est le jardin de tout le monde
Tout le monde devrait pouvoir en profiter
Et pas seulement quelques jardins ouvriers
Jardins de l'insertion, jardins partagés
Mais seulement quelques initiés
Comme les bourgeoisies de la science
Qui sont au service de la finance
Avec leurs jeunes et vieilles barbes
Du fascisme libéral sont les bardes
Les experts de la soumission
De la soumission des experts
Orthopraxie de la vie sous verre
De tous les serviteurs du capital
Et la roue de secours du " Front National "
En France, genèse du racisme et du fascisme, c'est normal !
Larbins subtils ou manifestes, le même canal
Présentateurs, animateurs, artistes, savants
Le capital collectionne les déments
Collection de la propriété
Propriété de la collection
La science n'est pas neutre
Elle est vénale, elle est pleutre
L'art n'est pas neutre
Il est vénal, il est pleutre
Pour protéger les riches, un jour
Au service des riches, toujours
Alibi du capital, capital de l'alibi
Rendre plus supportable de fausses vies
Y a-t-il une vie avant la mort ?
Car partout la vraie vie dort !
Et toute la fausse conscience
Qui se crache dans la bouche
Qui dans les sexes se mouche
Se spectacularise, se flatte, s'admire, se touche
Et sur toutes sortes de fascisme, louche
Avec son extrême gauche, sa gauche,
Sa droite, son extrême droite
Tout ce fascisme de la pensée étroite
Le capital et ses facettes
Artifices et paillettes
Pour pouvoir se remplacer
Pour le capital, le représenter
Toute cette machinerie à déféquer de l'engeance
Se gavant, se mirant, de leurs répugnances
L'espèce humaine en diverses saloperies
Il faut se débarrasser de ces débris !
Du peuple, au fond, le plus grand nombre
Tout le monde y a son ombre
Dans les ordures, dans les décombres
Toujours, la domination se sert
Comme les 177 soldats du commando de feu ( 1899-1962 ) Philippe Kieffer
Les français du 6 juin 1944, commando d'élite
Des bérets verts avec des rites
Avec les 150.000 soldats américains et canadiens
Des sacrifiés avec la mort pour seule fin
Tout semble vain
Quand personne ne se souvient
Comme l'orgie de sang du 25 août 1944
Maillé, village aux 124 massacrés
Par la colonne du SS lieutenant Schlutter
Qui obéit aux ordres du lieutenant-colonel Stenger
La ligne Bordeaux Paris du chemin de fer
Trop sabotée par la résistance
Avec trop d'insistance, et ce fut la vengeance !
Il n'y a que 150 espèces d'arbres en France
Ainsi que le plus efficace des insecticides
Le crapaud commun que la voiture trucide
Avec 10.000 invertébrés, en trois mois, mangés
Limaces, vers, insectes et araignées
La nature est comme le nombre d'or
1,61803398875, auquel on fait un sort !
Tout semble si dérisoire
Malgré tous les hier qui font l'histoire
Toutes les religions, toutes les idéologies
Sont des ignorances, des supercheries
L'harmonie infinie
Ne pourrait être que l'anarchie
Là où tout se vend, s'achète, s'échange, se loue
La prostitution est partout !
Toutes les activités de travail et de loisirs sont prostituées
A l'organisation de la prostitution
Qui est la prostitution de l'organisation
Le capital en est le proxénète
Qui en organise toutes les fêtes
Les gens qui y vivent, riches et pauvres, en sont les minettes !
L'espèce inhumaine, pardon, humaine
Est une espèce invasive, une tueuse, reine
Et 7,5 milliards d'individus, c'est la surpopulation
Il faut arrêter d'enfanter, grève des ventres, seule solution
Comme nos chats si prédateurs
Et ce à toutes les heures
10 milliards d'oiseaux tués chaque année
Dans le monde par ce félin apprivoisé
Nous déréglons tous les équilibres
La nature est en cage, seul le profit est libre !
Finalement ce sont nos idées qui nous séparent
Et à toutes les guerres nous préparent
L'idée se fait prison
L'idée se fait maton
Elle devient image sans possible communication
Elle nous fige, elle nous réduit, elle nous séduit, et c'est l'immobilisation !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite

Dura lex, sed lex

23 Mai 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout a toujours existé
Bien avant que cela ne soit nommé
Comme la dépendance ou l'addiction
Trace écrite en 1561, puis c'est l'expansion
Déjà le jeu d'argent, rien de nouveau
C'est simplement l'affaire des mots
Maintenant c'est l'ère du biohacking
Pour que la biologie ne devienne pas un ring
C'est aussi le Big Bang chimique
L'environnement nous modifie, c'est sa musique
Nous nous adaptons à lui
L'être humain d'autrefois, c'est fini
Comme en Inde, cette fourmilière
Tout est jeté partout sur Terre
Et 100 millions de tonnes d'ordures chaque année
Et ce que nous respirons et mangeons est pollué
Ainsi aux USA, une jeune fille noire sur quatre, est pubère
Oui pubère, à 7 ans, c'est à pleurer
Les riches vivent plus longtemps que les pauvres
Les cadres vivent plus longtemps que les ouvriers
Pour les pauvres, mauvaise nourriture, obésité
Trop de quantité et pas de qualité
Pour les riches éclairés, saine nourriture, et la santé
Certes, c'est réducteur, tout est si mélangé, si compliqué
Tel auteur que nous lisons
Tel penseur que nous apprécions
Et que dans la vie, supporter, nous ne pourrions !
Pareil pour les artistes ou les savants
Simples images spectaculaires, c'est donc sans fondement
C'est là le secret de la séparation
Qui est la séparation du secret
Et si mes titres textuels semblent arbitraires
Leurs contenus ne sont pas si atrabilaires !
Tout ce qui est aujourd'hui
Est d'hier le produit
Comme l'héritage stalinien
Du capital devenu très malin
Du MGB ( 1946 à 1954 ) ancêtre du KGB
De l'épisode ( 1948-1951 ) du prétendu complot des blouses blanches
Micros partout, rien n'était étanche
Au tour des médecins trop bavards
D'être éliminés, pour faire pire, jamais trop tard !
Tous les vrais staliniens étaient des crétins
Comme aussi les vrais fascistes, jamais bien malins
Où l'organisation du complot
Est le complot de l'organisation
L'art de gouverner, de nos jours, manque de pot
L'héritage stalinien est en fonction
Mais subtil, plus dilué, moins idiot
Et plus le besoin de faux aveux
Quand tout est vrai, pour elles, ils, eux !
Comme de dire
Comme de lire
Que les glaciers vont fondre
La pollution industrielle va les tondre
Et 1,20 mètre de plus, pour océans et mers
Bientôt, et avant quelques siècles, plusieurs mètres
Pour les populations de la Terre
Certes, notre planète en a vu d'autres, elle s'adapte
Mais pas l'espèce humaine, il faudra qu'elle parte !
Tout est parti de la Renaissance
De la science islamique, une nouvelle naissance
Qui à l'Occident influa ses connaissances
De par ses colonies du monde et d'Europe, l'islam fut expulsé
A cette époque les pays musulmans étaient en avance
Sur l'Europe, en retard d'une connivence
Langage du pouvoir, pouvoir du langage
Langage de domination, domination de langage
Dont la maîtrise fait les chefs, les avocats
Et ceci, même quand c'est du blabla
Pas comme chez d'anciennes tribus d'indiens d'Amérique de Sud
Rituels pour annuler le pouvoir, ruses qui l'éludent
Aucun système politique
Ne se crée vraiment, ne disparaît vraiment, il se transforme
Mélange informe de toutes ses formes
Pour les riches ou les pauvres, diverses lois économiques
Spectaculaire diffus ou spectaculaire concentré, spectaculaire intégré, tactique
De toutes façons, chez les sauvages ou les civilisés
Manifestement ou subtilement, il faut en chier !
Comme les rituels de la torture
Pendaison, amputation, écorchage
Initiation jusqu'à l'évanouissement, prouver son courage
Avant chez certaines tribus d'indiens
Chez nous, sous d'autres formes, c'est moins vilain !
Des rites pour l'initiation et l'intégration
Chaque peuple l'a fait, le fait, à sa façon
Mais les sociétés primitives, au moins
Toutes activités comprises, travaillaient peu
3 à 4 heures par jour, car aux loisirs, enclins
Sans surplus, sans profit, comme c'est honteux !
Et avec l'économie devenue folle
Et avec la technologie devenue folle
Alors que 20 pour cent seulement
De la plupart de tous les gens
Savent vraiment ce qu'est le réchauffement climatique
Et qu'il est le produit des gaz à effet de serre
Pas étonnant qu'il n'y ait aucun vrai déclic
Et que se perpétue la politique la plus réactionnaire !
Et bientôt, déjà en réalité
Des émeutes de la faim, le climat déréglé des réfugiés
Inondations et autres raz-de-marée
Et un déni totalement généralisé !
Comme au Chili et au Japon
Activité sismique des plaques de subduction
Et les 50 millions de tonnes de déchets électroniques
Chaque année, pour les pays industrialisés
Et le trafic de déchets électroniques toxiques
Au Ghana, au Nigeria, et donc principalement en Afrique
Car 50.000 téléphones portables, c'est le hic
C'est 1 kg d'or, c'est 10 kg d'argent
Et pour l'indigence qui la trafique, du pourri dans le sang
Toxicité dans l'air, dans les entrailles des enfants
Et la Chine, Hong Kong, Shenzhen, import et export
Du commerce des déchets, le profit d'abord !
Partout, plein de déchets toxiques
Au fond des mers et océans, le capitalisme et sa musique
Dura lex, sed lex, c'est la loi du marché
Après moi, le déluge, c'est même dit à la télé
Catastrophisme, administration du désastre, soumission durable
Allez, tous et toutes, à table, à table, à table !
Et la borréliose ( Borrelia burgdorferi ) des tiques
Comme le capital, c'est protéiforme et épidémique
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Désolé, c'est un peu long
Mais c'est son seul vrai nom !
Toujours en expansion, infestation, dissémination
Face à cela, peu de réelle contestation
Comme pour tout le reste, le déni en manifestation !
Il faudrait être comme l'éclair
Avoir une idée en foudre globulaire
L'idée éclair à 500 millions de km/heure
Moitié d'une seconde à une seconde de durée
Une idée d'ailleurs pour nous faire enfin changer
Comme 2000 orages actifs à chaque seconde
Pour une centaine d'éclairs à chaque seconde
Et ce dans le monde
Mais les idées ressassées sont fanées
Et elles ne sont pas, ainsi, renouvelées
Pas comme notre squelette, si charmant
Qui se refait de 10 pour cent, et par an
Et un nouveau support, environ tous les quinze ans
Rien de plus étonnant !
Mais la misère restreinte et généralisée
N'est pas épanouissante, c'est la bêtise, c'est la méchanceté
La misère n'est pas réjouissante
Pour les riches et les pauvres, elle est mugissante !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

Lire la suite