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Articles récents

Le confinement du contrôle des populations

5 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Culture de la dominance
La dominance de la culture
La culture des bourgeoisies
Les bourgeoisies de la culture
Qui récupèrent tout
Qui s'approprient tout
La bourgeoisie première classe révolutionnaire
Qui au fil du temps historique devint réactionnaire
Mais si la révolution bourgeoise est faite
La révolution prolétarienne reste à faire, allant de défaite en défaite
Comme le dit feu G.E.Debord, d'une façon si nette
Et pour paraphraser feu le poète chanteur Léo Ferré
Les révolutions, cela les amuse avant de les intéresser
L'on peut d'ailleurs être con
Et être même cultivé
L'on peut d'ailleurs être conne
Et être même cultivée
De même
L'on peut être conscient ou connaissant
Avec peu ou pas de culture
De même
L'on peut être consciente ou connaissante
Avec peu ou pas de culture
Mais quelle culture ?
La scientifique, la philosophique, la sportive, la poétique, la littéraire
Et tous les autres airs
De l'érudition dans l'une, dans l'autre la perdition
Et puis
L'on est toujours
Inculte pour certains et certaines
Et puis
L'on est toujours
En érudition pour certains et certaines
L'on trouve de tout comme jadis à la Samaritaine
Et dans une société harmonieuse et équilibrée
Qui serait, pour nous, difficile à imaginer
Ni juge, ni avocat, ni policier
Et au féminin cela peut se conjuguer !
Si l'on évoque le récent confinement
Qui aurait pu être évité en procédant autrement
En amont, au tout social, évidemment
Tous pour les hôpitaux et la sécurité des gens
Mais là, comme les riches et les notables ne sont pas épargnés
L'on en fait cas, et rien, si cela n'avait touché que la pauvreté
Mais, même à Hong Kong, mégapole de 7,5 millions de personnes
L'on s'y était préparé d'avance, et ainsi, la cloche sonne
En rapport populationnel, peu de contamination et quelques décès
Et donc, le gouvernement français de la crise sanitaire, bientôt, en procès !
Car, il y eut déjà, des précédents
Dont ne tint compte aucun président
1920
La peste aux abords de Paris
1957
La grippe asiatique, 100.000 décès en France
Mais, après moi le déluge, mot d'ordre de la finance
Instrumentalisant
De bons prétextes et du larmoyant
Avec du peuple, l'assentiment
Tout un fascisme de répression
Tout un fascisme de surveillance et d'oppression
Police, armée, partout, en habituation
Pétain revient
Tu as oublié tes chiens
Et donc des prétextes de continuation
Pour totalement contrôler les populations !
Donc
Sous le règne de l'argent, tout génère de l'isolement
Toutes les idéologies, isolant et s'isolant
Toutes les religions, isolant, et s'isolant
Chaque groupe humain, sa grille interprétative, voulant l'imposer
Sans compter
Ici, comme souvent, l'erreur serait de généraliser
Que la plupart des idées sont là pour nous cadenasser
Aussi
Il ne faudrait aucune notoriété
Il ne  faudrait aucune célébrité
Quand seuls des gens connus
Ou alors de faux inconnus
Ont le droit de s'exprimer
Ont le droit d'être écoutés
Car, l'on ne peut que le constater
Ce sont des biais via l'autorité
Et de toute autorité
Il faudrait se défaire et la refuser
Si tout individu devenait ingouvernable
L'on pourrait enfin partager la table
Mais
Toutes les bourgeoisies
Sont frileuses
Mais
Toutes les bourgeoisies
Sont peureuses
Mais sont, tels des membres amputés
Qui toujours savent repousser
Pas besoin, ici, des étonnantes planaires
Dont les tissus se régénèrent
Il faudrait le blob, physarum polycephalum
Contre ces cancers érigés en summum !
Peu importe le prétexte
Même avec un bon texte
Tout confinement
Car, pour l'indigence, c'est différent
Et c'est forcement plus éprouvant
Que pour l'opulence, c'est assez évident
De l'espace vital
Qui se paie cher sous le capital
Quand tout roule
Quand tout va bien
Nulle part, au pire, une petite houle
Pas difficile de faire le gentil ,d'aller bien
Pas difficile de faire la gentille, d'aller bien
Mais dans un système pareil, qui peut vraiment aller bien ?
Quand rien ne roule
Quand rien ne va bien
C'est plus difficile de faire le gentil, d'aller bien
C'est plus difficile de faire la gentille, d'aller bien
Et inhibition de l'action
Pour tous et toutes
Et réaction organique à l'agression
Pour tous et toutes
Ainsi, des gens connus
Prêts à tout pour montrer leurs culs
Avec des admirateurs et des admiratrices
Prison des tuteurs et des tutrices
Cela passe si vite, les caprices
De cela, peu est vu
Et la vie courante partagée serait totalement destructrice
C'est l'éternel, j'aime ce qu'il fait
C'est l'éternel, j'aime ce qu'elle fait
Mais, je ne pourrais pas vivre avec
En n'importe quel domaine
Bon sens, de la nana ou du mec
Cela étant dit, sans envie, et sans haine
Bref
Tout enfermement
Tout confinement
En soi, avec ou de part les autres
L'enfermement du confinement
Le confinement de l'enfermement
Ce sont,avant tout des mentalités
C'est de l'organisation de la société !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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Numerus clausus du FERMEZ VOS GUEULES !

3 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Me voici
Censuré sur des sites
Hier, comme aujourd'hui
Se réclamant de l'anarchie
Chacun et chacune avec son anarchie
C'est pas la mienne, et l'on te chie
De la contamination réactionnaire
Et donc, de l'infiltration en milieu libertaire
Comme l'instrumentalisation de virus en trou de ver
Il faut toujours que j'expulse mes colères
De l'estomac, cela peut éviter le cancer
Et si les raisons de ces gens, pour m'exclure, sont justifiées, j'en reste amère
Anarchistes lignistes
Des endroits où l'on ne me serrerait pas la main
Souvent de jeunes incultes
Souvent, des vieux qui se butent
Pas de quoi s'étonner
Depuis des années et des années
Tous les esprits nazifiés
Tous les esprits fascisés
Tous les esprits droitisés
Il faut suivre la ligne
Sinon, vous êtes l'indigne
La ligne du parti
La ligne de l'organisation
La ligne du syndicat
La ligne du site, et tout est dit
Et toute ligne, c'est du caca
Haï universellement, je suis, voilà !
Toute idéologie
C'est de l'esprit de troupeau
Toute religion
C'est de l'esprit de troupeau
Toute manifestation, le plus souvent
C'est de l'esprit de troupeau
De la nouvelle jeunesse, de nouveaux seaux
Une vérité dont personne ne veut
Regarder cela en face, qui le peut ?
Comme un virus
Du FERMEZ VOS GUEULES en numerus clausus
Prière de tout accepter
Partout la police, partout l'armée
C'est pour votre bien et plus aucune liberté
Mais alors, et le virus des accidents de la route ?
Chaque année, dans le monde, mais personne ne l'écoute
Un million de mortes et de morts, et là, ni police, ni armée, dans la soute !
Et toute digression, sur celui, sur celle, quand on l'ose
Aucune pause, du en joue, feu
Avec des drones chez vous, de mieux en mieux
Bref
De la fausse démocratie
Mais, de la vraie tyrannie
Finalement
Ne participer à rien
Grève de l'acte cioranien
Cela peut-être bien
Pour ne pas, ne plus se tromper
Par la déception, ne pas être rongé
Il faudrait tout boycotter
Quand tout est aberré
Comme nos prétendus philosophes de télé
Tout un assortiment de faussaires assermentés
Et c'est arte qui est la chaîne de télé, la moins polluée
Ni amour, ni amitié
Quand tout est devenu fausseté
Et je ne suis pas nihiliste
C'est toute la présente organisation du monde qui est nihiliste
Il n'y a quasiment plus que divers dogmatismes
De tous les échouages des ismes
Certes, jadis, en Espagne républicaine, il y eut l'anarchosyndicalisme
Voilà pourquoi, Michèle Bernstein ( née en 1932 ) proposa
En 1957, le terme de situationniste, que son succès, forgea
Du nihilisme, de tous, de toutes, de moi, l'on pourrait le dire
Et de moi, l'on va encore médire
En-dehors, en-dehors, je dois le dire
Très jeune, j'étais un stirnérien
En vieillissant, je le redeviens !
Et vous
C'est quoi votre fascisme ?
Et vous
C'est quoi votre stalinisme ?
Et vous
C'est quoi votre gauchisme ?
Et vous
C'est quoi votre libéralisme ?
Et vous
C'est quoi votre démocratisme ?
Et vous ? donc
C'est quoi votre capitalisme ?
Et vous
C'est quoi votre isme ?
Chacun, chacune, le sien
Oh, le vilain
Qui dérange bien
Certes, je le sais bien
En-dehors des clous
En-dehors des folles et des fous
En-dehors des tabous
Moi, l'ignoré de partout
Sauf en quelques endroits
Sauf pour qui cela fait foi
Jeux olynfrics des idéologies
Jeux olynfrics des religions
Elle est partout la peste
Quand tout le monde se déteste
Justement, à cause des idéologies
Justement, à cause des religions
Rien n'est pire
Véritable empire
Que la peste des esprits
Dont je récolte tous les lazzis !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, pouète, peuète, paraphysicien
 

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Paraphysique des niveaux d'organisation

1 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Contagion psychologique, contagion émotionnelle
Rien de plus viral
Rien n'est plus fatal
Certes, ce que j'écris, l'on s'en fiche, c'est que dalle
Du biologique
Du psychologique
Du politique
Du religieux ou de l'idéologique
De l'économique
Donc
Contagion virale, biologique
Contagion émotionnelle
Contagion idéologique et politique
Contagion psychologique
Contagion économique
Tout cela est bien contagieux
Toi, moi, elles, ils, eux
La contagion des conditionnements
Les conditionnements de la contagion
Les déterminants du conditionnement
Le conditionnement des déterminants
Au tout contagieux
Tout un bruit odieux
Hélas
Peu de misophones
De toute cette cacophonie aphone
De tous les formulaires
Et à tous les formulaires
Trop peu, à être des réfractaires
Trop peu d'inclassables
Trop peu d'incassables
Gens seuls dans leurs idées
Car du tout préparé en idée, se méfier
Mais c'est un prix à payer !
Et alors, que pour tout, il faut un permis
Comme en prison, de la société, une décalcomanie
Avec ou sans virus
Encore plus évident avec virus
Permis de sortir
Permis de circuler
Permis de copuler
Permis de se regrouper et de manifester
Permis de voyager
Permis de ceci
Permis de cela
Permis de vivre, et là, tout est dit
Le monde est une prison
Presque tous
Comme des matons
Presque toutes
Comme des matonnes
Mais, nonobstant
Chaque jour dans le monde
Des éjaculateurs font des rondes
Centaines de milliers de naissances de l'inconscience
Comme un horrible non-sens
L'on ne fait que coïter ou quoi ?
Mais la morale est sauve, ma foi
C'est juste pour enfanter
C'est juste pour se conformer
Alors que nous vivons
Sur une centrale nucléaire naturelle
Moins délétère qu'une centrale artificielle
Donc, les forces terrestres en perpétuelle activité
La géologie du globe, géologie modifiée
Ce à chaque seconde
Ce qui peut, en trois heures, générer
Une énergie nucléaire correspondant
Et ce, à quatre mille fois, édifiant
L'explosion atomique d'Hiroshima
De quoi méditer, voilà !
Et si comme la foudre
Réserve inépuisable de poudre
Sur la planète Terre et chaque jour
Frappant quatre millions de fois
De nouvelles vraies idées nous frappaient
De nouvelles vraies idées nous transformaient
Et bien cela se saurait !
Notre planète, comme tout cerveau, planète toute façonnée
Par l'humanité
L'humanité, de part toutes ses activités
Est devenue une force géologique à part entière
Mais sur des millions ou des milliards d'années
Tout est d'une grande précarité
23 heures, cela était la durée d'une journée
Sur Terre, il y a ainsi 350 millions d'années
Et en vérité
De tout, nous sommes engrammés et conditionnés
Femmes, hommes, enfants
Avec tous les déterminants
Dans des niveaux d'organisation différents
Dont c'est la prime au subconscient
Avec tout ce qui ne rentre pas dans notre signifiant
Quand rien n'y est codant
Comme une langue étrangère en passant
Nos cuirasses caractérielles nous stagnant
Toute soumission, toute obéissance, s'y confortant
Toute compromission du au suivant
Tout un processus désangoissant
Dans un tout du punissant
Dans un tout du récompensant !
Le capital et ses chimères
Le socle illusionniste des milliardaires
Mais jamais aussi somptueux
Aurores boréales, dont nous jouissons si peu
Intense vent solaire
Il y a de la fuite dans l'air
Car sur le ring du mégavers
Le naturel
Supplante toujours l'artificiel
Comme de vrais seins
Par rapport à de faux seins
Ainsi Cignus X-1
Premier trou noir détecté
Quinze masses solaires
Du trou noir ordinaire
Et au centre de notre galaxie, caché
C'est par millions de masses solaires qu'il faut compter
Et parfois, du proche et de l'ailleurs
Hier, aujourd'hui, demain, la même heure
Des millions ou des milliards
Comme autant de soleils fêtards
Du massif ou du supermassif
Contrôlant l'architecture de l'univers
Envisageant la géométrie non conforme d'autres plurivers
Tout se dévorant
Tout se nourrissant
Tout se grandissant
Au tout, comme un rayonnement d'Hawking, s'évaporant
Hydrogène, hélium, souvent, au restaurant
Des étoiles s'effondrant
Des trous noirs fusionnant
Des étincelles
Des ondes gravitationnelles
Toute une accrétion de gaz et de poussières
Ni effets spéciaux
Ni du vrai, ni du faux
Tout se contentant d'être, univers, multivers
Et pour nous prendre à revers
Paraphrasant feu le savant érudit Henri Laborit
Dans l'enfer orchestré de son oubli
La seule raison d'être d'un être
C'est d'être
Tout le reste est de la blablalogie
Rien d'important, rien de dérisoire
Des choses et des êtres, l'infini, de toutes les histoires !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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La contagion de la peur

20 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

La contagion de la peur
La peur de la contagion
Que tout virus, la peur bien plus contagieuse
Pour la communication irrationnelle, plus avantageuse !

Les gens se faisant la gueule
Tout autre devenant virus
Et dans les logements, l'on s'engueule
D'un pays l'autre, d'une époque l'autre, flux et reflux !

Propagande des urgences sanitaires
Et puis, tout le monde se regardant de travers
Toute une paranoïa d'individu à individu, d'Etat à Etat
Et toujours et encore la répression policière !

Ausweis, comme sous l'occupation nazie
Mais, l'on nous dit
C'est vital pour vous et autrui, et tout est dit
Culpabilisation de tous et de toutes, ainsi !

Toute une panique bien organisée
Tout virus comme une guerre, restez chez vous, au tout confiné
Il n'y avait déjà plus, ou si peu, du lien social
Et tout cela, à long terme, bouffée d'air pour régénérer le capital !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

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Le virus de la psychose et la peste émotionnelle

19 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

La peste émotionnelle
Comme un virus informationnel
Un virus informationnel
Comme une peste émotionnelle !

Psychose du virus
Virus de la psychose
Le virus biologique
Comme une pandémie psychosomatique !

Ce qu'aucune grève n'a réussi
Ce qu'aucune manifestation n'a réussi
Comme par exemple, bloquer l'économie
Coronavirus, l'a fait, lui !

Comme un faux parfum d'anarchie
Car le travail salarié comme proscrit
Le capital dénonçant ses inutilités et ses nuisances, inédit
Pour aller moins vite dans le mur fatidique, aussi !

Avec en scotomisation
Un essai de contrôle des populations
Des populations en essai de contrôle
Ou chacun, ou chacune, tous et toutes y jouant son rôle !

Un virus, c'est imparable, c'est incontestable
Sauf pour les folles et les fous, c'est tabou, c'est honteux
Car cela fait des mortes et des morts, monsieur
Certes, mais tout virus est sur la table, de l'organisation même du capital !

C'est donc le couteau sous la gorge
Que le capital se met et se mettra au vert
Calmant un peu, de la nature, toutes les colères
Sans jamais, pouvoir vraiment, rendre gorge !

La peste émotionnelle
Comme un virus informationnel
Psychose du virus
Virus de la psychose !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

 

 

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Le tokamak ou le hamac

8 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Chaque homo sapiens sapiens, chaque être humain
N'est ni allemand, ni français, ni anglais, ni argentin
N'est ni arabe, ni blanc, ni noir, ni jaune,  ni danois, ni égyptien
Mais avant tout une terrienne, un terrien
Mais avant tout de la planète Terre
En la période de l'Holocène pour l'ére
Donc, ni ceci, donc, ni cela, d'aucun pays
Donc, ni ceci, donc, ni cela, d'aucune patrie
La patrie, c'est la planète Terre
Le pays, c'est la planète Terre
La région, c'est la planète Terre
Aucune région
Mais toutes les régions
Aucune nation
Mais toutes les nations
Pour dissoudre tous les racismes
Pour dissoudre tous les nationalismes
Pour dissoudre tous les régionalismes
Pour dissoudre tout communautarisme
Pour dissoudre tout identitarisme
Pour l'anationalisme
Sinon
Ce modèle fragmenté, atomisé, au tout opposé
Par les futures colonies de l'espace, sera exporté
Et toutes les aberrations recommencées
Guerres et conflits perpétués !
Alors que :
Avec la diffusion de l'information
Surtout celle de généralisation
Chacune et chacun
Savant, savante, de l'autre, c'est très bien
Être l'érudit, l'érudite, de l'autre, c'est très bien
Je sais ce que tu ne sais pas
Tu sais ce que je ne sais pas
Flux et reflux de la nature
Flux et reflux de la culture
Il fut un temps
Du petit et du géant
Et pas des millions d'années, forcément
Cigognes géantes, éléphants nains
Sans compter toutes les traces effacées
De tout ce qui n'a pas pu se fossiliser
Et encore en Indonésie
Malayopython reticulatus , python réticulé, serpent le plus grand
Le tarsier, petit primate surtout insectivore, au regard lénifiant
Bref
Tout a son temps
De l'après, de l'avant
Comme les accidents
Du nucléaire civil
France, 1969 et 1980
Au tout oublié, au tout vil !
Adonc, Saint-Laurent des eaux
Ce à quinze kilomètres de Chambord
Deux accidents cachés, comme deux faux
Fusion partielle du coeur, ouf, l'on a eu chaud
Uranium naturel presque maîtrisé
Pour produire de l'électricité
Beaucoup, beaucoup, d'eau, pour refroidir le réacteur
Caisson de 80.000 tonnes
Avec toute une vapeur
Comme un ténor qui entonne
Cette fission nucléaire
Qui serait remplacé par la fameuse fusion nucléaire
ITER Tokamak
Je préfère encore rester dans mon hamac
Du nucléaire civil, le nouveau mac
Comme une bouteille magnétique
En faux mur de Kardachev prophylactique
Toute l'énergie du soleil concentré
Aimants bobines de champ toroïdal
Stellarator des plasmas ou alternatives marginales
Vers l'étoile artificielle, énergie hyperconfinée
Fission nucléaire
Fusion nucléaire
D'un risque l'autre, déplacé
Alors, qu'avec d'autres mentalités
D'autres déterminants pour les façonner
De l'énergie renouvelée
De l'énergie à volonté
Nature ou recyclage
Pas les mêmes cages
Eau, soleil vent, arbres, urine, excréments
L'énergie émotionnelle
Tenue trop souvent à l'écart, pourtant si belle
Et le tout à l'avenant
Mais
Surpopulation rime avec industrialisation
Industrialisation rime avec surpopulation
Avec croissance
Pas avec décroissance
De ma textualité programmatique
De ma textualité tout à fait merdique
Et si vous marchez dedans
Pour vous en défaire, il vous faudra du temps !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

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La camisole des marchés

7 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Monsanto, salaud
Le peuple aura ta peau
Et oui
Si la vie est dans le pré
La mort est aussi dans le pré
Agriculture biologique
Agriculture chimique
Comme le montre bien l'excellent
Documentaire de télévision, pourtant
" La vie est dans le pré "
Et subliminalement, de tout gouvernement et de son inutilité
Aucun ministre, aucune ministre, ne pouvant rien changer
Tout étant la camisole des marchés
Mais les gens n'aiment pas être déstabilisés
Faire l'autruche, pour éviter toute anxiété
Comme beaucoup de paysans français qui préfèrent tout ignorer
Il en va ainsi
Du passé historique, aussi
De toutes les tragédies, de toutes les saletés
23/08/1939
Pacte de l'Allemagne nazie
Pacte de l'URSS stalinienne
Fascisme brun
Fascisme rouge
Tirant sur tout ce qui bouge
Le fascisme rouge
Qui aura éliminé ses propres dirigeants
Qui aura éliminé son propre peuple
Qui aura éliminé les généraux de sa propre armée !
Ainsi des caves des services secrets
Fascisme brun, fascisme rouge, qui n'en avaient
En URSS, une balle dans la nuque, toutes les deux minutes
Est traité de menteur qui dénonce ces faits
Du mensonge déconcertant, tout un biais
Car, là
Même l'accusateur
Même le calomniateur
Même le procureur
Peuvent être accusés, torturés
Peuvent être tués
Quand sonne leur heure !
D'une terreur l'autre
Mais là, le nazisme, copiant
Mais là, le nazisme, imitant
Mais là, le nazisme, empruntant
Puis, le monde entier, s'en inspirant
Plus hypocritement, plus habilement
Des Staline et des Hitler
S'important
S'exportant
Aujourd'hui, demain, hier
Ou alors
Au tout, révolutionnaire
Au tout, socialisme libertaire
Mais c'est heureux
Pas que des peureuses et des peureux
De la résistance
De la résilience
Là, où on le peut
Et quand on le peut
Par delà le fardeau de son milieu
Par la plume, par la charrue, par la grève, par la manifestation
Et contre toute compétition
Et contre toute hiérarchisation
Voilà bien encore une dénonciation
Qui me vaudra toutes les détestations
Avec le retour, attention à vos abattis
De l'agriculture à visage humain, et voici
L'agriculture sur abattis-brûlis
De l'ancien temps jamais fini !
Et si les morts se levaient ?
Clin d'oeil à feu Léo Ferré qui me charmait
Comme ceux de cet horrible forfait
21857 officiers polonais
Katyn : 4404
Kalinine : 6287
Kharkov : 3896
Kiev : des milliers
Minsk : des milliers
Familles éliminées ou déportées
Plus personne pour témoigner
Stratégie stalinienne érigée
Tchéka ( 1917 ), Guépéou ( 1922 ), NKVD ( 1934 )
Toute une tradition d'exterminateurs, de tueurs
Toute une tradition de terreur et d'horreur
Dont le plus fameux tueur
Des basses pratiques staliniennes, l'éboueur
Feu ( 1895 - 1955 ) Vassili Miklaïlovitch Blokhine
Qui reçut en récompense, l'ordre de Lénine
Avec d'autres distinctions de répugnantes officines
Le nazisme comme le stalinisme, traitant de menteuses et de menteurs
Celles et ceux qui osent remettre les pendules à l'heure
Comme Staline instituant la famine en Ukraine
Bien après la défaite militaire de l'anarchiste Nestor Makhno, ô déveine
Il y eut donc du cannibalisme en Ukraine
Contre les rouges
Contre les blancs
Tout se continuant, indéfiniment
Hier, demain, aujourd'hui, forcément
Il ne faut pas se tromper de camp
Le communisme antistalinien fut aussi liquidé
Rétablir cette réalité scotomisée
Et donc de toutes les horreurs et atrocités
Il en reste toujours des traces
Et partout, dans le monde, à prendre, encore des places !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 
 

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Psychose virale étatisée

5 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Après 1945
Il fallut
Qui l'eut cru
La population allemande
De la rééducation de commande
Dénazifier
Tout un peuple conditionné
Et tout peuple est conditionné
De l'individu à la société
Aucun libre arbitre, aucune liberté
De la psychiatrie clinicienne, consultée
Adaptant ainsi des jeux télévisés
Via les USA, pour s'inspirer
Jeux télévisés
Jeux de téléréalité
Pour rééduquer, pour assimiler, pour contrôler
Des pays du capitalisme privé
Où cela fut grandement généralisé
Des manipulations mentales
Des manipulations sociétales
Du local au global
De l'individu au groupe
Mobilisation des troupes
Et le capitalisme stalinisé
Sut aussi, en sa propre méthode, tout bien conditionner
Avec son propre tracas
D'un capital l'autre, voilà
Et en vérité
Tout, absolument tout, tout nous est imposé
Du travail, du logement, des loisirs, des rencontres, de la sexualité
De quoi être terrifié !
Tout est, de toutes façons, du 49.3
Programme du prénatal
Enfance, adolescence, maturité
Jusqu'à l'état retardé de retraité
Conditionnement, consentement, programmation, engrammation
La fameuse fabrique du consentement des populations
L'implacable dictature
Ferment, CIMENT, de toutes les dictatures
De toutes les politiques étatiques
Du politique
De l'économique
Du biopsychosociologique
Et puis, et donc, du résultat fatidique
Avec des discours logiques
Justifiant
Tous nos comportements
Des pauvres et des riches, mendiantes et mendiants
Au tout également
Selon l'idiosyncrasique de chaque déterminant
Des vies de merde, des vies échouées
Dans d'effarantes solitudes capitalisées
Où le moindre virus est instrumentalisé
Pour le fascisme libéral, faire accepter
Chine, marché mélangé d'animaux vivants
Et donc, de plus en plus de virus mutants
H1N1, H5N1, H7N9
Volailles, canards, dromadaires, singes, chauves-souris
Selon les régions, selon les pays
Comme du bioterrorisme de l'apprenti !
La barrière des espèces est franchie
Mais cela dit
La simple grippe fait plus de la tuerie
Que  ce coronavirus d'opportunité
Psychose que tout Etat sait démesurer
Mise en scène planifiée
Et tout Etat est despotique et policier
Faux bureaucratique stalinien récupéré
Pour toute contestation sociale, l'anesthésier
Comme dans les manifs, vent du mauvais côté
Et par les gaz incapacitants, les contestataires bien gazés
Certes
Ces soixante dernières années
350 nouvelles maladies infectieuses, par là, sont passées
Inutile ici de les nommer
Singes et chauves-souris consommés
Des déjections et du tout salivé
Comme les continents, au tout dérivé
Et à propos des virus
Il y aurait au moins, bonus
300.000 virus encore inconnus
Bientôt une mafia des virus
De toute une mentalité minus
Comme les mafias du sable
Comme donc les mafias minières
Contre lesquelles, il ne fait pas bon enquêter
Tant de vrais journalistes, menacés, torturés, assassinés
Tant de gens expropriés
Et pour leur silence, souvent achetés
Inde, Guatemala, Kenya, Tanzanie
Et d'autres pays
Cela exaspère mais c'est ainsi
Police et gardes armées
Les mafias de tous bords savent bien se protéger
Comme partout du personnel politique, en France et à l'étranger
Des mafias intouchables et intouchées
Avec des lieux sécurisés et contrôlés
Or
Comme tout est étroitement interconnecté
Rien ne saurait, de ce fait, plus aucunement étonner !
Comme tout le plastique ingéré
Par personne, dans le monde, chaque année
Cinq grammes par jour
Et PFOA qui fait son tour
Acide perfluorooctanoïque
Pour des surfaces diversifiées, les imperméabiliser
Et dans le sang, c'est retrouvé
Pour 99 pour cent de la population mondialisée
Tout cela plus réellement dangereux
Pour toi, moi, ils, elles, eux
Qu'en France, nos 35200 espèces d'insectes, environ
Comme les inoffensifs frelons
Sans les embêter, à moins de bêtise en béton
Avec donc seulement trente espèces un peu embêtantes
Rien de comparable
Rien d'intolérable
En rapport de toutes les dictatures gouvernantes !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 

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Mégacide de thésaurisation

3 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

1942
Lancement dans l'espace
Faut bien que nazisme se passe
Premier missile balistique
V2 de l'Allemagne nazie
Puis
Toute la conquête spatiale, plus tard, suivit
Et même en Afrique
Financement participatif pour le fric
Tout un matériel d'aérospatial
Au tout fabriqué sur place
Au tout importé comme trace
Du Zaïre, coin perdu, étrange bal
Et donc, tout importé de RFA, fatal
Mais tout s'oublie, tout passe
Encore
De l'ancien nazi recyclé
Dans le monde de la fusée
Cela pue
Autant que le dictateur Mobutu
Qui fut béni par tous les corrompus
Tout cela se conjuguant
Tout cela s'associant
Passé, futur, présent
Mais une fusée s'écrasant
Terminus du satellite communiquant
Et l'OTRAG
Finit en tragédie et en gag !
Du pétard à la fusée
Combustibles innovants, pour hisser
De la vitesse d'échappement pour s'envoler
Avec aussi, de l'armement toujours amélioré
Pour neutraliser ou pour tuer
Du mégacide
De tous les génocides
Territoires et propriétés, le véritable acide
Tout a été réadapté
Tout a été réactualisé
Comme l'univers concentrationnaire
Fils, filles, pères, mères
Non seulement
Des camps nazis
Non seulement
Des camps staliniens
D'autres moins connus, c'est certain
Avec même des contemporains
Mais
Aussi, des temples de la consommation
Mais
Aussi, du tourisme de massification
Et toujours des paroles sans les actes
Sinon, depuis longtemps, un autre pacte
L'éboueur le sait, sociologue qui vide nos ordures
De la dissonance cognitive qui dure !
 
" Les gens sont des écologistes dans leurs têtes mais pas dans leurs actes. "
 
Un éboueur de Paris
 
Comme chaque ordinateur
Pesant son poids d'horreur
Des dizaines de kg de matières rares
Hors la voiture, comme des kilomètres, à part
Avec aussi de la fumisterie
Avec aussi de l'hypocrisie
Ainsi, du robot Sophie
Adopté par la tyrannique Arabie Saoudite
Vraiment, la pensée séparée, médite
Aucun droit, féminicide culturel, qui l'édite
Même si, le minimum vital, depuis peu, elle édite
Et à quand, de la morale sexuelle, et de sa clique
Par exemple, des boulangeries érotiques
Un vagin nature, aïe, aïe, ail, ail
Un vagin au chocolat
Un vagin à la confiture
Un vagin à ceci ou un vagin à cela
Un pénis nature, avec liqueur
Ou sans liqueur
Un pénis au chocolat
Un pénis à la confiture
Un pénis à ceci ou à cela
Des nichons au miel
Des nichons sans miel
Des nichons avec du lait
Des nichons sans lait
Selon les goûts et les couleurs
Là, il s'agirait de gâteaux
Ailleurs, d'autres gestes, d'autres pratiques, d'autres mots
Quand toute vérité ne serait qu' un moment du faux
La gourmandise sans menteuses et sans menteurs
De nouvelles conceptions, de nouvelles lueurs
Sans lieux communs, sans préjugés, sans jugements de valeur
Mais, de tous temps
Et pour tout esprit imaginant
Ce qui se fait
Se fera, a déjà été fait
En pratique, narguer la camarde et sa faux
Il y aurait de quoi faire
Avec un nouvel imaginaire !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de randomisation éclectique

1 Mars 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" S'il  y a quelqu'un que ça intéresse               Il pleurait des larmes de verre
Qu'il m'envoie son nom et son adresse          Et quand elles atteignaient la terre
Je lui raconterai l'histoire                                 Cela faisait une musique
De l'homme qui pleurait sans espoir               Angélique et fantomatique "
 
 Michel Polnareff ( auteur-compositeur-interprète, né en 1944 )
 
Capitalisation du conformisme
Conformisme de la capitalisation
Production, consommation, destruction
Plein de vide
Vide de plein
Comme les créations
De feu ( 1928 - 1962 )
Peintre et plasticien, Yves Klein
Plagiaire, en certains points
De feu G.E. Debord, c'est certain
Du monochrome, comme le bleu Klein
Ce judoka contrarié
Professeur de judo, pour sa croûte, la gagner
Tout le refoulé
Devenant, où, quoi, comment, du sublimé
Avec donc aussi le sculpteur plasticien
Feu ( 1928 - 2005 ) Arman
Des meubles, les vendant
Sur l'accumulation
Sur la reproduction
Pan, pan
Du simple objet devenant abstrait
Au HLM, du plus concret
Tout se répétant à l'infini
Des déchets, devenant, de l'art abstrait
Tout se fait, tout se défait
Production, consommation,destruction
Tout s'instrumentalisant en création !
Le capital de l'art
L'art du capital
Toute l'activité artistique à son service
Tout cela l'articulant
Tout cela le dédouanant
Tout cela le goûtant
Tout cela le structurant
Rien, ne lui infligeant de sévices
Oh, je ne me casse pas la nénette
Oui, je le confesse, et à tue-tête
Détournant tout en pense-bête !
 
 " Depuis Aristote, l'héliocentrisme a ainsi pu s'imposer pendant près de deux mille ans. Deux mille ans ! En comparaison : La vision copernicienne du monde a tout juste 500 ans, la théorie moderne du Big Bang 80, la théorie des mondes multiples de la mécanique quantique 50, le multivers et la théorie des cordes 10. "
 
 Les univers parallèles ( Tobias Hürter, Max Rauner ) Editions CNRS
 
 Mais, hélas, dans le même moment
De la vie, de la plupart des gens
Tout un précariat massif
Plusieurs petits boulots poussifs
Avec toute une insécurité existentielle
Des vies sans poivre et sans sel
Avec de fausses solutions écologiques
De tout le bordel capitalistique
La véritable harmonie est de l'ordre anarchique
Donc, fabriquer une voiture électrique
En équivalence de cinquante vélos électriques !
Et voilà bien du CO2
Et un plus un, cela fait deux
C'est comme le gaspillage alimentaire
En France, dix millions, environ, de tonnes par an
Et qui, trouverait cela étonnant ?
Avec ainsi, trois pour cent
Des gaz à l'effet de serre
Et pour les inspections sanitaires
Du commerce ou du restaurant
En moyenne, une fois tous les dix ans
Et la bouffe est infecte dans beaucoup de restaurants
Et en plus, il faut payer, c'est dégoûtant
Du fait même, tout se dénonçant
Nul besoin de la militante ou du militant
Et la plupart
Des militantes et des militants
Toutes obédiences confondues
Nous le disons, toute honte bue
Sont des chiantes et des chiants
Sont des dominantes et des dominants
Ce, sans aucune conscience de l'être
Tout cela, se déguisant sous un paraître
Et là encore, les libertaires
Sont encore les moins réactionnaires
Finalement
Nous devrions nous toucher davantage
C'est un tabou comme si nous avions la rage
Sauf, en ostéopathie et en haptonomie !
Le toucher, les mains
Jeux de mains, jeux de vilains
Alors qu'en ostéopathie
C'est tout l'organisme qui raconte sa vie
Ostéopathie crânienne et corporelle
Car toute l'architecture du corps humain est belle
Remonter le temps de la cause
Car toute douleur nous cause
Du corps et de sa mobilité
Comme des fonctions randomisées
Feu ( 1828 - 1917 )
A.T. Still fit des initiés
Vers 1892 aux USA
Pas que d'horribles Trump, voilà
Ostéopathie non remboursée
Car la médecine étatisée est un marché
L'haptonomie aussi
Victime des préjugés et des dénis
Le toucher, les mains
Pas touche, c'est comme sexué, ô tout coquin
Hélas, l'on y préfère, l'on y dicte
La médecine prophétique
La médecine coranique
De la bêtise sadique
Banlieues françaises, de l'illégal, du tragique
Oui, l'épanouissement
De l'individuel au collectif, truisme empathique
Est de l'ordre anarchique
Oui, le capital est de l'ordre bordélique
Au tout perdant, au tout gâchant, au tout terrifiant, randomisation véridique !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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